Jean Ping a affirmé le 13 août que le départ de Jean Eyeghe Ndong de la Coalition pour la nouvelle République (CNR) s’est fait sans son assentiment. «Des allégations persistantes, par réseaux sociaux interposés, tendent à faire croire que la démarche initiée par ce dernier, l’aurait été avec mon assentiment. Je ne m’inscris nullement dans cette démarche», a précisé le leader de la CNR.

Malgré le départ de Jean Eyeghe Ndong de la CNR, Jean Ping ira jusqu’au bout. © Gabonreview

 

Face aux commentaires en tout genre ayant fleuri après le départ de Jean Eyeghe Ndong de la Coalition pour la nouvelle République (CNR), le leader de ce groupement politique a apporté une précision de taille.

«Depuis la sortie de la CNR de Monsieur Jean Eyeghe Ndong, le mercredi 11 août 2021, des allégations persistantes, par réseaux sociaux interposés, tendent à faire croire que la démarche initiée par ce dernier, l’aurait été avec mon assentiment. Je ne m’inscris nullement dans cette démarche», a écrit Jean Ping le 13 août sur sa page Facebook. L’ancien Premier ministre a justifié son départ de la CNR, plateforme s’inscrivant dans la « lutte pour le rétablissement de la vérité des urnes »,  par sa volonté de «se mettre à la disposition de la République».

Un acte assimilé à une «trahison», que ne pouvait donc cautionner Jean Ping. «Le combat pour la libération du Gabon que j’ai engagé avec la majorité des Gabonais au péril de nos vies, se poursuit et se poursuivra jusqu’à la victoire. J’irai donc jusqu’au bout», a-t-il affirmé. Ce dernier a du reste assuré qu’il s’adressera à la Nation dans les tous prochains jours et répondra aux «interrogations légitimes des Gabonais qui doutent et se sentent déroutés».

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Biswe dit :

    JEN est libre de ses engagements, l’assentiment ou nonde JP n’aurait été d’aucun usage en vertu de ce principe, non ?

    • NGOMOAL dit :

      Oui mais pas du tout responsable. On engage pas les masses pour une cause dont on va  »librement » abandonné chemin faisant. C’est du banditisme mêlé de sorcellerie politique. Onanga Fifi a raison de dire que la politique c’est la sorcellerie des intellectuels.

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