L’équipe d’urgence sanitaire et sociale de proximité du Samu social gabonais a marqué un arrêt le 31 mars 2018 au quartier Akébé Ndjogou, dans le 4e arrondissement de la commune de Libreville. Objectif : consultations gratuites, sensibilisation et distribution gratuite des médicaments aux populations.

L’équipe d’urgence sanitaire et sociale de proximité du Samu social gabonais à Akébé Ndjogou, le 31 mars 2018. © Gabonreview

 

Le Samu social gabonais a organisé le 31 mars des consultations médicales gratuites pour les personnes économiquement faibles du quartier Akébé Ndjogou, dans le 4e arrondissement de la commune de Libreville, Cette activité s’est déroulée en présence du ministre de la Protection sociale, Paul Biyoghe Mba.

«Le Samu social gabonais est un service de proximité qui va à la rencontre des compatriotes en difficultés, pour offrir gratuitement ses prestations, entre autres, consultations, soins, médicaments et conseils. C’est l’occasion pour moi, chaque fin de semaine, de me joindre à cette équipe mobile pour faire le point avec le coordonnateur de la structure, sur l’évolution, les difficultés du Samu social dans chaque arrondissement de la capitale», a confié Paul Biyoghe Mba.

Selon les sources du Samu, 294 personnes ont été consultées pour 44 types de maladies. Il s’agit notamment de céphalée, lombalgie, dermatose, flou visuel, parasitose, rhumatisme, paludisme, grippe, toux, anémie, épigastralgie.

«Nous sommes-là pour ces compatriotes qui n’ont pas de moyens pour se rendre à l’hôpital et qui se sentent obligés de rester chez eux, espérant voir la maladie disparaître et qui malheureusement s’aggrave. Tous les jours que Dieu fait, depuis juillet, le Samu social gabonais part à leur rencontre pour les soigner. Chaque week-end, nous avons entre 300 et 600 Gabonais qui sont consultés, soignés gratuitement, qui reçoivent leur traitement», a assuré le coordonnateur général du Samu social, Dr Wenceslas Yaba.

Au terme de l’étape d’Akébé Ndjogou, plusieurs rendez-vous ont été pris pour des consultations gratuites au Centre médico psychologique, installé au siège du Samu social, au quartier Derrière la prison.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. AIRBORNE dit :

    Donc, Biyoghe, le Samu social la, remplace les cliniques mobiles que Ali a promis mettre a la disposition des gabonais dans tout l’etendu territoire. Vous aussi, arretez de mettre de la vaseline dans les fesses des gabonais pour mieux les entubes. Si vous ne pouvez faire qlq chose dite le, le Samu social, vous les payes combien et comment pour la maintenance de son materiel, l’equipement en medicament et le salaireki des zgents.

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