Le secrétaire général de la Communauté économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC), Nassour Guelengdouksia Ouaïdou et le représentant spécial du secrétaire général, chef du Bureau régional des Nations unies pour l’Afrique Centrale (UNOCA), Abou Moussa, ont consolidé ce 4 mai 2012, le cadre de coopération entre les deux institutions dont ils ont chacun la charge.

Nassour Guelengdouksia Ouaïdou et Abou Moussa GabonLa CEEAC et l’UNOCA par le biais de leurs représentants respectifs, Nassour Guelengdouksia Ouaïdou et Abou Moussa viennent de s’engager dans une dynamique de prévention et de gestion des conflits ainsi qu’à la consolidation de la Paix et de la sécurité dans la sous-région, à travers un cadre de coopération.

«Le cadre de coopération UNOCA-CEEAC est une plateforme de travail qui vise à asseoir la nécessaire synergie et les formes d’appui que la communauté est en droit d’attendre du Bureau régional des Nations unies pour l’Afrique Centrale», souligne le communiqué de presse de circonstance.

Ce projet, qui lie les deux institutions internationales, identifie les axes d’actions communes : la gouvernance politique et sécuritaire ; les processus électoraux ; la médiation, la formation ; la communication à la fois pour la visibilité de la CEEAC et de son action.

«Il prévoit les modalités de cette nécessaire coopération en proposant des mécanismes d’évaluation ; il institue des réunions de travail au niveau “experts“. Les engagements des parties proposés prévoient que le secrétariat général exprime ses besoins dans les domaines d’intérêt communs et les soumettent à l’assistance technique ou financière du Bureau régional», indique le communiqué.

«Les deux institutions s’engagent par ailleurs à faire une large diffusion du cadre de coopération auprès des États membres de la CEEAC et des organisations sous régionales, régionales et internationales intéressées, y compris le secrétariat général de l’Organisation des Nations unies», poursuit le communiqué.

Enfin conclut le communiqué, «les Parties ont convenu de se rencontrer tous les six mois au niveau experts pour faire le point sur la mise en œuvre du présent cadre de coopération».

 
GR
 

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