Alors qu’il y a à peine dix mois que Léopold-Marius Osseyi prenait les commandes de la Sécurité pénitentiaire, ce corps vient de changer de tête, avec la prise de fonction le 20 juillet du nouveau commandant en chef, le général de brigade Olivier Moulengui Mfondo.

Le nouveau commandant en chef de la Sécurité pénitentiaire, Olivier Moulengui Mfondo. © Youtube

 

La Sécurité pénitentiaire a un nouveau commandant en chef. Nommé en conseil des ministres du 12 juillet, le général de brigade Olivier Moulengui Mfondo a été installé dans ses nouvelles fonctions par le ministre de la Justice, Alexis Boutamba le 20 juillet à Libreville.

Il succède au général de brigade Léopold-Marius Ossiyi, qui ne sera resté que dix mois après sa nomination à la tête de la sécurité pénitentiaire.

Inspecteur principal de premier degré avant sa promotion, Olivier Moulengui Mfondo a pris ses nouvelles fonctions neuf jours seulement après avoir été élevé au grade de général de brigade.

Lors de son adresse de circonstance, le nouveau commandant en chef a exhorté ses subalternes à se mettre résolument au travail avec une exigence de résultats. Selon Olivier Moulengui Mfondo, «rien ne devrait plus justifier une quelconque démotivation de ses troupes. Lesquelles ont souvent fustigé la fait que le poste de cochef de la sécurité pénitentiaire soit échu à un officier supérieur extérieur».

Mais Olivier Moulengui Mfondo ne sera jugé qu’au pied du mur, grâce à sa capacité à ramener la sérénité au sein de la sécurité pénitentiaire. Ce corps  très décrié ces temps pour les dérapages et trafics  observés dans les prisons, notamment à «sans famille», la prison centrale de Libreville.

Auteur : Jean-Thimothé Kanganga

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Airborne dit :

    La securité pentinenciere a desormais un chef issu de la maison qui a fait ses pas là dedans et toute ses formations et carriere; Or l’autre c’etait un parvenu de la famille OBO sans experience du milieu carcerale, juste pour venir devorer le budget et faire le beau et le m’as tu vue avec les etoiles dont il ne connais pas la valeur et l’importance, puisque cela si distribut au gabon comme des petits pains à la sorte d’humeur de la personne. Bon Marius OSSYI tu as tes etoiles, pavane avec vers Pelisson, Palmier d’oré et que sais-je encore ;et bon vent à Moulengui Mfondo. L’homme qu’il faut à la place qu’il faut.

  2. Allo241 dit :

    Les hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Et le Gabon se portera mieux.
    Il n’est pas trop tard pour bien faire les choses.

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