La compagnie pétrolière anglo-néerlandaise a nommé Peter Costello comme nouveau vice-président de ses filiales du Gabon et du Nigéria.

Peter Costello (à droite), nouveau vice-président de Shell au Gabon et au Nigéria, et son prédécesseur. © D.R

Peter Costello (à droite), nouveau vice-président de Shell au Gabon et au Nigéria, et son prédécesseur. © D.R

 

Après Markus Droll (janvier 2013 – octobre 2016), affecté au poste de vice-président exécutif, Peter Costello est le nouveau vice-président des filiales gabonaise et nigériane de Shell. Sa nomination a été officialisée le week-end écoulé. Pour la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise, il s’agit, non pas de changer de stratégie mais de poursuivre les efforts entrepris jusque-là dans ces deux pays.

En dépit du contexte difficile de l’industrie pétrolière mondiale, les responsables de la compagnie entendent tout de même améliorer le rendement des différentes représentations de Shell sur le continent africain, notamment au Gabon et au Nigéria. S’il a reconnu avoir de «grands espoirs» dans sa poursuite du travail effectué par son prédécesseur sur le terrain ces trois dernières années, Peter Costello n’a pas manqué de rappeler que «les sociétés de Shell au Nigéria sont des contributeurs majeurs de l’économie, non seulement par l’énergie qu’elles produisent et les revenus qu’elles génèrent pour le pays, mais aussi par leurs chaînes d’approvisionnement, le contenu local et leur investissement social».

S’agissant du Gabon, le nouveau vice-président de Shell dans le pays entend y «repositionner (son) entreprise et tirer parti des nouvelles opportunités» de celle-ci. Il a dit notamment compter sur les importantes ressources dont disposent le Nigéria et le Gabon. «Je suis convaincu que nous pouvons relever les défis de notre environnement d’exploitation, et de continuer à fournir une valeur réelle à tous les intervenants», a déclaré Peter Costello.

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. john's anath dit :

    Merci pour ce nouveau poste. Mais a quand le recrutement au Gabon? Il est grand temps pour le secteur pétrolier de relever l’économie gabonaise.

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