La quatrième réunion du comité de pilotage du Projet de renforcement des capacités pour l’employabilité des jeunes et l’amélioration de la protection sociale (PRCEJPS) s’est tenue le 27 janvier à Libreville.

Libreville abrite les travaux de la quatrième réunion du comité de pilotage du Projet de renforcement des capacités pour l’employabilité des jeunes et l’amélioration de la protection sociale (PRCEJPS). © D.R.

 

Le ministère délégué en charge de la Formation professionnelle, Aubierge Sylvine Ngoma, a ouvert le 27 janvier à Libreville les travaux de la quatrième réunion du comité de pilotage du Projet de renforcement des capacités pour l’employabilité des jeunes et l’amélioration de la protection sociale (PRCEJPS).

Il s’agit pour l’ensemble des administrations concernées, le patronat et les partenaires sociaux, d’examiner le niveau actuel de l’exécution des différentes activités retenues dans le PTAB 2020 ; d’examiner et adopter le projet PTAB 2021 proposé au regard des contraintes enregistrées dans l’exécution des activités. Ils doivent également valider les nouveaux besoins exprimés par le gouvernement et approuvés par la Banque africaine de développement ; recommander les mesures propices à l’accélération de la mise en œuvre du projet ; adopter les principes d’une demande de prorogation de la date de clôture du projet, initialement prévu du 30 mars 2021 au 31 décembre 2023.

«Ce projet revêt un caractère important car il tend à soutenir la politique sociale initiée par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. L’atteinte de ces objectifs, contribuera à la réduction du chômage des jeunes et à l’amélioration des conditions de vie des populations», a-t-elle rappelé. En effet, ce projet lancé grâce à l’appui financier et technique de la Banque africaine de développement (BAD) vise le renforcement des capacités des jeunes à travers l’augmentation et la diversification de l’offre de formation professionnelle et d’enseignement technique, et de la santé ; l’amélioration de la qualité des formations et de la gouvernance des secteurs, ainsi que la promotion de l’inclusion sociale et de la solidarité nationale.

Cependant, les taux d’exécution physique et de décaissement financier, selon les membres du comité de pilotage, restent toujours faibles. Ils sont respectivement de 17% et 1,17%, très insuffisants par rapport à l’âge de ce projet approuvé en décembre 2016 et lancé en janvier 2018.

 

 
GR
 

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