Gestionnaire exclusif du Fonds souverain du Gabon et des participations non attribuées de son portefeuille, le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) a fait son entrée au sein du One Planet Summit dans le but d’accélérer sa recherche de nouveaux partenaires censés répondre avec lui à l’urgence climatique.

Akim Daouda, Administrateur-directeur général du FGIS. © D.R.

 

Quatre ans après sa création, le One Planet Summit vient d’accueillir un nouveau membre venu du Gabon, un des pays cités en exemple pour sa politique contre les changements climatiques. Le Fonds gabonais d’investissements stratégiques (FGIS) a en effet fait son entrée dans cette plateforme regroupant des acteurs venus du monde de l’entreprise, de la recherche, de la finance, dans le but de mettre en place des solutions collectives, concrètes en lien avec la lutte contre le réchauffement climatique.

Selon le site Finacialafrik.com, cette entrée est intervenue à l’occasion de la rencontre, lundi 4 octobre 2021, entre le président français Emmanuel Macron et John Kerry, Envoyé spécial du président américain pour le Climat, avec les représentants de fonds souverains à l’occasion du 4e Sommet annuel des CEO de fonds souverains de la Coalition One Planet (OPSWF). Au cours de cette rencontre, il s’est agi de passer en revue les dernières tendances des stratégies d’investissement liées au climat et d’accueillir les institutions financières désireuses d’intégrer le changement climatique à leur gestion d’actifs afin de soutenir les objectifs de l’Accord de Paris.

Le FGIS ne s’est pas montré peu fier d’intégrer cette coalition et d’y représenter le Gabon. «En tant que pays l’un des rares pays qui absorbe plus de CO2 qu’il n’en émet, le Gabon présente des caractéristiques certaines pour se positionner comme un leader de la transition énergétique en Afrique. Le FGIS dédie déjà 80% de son portfolio énergétique dans des projets d’énergie renouvelable et l’approche de la COP 26 nous encourage à accélérer la recherche de partenaires dédiés à répondre à l’urgence climatique», a déclaré Akim Daouda, l’administrateur-directeur général Fonds.

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Lavue dit :

    Moi je m’appelle Youssouf MAMADOU, ma mère est de l’Est du Gabon et mon père du centre. Mon frère S’appelle OUMAROU ALI et ma Sœur FATOUMATOU MOHAMED nous sommes bien Gabonais comme notre frère AKIM DAOUDA. Nous sommes de la nouvelle génération de Gabonais qui a émergé en 2009. Après notre ami et célèbre prisonnier, véritable Gabonais LACCRUCHE ALIANGA qui a géré le FGIS, c’est désormais notre frère et autre véritable Gabonais AKIM DAOUDA en a bénéficié de la gestion.

    On est désolés pour vous les anciens Gabonais, songez à diversifier vos origines ça pourra vous aider, vous êtes trop bantou, faut brouiller vos origines et vous verrez que ça ira mieux pour vous. Regardez le Grand chef lui même. Il a su semer la confusion totale et nous on a su l’imiter. Continuez de rêver, le Gabon c’est pour nous désormais, OMAR, ALI, AKIM, SEYDOU, NOURREDINE, MOHAMED, …… On vous gère.

  2. Giap EFFAYONG dit :

    Akim Daouda est un gabonais d’occasion comme tant d’autres qui,désormais tiennent le haut du pavé dans notre pays depuis que le Biafrais est aux mannettes.Personnellement ce tropisme pour les étrangers ne m’étonne pas.Allochtone lui-même,bien qu’étant arrivé au Gabon relativement jeune,Ali Bongo,cet homme au phisyque si ingrat a gardé les traces de ses sombres origines biafraises.Se sachant haï par la majorité de la population Gabonaise,ce lippu a décidé de faire du Gabon un fourre-tout,un véritable dépotoir où toute la vermine ouest africaine vient déposer son baluchon.Malheureusement,les gabonais indolents par leur nature,assistent impuissants à leur relégation au statut de citoyen de seconde zone dans leur propre pays.Ils crèvent la dalle et rasent les murs pendant que ces sales étrangers s’empiffrent et se goinfrent.J’attends avec impatience la « nuit de cristal »à la gabonaise même si les béninois vivant au Gabon semblent avoir la mémoire courte.

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