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Prestation mitigée d’Ossouka à «Face à Vous» : Le soutien tardif du PDG
Le Parti démocratique gabonais (PDG) s’est félicité, le 22 mai à Libreville, de la prestation du Premier ministre à l’émission «Face à Vous». Un soutien qui intervient près de cinq jours après la prestation mitigée de Rose Christiane Ossouka Raponda, à l’issue de laquelle elle a essuyé de vives critiques.
Cinq jours après le passage mitigé de Rose Christiane Raponda à l’émission «Face à Vous», le PDG a apporté son soutien à la cheffe du gouvernement, le 22 mai 2021. © Capture d’écran
Alors que d’aucuns s’interrogeaient sur le mutisme du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) face aux critiques enregistrées après le passage, le 17 mai, du Premier ministre à l’émission «Face à Vous», le parti a enfin réagi… cinq jours plus tard.
«Le PDG se félicite de la participation de Rose Christiane Ossouka Raponda à l’émission Face à Vous», a déclaré le secrétaire national du PDG chargé des arguments et de la riposte, le 22 mai à Libreville. Michel Philippe Nzé n’a pas manqué de rappeler que la participation de la cheffe du gouvernement, qui inaugurait la série télévisuelle amenant les membres du gouvernement devant le peuple gabonais, «répond à la volonté du chef de l’Etat d’apporter plus de transparence dans la gestion de l’action gouvernementale visant à éclairer les populations sur les politiques publiques mises en œuvre par le gouvernement».
Certains observateurs auraient souhaité cependant que le PDG soit plus prompt à «venir en aide» à Rose Christiane Ossouka Raponda, au moment notamment où les critiques étaient à leur paroxysme juste après l’émission «Face à Vous». Ce que s’est empressé de faire, le mieux que possible et dans les bons délais, le ministre de l’Enseignement supérieur, Patrick Mouguiama-Daouda, qui sera d’ailleurs le prochain invité de l’émission, le 28 mai.
7 Commentaires
C’est le propre des démons que de mentir. A Ntare Nzame !! Pitié.
Tu me fais honte ma fille Ossouka avec ta coiffure à l’Occidental. Sois plutôt fière d’être africaine et coiffe toi comme une africaine : de belles tresses stp…
Vraiment, il n’est pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Il a été demandé à Serge Makaya de ne plus massacrer le fang. On ne dit pas « Ntare », mais plutôt « Tare ». On ne dit pas non plus « Nzame », mais plutôt « Zame ». Ces fautes montrent à suffisance que Serge Makaya n’est pas Fang. Alors, pourquoi s’obstine-t-il à faire usage des expressions fang qu’il emploie mal ? C’est tout simplement parce qu’il veut diviser les Gabonais. En faisant cela, il veut être sûr que la famille présidentielle et la France vont détester les Fang. Et comme la France est le grand électeur du Gabon, alors il est sûr qu’aucun Fang ne sera plus jamais élu Président du Gabon. C’est vraiment du tribalisme, Monsieur Serge Makaya: ARRÊTEZ!!!!!
Pitié de toi mon fils « Le Patriote ». Il vaut mieux encore ne rien écrire que de pondre des bêtises. A Ntare Nzame !!! Laisse mes frères Fang tranquille, c’est toi qui attises la haine, le tribalisme. La preuve ? Depuis 8h30, personne pour te soutenir dans tes élucubrations. Pauvre de toi, mon fils !! Que Nzame pardonne tes bêtises.
Des remarques non constructives le propre des compatriotes.
Merci Serges pour ton point de vu.
Alors, on devant nous un chef de gouvernement qui ne connait pas les problémes de son pays aucune proposition, une aucune analyse et on rentre dans la distraction.
Du pilotage à vu
[…] Source link […]
Et à quand le président usurpateur qui est soi disant en forme pour cette émission « Face à vous » ? Parce que, s’il est reçu comme on le voit sur les photos, c’est qu’il peut aussi bien s’exprimer ? Qu’il vienne nous raconter ces voyages à Londres pour son projet d’entrée du Gabon au Commonwealth. Ali Bongo prend donc des initiatives qu’il n’explique même pas au peuple gabonais ? Mais c’est quoi ça ? A t’il reçu l’aval du peuple gabonais pour aller frapper à la porte du Commonwealth ? Ou bien son initiative confirme bel et bien que le Gabon n’est plus une république depuis l’arrivée des usurpateurs Bongo, mais bien une monarchie imposée ?