La deuxième étape d’iSchool est lancée
La Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille qui développe des actions en faveur de la famille et de la participation de la jeunesse et de la femme au développement du Gabon, a lancé la deuxième étape de son projet pilote iSchool, destiné aux jeunes des établissements scolaires de la capitale gabonaise et de sa périphérie.
Cette deuxième phase du projet, qui entend promouvoir la place des technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement au Gabon, concerne 258 élèves inscrits dans les CE2. Ils se recrutent dans deux écoles publiques et une école publique conventionnée de Libreville.
La Fondation Sylvia Bongo Ondimba veut également mesurer, à travers cette initiative, l’impact des TIC sur l’apprentissage des élèves. Elle ambitionne d’accompagner les jeunes, de les stimuler, de promouvoir leur sens civique et leur prise de responsabilité afin qu’ils puissent préparer leur avenir dans les meilleures conditions. Aussi, cherche-t-elle à favoriser leur réussite et leur intégration sociale via des actions éducatives complémentaires à celles des parents et de l’école.
«Je suis très fière d’annoncer la mise en place de la seconde étape du projet pilote iSchool. Cette expérience implique 258 élèves de CE2 de deux écoles publiques et d’une école publique conventionnée de Libreville et de la zone péri urbaine de la capitale», a déclaré Sylvia Bongo Ondimba.
Pour ce projet pilote, ce sont au total 87 iPads avec des installations d’applications éducatives, 2 ordinateurs Mac Book Air, 2 rétroprojecteurs, 3 chariots chargeurs permettant de ranger les iPads, de les charger tous ensemble, de transférer des données de l’ordinateur de l’enseignant vers ceux des élèves, mais également une «1 school in a box», une valise comprenant tout le matériel et des panneaux solaires, transmise dans l’école semi-rurale.
Selon, la fondation, «cette nouvelle étape intervient un mois après le début des formations des 14 enseignants aux fonctionnalités du IPad. Ce programme mené en collaboration avec le ministère de l’Éducation et la Fondation Gauff a pour ambition de développer des méthodes d’enseignement et d’apprentissage innovantes».
«Mon souhait est que chaque élève gabonais puisse travailler et s’approprier les outils incontournables de demain», a déclaré la première dame.
7 Commentaires
bonjour…
à madame la première dame c’est avec une volonté ferme et un espoir pour l’avenir et nourri que je vous encourage à faire de notre pays un modèle social, un moteur de développement pour nos politiciens dont le bien être de la jeunesse ne rentre pas dans leurs cordes.
en effet, c’est une initiave à la fois louable et encourageante, à l’heure des NTIC et de la mondialisation d’internet, l’outil informatique est nécessaire à la fois pour la population gabonaise toute entière mais en particulier pour nos enfants qui dans un souci de réussite et de pérénité de l’élite gabonaise, puise disposer de tels outils pour leur apprentissage. bien que le gabon soit dernière loin dernière en matière de technologie éducative, aucun développement ne peut être empêché quelque soit la vitesse à laquelle il avance tout point à croire que l’essentiel est d’arriver à bon port et de faire de notre pays un gabon meilleur, oui un gabon à la pointe de la technologie.
bien que ce soit un test sur 258 élèves, le geste à lui seul compte et espérons que cela continuera et s’étendra avec le temps à d’autres établissements jusqu’à la vulgarisation totale.
mes sincères remerciements et avec toute l’estime de citoyons que je vous porte…makaya.
Lancer un projet d’e-éducation avec des ipads et des imacs, c’est à dire les produits les plus chers du marché montre bien l’absence de vision de cette Fondation sur le long terme pour un plan national d’e-éducation pourtant nécessaire.
Les produits équivalents sous Android coûtent 2 à 3 fois moins cher.
C’est aussi un gaspillage d’argent public car nul ne doute que c’est au final les gabonais qui financent d’une façon ou d’une autre cette fondation opaque.
Oui, c’est très beau. Mais moi qui vit dans une petite ville du sud-gabon, je vois que les élèves du primaire et même du lycée n’ont aucun livre et que les enseignants ont à peine de quoi écrire à la craie au tableau. C’est pire dans les villages dont certaines écoles sont fermées par manque d’enseignants, de tables-bancs, etc. Si bienq ue les enfants doivent être envoyés très jeunes chez des parents dans d’autres villes. Alors l’éducation à double vitesse ne va faire que s’accentuer. Ne faut-il pas répondre aux besoins essentiels avant de passer aux outils d’avant-garde? Le rôle n’en incombe pas à la Fondation SBO bien sûr, mais à l’Etat.Du temps de la coloniale et après, nos élites actuelles ont eu la chance de se voir dotés de livres à la rentrée scolaire, sinon aurait-ils pu faire leurs études??? Assurons à nos enfants, sur tout le territoire national, le minimum de livres et de cahiers pour qu’ils apprennent. Les parents, enrôlés de force dans les APE des écoles, ne peuvent-ils exiger au moins cela de l’Education nationale? Alors, les Ipad pour quelques enfants-tests, c’est bien mais n’est-ce pas du superflu à faire pleurer les autres???
A-t-on reellement evalué ce que va nous couter le projet i-school? Si nous parvenons pas a repondre aux besoins essentielles actuels, c’est pas le projet i-school qui j’imagine coute plus chere qui sera une reussite. Comme le disait quelqu’un plus haut, il faut d’abord plus d’ecoles, plus de manuels scolaires, plus d’ensignant.De plus d’ou viens l’argent avec lequel la fondation finance ses projets?
c’est de se foutre de la gueule des gabonais,nous avons une institut comme IAI qui on a besoin plus que des jeunes qui ne savent meme pas maitriser les applications d’un simple téléphone. Il faut franchement sortir de la planète mars pour faire une telle connerie. Au fait,a t-on résous le problème des femmes qui accouchent au sol au CHL ??? NON Pffffffffffffffffff
A madame la première dame, c’est avec une volonté ferme et un espoir pour l’avenir et nourri que je vous encourage à faire de notre pays un modèle social, un moteur de développement pour nos politiciens dont le bien être de la jeunesse ne rentre pas dans leurs cordes.
en effet, c’est une initiative à la fois louable et encourageante, à l’heure des NTIC et de la mondialisation d’internet, l’outil informatique est nécessaire à la fois pour la population gabonaise toute entière mais en particulier pour nos enfants qui dans un souci de réussite et de pérennité de l’élite gabonaise, puise disposer de tels outils pour leur apprentissage. bien que le Gabon soit dernière loin dernière en matière de technologie éducative, aucun développement ne peut être empêché quelque soit la vitesse à laquelle il avance tout point à croire que l’essentiel est d’arriver à bon port et de faire de notre pays un Gabon meilleur, oui un Gabon à la pointe de la technologie.
bien que ce soit un test sur 258 élèves, le geste à lui seul compte et espérons que cela continuera et s’étendra avec le temps à d’autres établissements jusqu’à la vulgarisation totale.
mes sincères remerciements et avec toute l’estime de citoyens que je vous porte.
merçi à toi madame sylvia bongo ondimba car vous faite déjà un effort de donner au jeune gabonais des outils tic. car pour beaucoup,il découvre cela quand ils ont 18 ans et plus. les gens devait vous encourager au lieu de critiquer inutilement car ce pas a vous de remplir les écoles de matériel didactique.à chacun son rôle dans une chaîne!