Suite à l’article intitulé «Évasion financière monstre à partir des cartes Visa prépayées de BGFIbank», paru le 14 février 2017 sur Gabonreview, les responsables de l’entreprise Chaka Card Systems, qui auraient simplement répondu à un appel d’offres de BGFI pour lequel ils n’ont pas été retenus, ont tenu à faire la mise au point ci-dessous. Gabonreview n’avait jamais entendu parler de cette entreprise si ce n’est par les sources de la banque en question. 

© D.R.

 

A la date du 14 février 2017, il est paru sur votre site d’information gabonvreview.com, un article de presse faisant état d’une implication de notre société Chaka Card Systems, dans une histoire présumée d’évasion financière, par le canal des cartes Visa prépayées de la BGFI.

Nous portons à votre connaissance, ainsi qu’à celle de nos partenaires et de l’ensemble du public, que Chaka Card Systems, n’est jamais intervenue sur un quelconque projet «d’externalisation ou de sécurisation de cartes prépayées de la BGFI» et n’a jamais fourni de cartes bancaires à cette institution avec qui elle n’a aucun lien commercial.

Elle ne peut donc, d’une manière ou d’une autre, être mêlée à une quelconque histoire d’évasion financière au niveau de cette institution, telle que relatée dans votre article.

Chaka Card Systems. © senegal24.com

Aussi, rejetons-nous avec force et vigueur, ces graves allégations publiées sur votre site et qui sont de nature à porter atteinte à notre image et à ternir notre réputation.

Nous vous demandons par conséquent, pour le respect du devoir d’informer juste et vrai, de publier immédiatement le présent démenti à l’article incriminé, afin que vos lecteurs en prennent rapidement connaissance.

Nous vous avisons aussi, que nous nous réservons le droit d’utiliser toutes les voies de droit et tous les recours qui s’offrent à nous, dans le strict respect des Lois et Règlements. Pour ce faire, nous avons déjà saisi notre Avocat, pour évaluer la portée du tort causé et l’ampleur du préjudice subi.

CHAKA CARD

Nous rappelons fort opportunément, que Chaka Card Systems opère dans un domaine où la sécurité est une exigence fondamentale et qu’à à ce jour, elle reste le seul et unique centre de personnalisation de cartes, certifié Visa, dans !es zones UEMOA et CEMAC.

Dans l’attente, nous vous prions de croire en l’expression de nos cordiales salutations.

 
GR
 

16 Commentaires

  1. LesYeuxOuverts dit :

    Sachant que tous les contrats signés par Anon sont suspendus, CHAKA tente de sauver sa peau en étalant un grossier tissu de mensonges pour tenter de se soustraire des pratiques mafieuses d’Edgard Theophile Anon dont elle a pourtant profité de pres ou de loin.

    IT CHAKA MOBILE et CHAKA CARD SYSTEMES sont deux faces d’une même pièce.
    (Le projet mobile et carte prépayée faisait parti du même lot)

    Avant qu’ils n’effacent les preuves, allez sur playstore, faites des captures d’ecran et, regardez par qui cette appli est proposé. Vous y verrez que;
    – le propriétaire de l’appli BGFI MOBILE est IT CHAKA MOBILE
    – vous y verrez aussi le nom de Mansour Sall

    CHAKA ne peut donc pas dire qu’elle n’a jamais était en lien commercial avec BGFIBank puisque c’est Edgard Anon qui a personnellement donné ce projet de gré à gré a IT CHAKA MOBILE au mépris de tous process juridiques.
    Tout le monde sait que le reste n’est que pure diversion!

    • Éric kickson dit :

      Il y a longtemps que des luttes intestines pour la direction du groupe se livrent au sein de BGFI.
      Des fraudes à la carte prépayée et on réclame la tête du DG? Il faut établir les responsabilités car le piratage informatique est retraçable.
      L’actuel DG a des résultats financiers et comptables probants auprès du patron du groupe et des actionnaires.
      Tout le monde envie ce poste.

    • LesYeuxOuverts dit :

      J’ajouterai également, la société NOVATECH qui est souvent le porte nom dans les contrats «white label» de MONEY EXPRESS ou de CHAKA COMPUTER. Ces deux structures sont en ce moment en faillites et doivent plusieurs milliards à plusieurs institutions financières et sociétés.
      Faites beaucoup attention à ce Groupe !!!!

      • GorgeProfonde dit :

        Juste préciser que la gestion des cartes prépayées en cause dans cette histoire est à la charge d’une société marocaine du nom de PAYLOGIC.

        La seule relation commerciale entre le groupe Chaka et BGFI à se jour se résume à la partie mobile gérer par sa filiale Chaka Mobile qui est aussi hors de cause.

        Pour ce qui est de la passation du marché, je vous rejoins en disant que cela n’a pas forcément suivi les règles.

        • VRAI dit :

          Chaka card avait essayé de répondre a cette appel d’offre mais n’a pas été retenu. Toute les employés de la BGFI n’ont pas acces aux memes niveaux d’informations , raison pour laquelle elle s’est trompé en donnant le nom de Chaka.

  2. gabonreviewadmin dit :

    C’est ce que nous voyons. Mais est-ce la même entreprise ?

    [caption id="attachment_47053" align="aligncenter" width="350"] C’EST CE QUE NOUS VOYONS MAIS EST-CE LA MÊME ENTREPRISE,[/caption]

    • Juste du bon sens dit :

      Il n’est pas ici question de l’application Mobile de BGFI mais de la carte Visa prépayée et quand bien même ces deux entreprises étaient du « même groupe » se sont deux entités juridiques séparées.

  3. guyronzamba dit :

    Je crois que Chaka doit être impliqué du fait que Monsieur Mansour Sall est bien un intervenant dans ce domaine à BGFI sauf si ce dernier a dans le dos de IT CHAKA crée une affaire personnelle….mais Mansour Fall vient très souvent au Gabon et je sais bien de quoi je parle.

  4. BIKIE dit :

    Et dans tout ça ce sont les gabonais qui doivent toujours supporter de marcher « pieds nus »sur des « bris ». Je me demande ce qu’il en sera du Gabon dans les 5 prochaines années ? Et quand on aura vidé toutes les caisses et emporté tout l’argent et qu’il n’y aura plus rien pour les générations futures, j’espère que tous ces voraces vivront en paix ! ! ! Laissez moi vous avertir que Dieu ne permettra pas que même un gabonais autochtone mette le pays à terre ! Il frappera certainement à sa manière et attention à penser que Dieu est très loin et qu’Il n’occupe que des affaires de l’esprit. Du spirituel est tiré le visible ! Alors Attention ! Où que vous soyez et quelle que soit la manière à laquelle vous participez à détruire cette nation, Dieu Lui même s’occupera de vous, vous ne resterez certainement pas impuni quel que soit le temps que cela prendra. Tous ceux qui, même dans l’ombre participent à détruire l’âme du Gabon le paieront certainement et de la plus belle manière.
    Arrêtez donc pendant qu’il est encore temps et abandonnez ce que vous êtes en train de faire contre ce merveilleux pays qu’est le Gabon, terre d’accueil terre d’hospitalité, qui n’a jamais rejeté quiconque mais dont on abuse toujours.
    Accepteriez-vous, gens d’autres pays que le Gabon accueille, qu’on le fasse dans votre pays ? Pourquoi en avez-vous après le Gabon ? Si même on vous propose certaines choses, faites sans trop choquer les autres ! Vous agissez comme si le fait qu’on vous propose une fonction, une collaboration était une opportunité attendue pour « se venger » du Gabon ! Et de quoi ? Là je m’adresse à nos frères d’autres pays.
    Maintenant je me tourne vers les gabonais pour vous poser la question de savoir pourquoi vous les dirigeants êtes comme souvent obligés de vous adresser à la main-doeuvre étrangère alors que les étrangers n’ont pas souvent recours à notre main-d’oeuvre ? Est-ce du mépris pour les intelligences gabonaises que vous jugez pas assez au point ? Et pourtant c’est vous-même qui attribuez les bourses d’études ! Pensez-vous qu’à la place de ANON et ZANOOU, on n’aurait pas pu trouver des gabonais capables ? C’est une insulte à la nation ! C’est vraiment honteux et pas que pour le gabonais lamda mais surtout pour vous-même dirigeants qui ne savez pas mettre en relief les potentiels des gabonais. Vous êtes incapables de vendre positivement l’image du Gabon. Ce qui se passe aujourd’hui à BGFI est une honte pour la nation toute entière et j’espère que vous en tirez des leçons.
    Dans une langue du pays, il y a un dicton qui dit, je cite : « izo n’izo », ce qui signifie ce qui est à toi est à toi » . Le Gabon est à nous et il n’y a que nous pour lui donner de la valeur. Les autres viennent puiser ce que nous avons mais il nous revient de défendre notre patrimoine et non pas de le brader comme une marchandise sans valeur.

    Sachons penser GABON D’ABORD !

    • ismael dit :

      D’accord avec toi mon frère, il est temps que le slogan  »Gabon d’abord » est son sens, sans être xenophobe, j’ai comme l’impression que les autres africains prennent notre pays comme un champ à piller, impunément, pourtant des Gabonais compétent existent, certains sont meme obligés de s’expatrier pour réussir. il faut que l’on donne aux nationaux la possibilité de prouver leur capacité à bien faire. Il nous revient aussi de ne point jalouser le gabonais qui bénéficie d’une promotion à cause de son origine ethnique ou sociale, car hélas, nous en sommes encore là, et les autres surfent sur notre incapacité a regarder dans le meme sens, le développement du Gabon, au delà de toute consideration partisane.

  5. Coup d’œil dit :

    De ce qui est officiel, il est claire que IT Chaka Mobile et Chaka Card System sont du même groupe qui est le groupe Chaka comme vous pouvez le constater sur le site du groupe: http://www.groupechaka.com/-Le-Groupe-.html

  6. MEYE dit :

    Merci BIKIE. Il faut même jusqu’à dire que tous ceux qui ne rendront pas ce qu’ils ont pris abusivement au Gabon, n’en profiterons jamais. Pensez à la lettre de Cousteaud au Pape Jean Paul II. Attention, laissez le Gabon tranquille. Les génies du Gabon ne pardonnent plus ce que les gens qui viennent d’ailleurs font du Gabon. Le père d’accrombessi en sait quelque chose et du maître vaudou, qui sont tombés au missile sol sol à la pointe Denis.

    • BIKIE dit :

      En effet, mon frère MEYE, ce qu’il faut ce n’est pas seulement dénoncer les malfrats mais aussi et surtout geler leurs comptes et saisir tout ce qu’ils ont pris pour le ramener au Gabon afin que les gabonais puissent en bénéficier.
      Nous sommes fatigués des arrestations sans objectifs clairs.
      Revenons un peu sur le feuilleton MAPAKOU. Aidé par des non autochtones, il a pillé et après ça est allé s’asseoir tranquillement en Côte d’Ivoire, sans aucune sanction.
      On veut bien que ces gens et leurs actions soient dénoncés mais après, que fait-on ? R.I.E.N.
      A mon avis, la solution du Gabon c’est uniquement Dieu car Lui seul sait exactement quelle sanction infligée à des bandits et criminels du genre dont nous sommes en train de parler.
      Et la sanction de Dieu est plus insupportable que n’importe laquelle venant des hommes.
      Continuons à prier et Dieu fera le reste. Il n’est pas insensible à nos cris et Il agit.

  7. LesYeuxOuverts dit :

    J’ajouterai également, la société NOVATECH qui est souvent le porte nom dans les contrats « white label » de MONEY EXPRESS ou de CHAKA COMPUTER. Ces deux structures sont en ce moment en faillites et doivent plusieurs milliards à plusieurs institutions financières et sociétés.
    Faites beaucoup attention à ce Groupe !!!!

    • GABONNE ET FIER dit :

      Le problème dans cette histoire c est que meme si CHAKA avait produit les cartes , il ne peut être responsable de cette fraude . Il faut être dans le domaine de la monétique pour le comprendre .
      On ne peut accuser celui qui a construit une television des film qui passeront a l’interieur . c est une question de bon sens.

  8. Thomas Obiang dit :

    Cette affaire de malversation interne est très dommageable pour BGFI. C’est la réputation et la crédibilité du groupe dans son entier qui sont entachées. Il appartient à la justice de démontrer si le Directeur général de BGFI Gabon, Edgard Théophile Anon, est coupable ou non ; mais en revanche, quels que soient les faits, il est clairement responsable. Dès lors, il y a 2 solutions : soit il démissionne, soit il est révoqué. Mais il serait scandaleux de le voir poursuive son mandat ! (un client en colère)

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