Face à la montée des contestations relatives à l’implantation des projets de l’entreprise singapourienne Olam dans la province du Woleu-Ntem, notamment dans les villages du département du Ntem-Bitam, les ressortissants de cette partie du Gabon ont décidé de prendre le dossier à bras le corps. Pour cela, il a fallu commencer par créer une structure associative à travers laquelle ils peuvent s’exprimer collectivement.
A l’issue des travaux de la première session de la Commission de coopération entre le Burkina Faso et le Gabon qui ont enregistré la présence du ministre gabonais des Affaires étrangères, de la Coopération Internationale, de la Francophonie, Chargé du Nepad et de l’Intégration Régionale, Emmanuel Issoze Ngondet, les deux parties ont abouti à l’exonération des visas… Tout du moins pour une catégorie de personnalités des deux pays.
Les cyclistes gabonais ne se rendront pas à la 8e édition du championnat d’Afrique des nations de cyclisme qui débute ce 7 novembre au Burkina Faso. Une lacune qui serait due à l’absence de transmission de l’information entre l’ancien patron de petite reine gabonaise, Thomas Franck Eya’a, et le nouveau, Maurice Nazaire Embinga.
Des experts de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), de l’Unesco et de la Banque africaine de développement (BAD), réfléchissent depuis 3 jours à Libreville, sur les mécanismes devant permettre de mieux organiser et structurer le système éducatif dans les pays de la sous-région, afin de garantir une mise en place efficace des systèmes d’informations pour la gestion de l’éducation (Sige) et la création des pôles d’excellence technologiques universitaires (Petu).
D’après le site PC Impact, Blaise Louembé, ministre de la Communication et de l’Économie numérique, aurait affirmé à l’Agence France Presse (AFP) qu’il entend refuser l’extension .ga à Kim Dotcom. Certains ont semble-t-il les bras plus longs que ne le pensait Kim Dotcom.
Alors que le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, avait déjà souligné que l’indiscipline ne saurait être tolérée au sein des forces de l’ordre, en plus du fait que le 7 juillet dernier, Jean François Ndongou, ministre de l’Intérieur, avait enjoint les policiers à l’exemplarité, sans omettre les rappels à l’ordre du commandant en chef de ce corps, le général Léon Mistoul, certaines nouvelles recrues des forces de police nationale font fi de toute observance, imposant leur loi personnelle et violente hors de tout cadre légal.
Les membres de la société civile gabonaise réunis au sein du mouvement «Ça suffit comme ça», de la Convention de la diaspora gabonaise et de quelques plates formes associatives françaises, notamment Europe Écologie les verts et le Front de Gauche (PCF, PG, GU, Fase, CetA, RetS, Pcof, GA), ont livré, le 3 novembre dernier, une déclaration commune pour exiger la libération immédiate et sans conditions des prisonniers condamnés à la suite des arrestations des manifestants du 15 août 2012.
Les opérateurs économiques de la filière agro-alimentaire, le gouvernement gabonais, représenté par le ministère de l’Économie, de l’Emploi et du Développement durable, ainsi que les responsables des associations des consommateurs, ont procédé ce mardi à Libreville à la signature d’un accord qui matérialise la volonté de faire baisser les prix des produits de première nécessité sur le territoire national.
Après le récent passage des membres de l’Union des forces du changement (UFC, coalition des partis de l’opposition), dans la province du Woleu-Ntem en vue de sensibiliser la population sur la nécessité de la tenue de la Conférence nationale souveraine au Gabon, le Premier ministre, Raymond Ndong Sima, natif de cette ville au nord du pays, a entrepris de faire une descente musclée dans sa localité, histoire de remettre les pendules à l’heure.
A l’initiative du Centre de la propriété industrielle du Gabon (Cepig), la semaine nationale de la propriété industrielle s’est ouverte, le 5 novembre à Libreville, sous le thème «L’invention et l’innovation technologique : moteur de développement».