Comment résister face au festival de maladresses de ses proches ? Comment laisser la justice se mêler de cette histoire sans être accusé de l’avoir influencé ? Comment continuer à servir une population qui semble remettre en cause son état-civil ? A 2 ans de la présidentielle, Ali Bongo est dans une situation compliquée.

Scène de rue à Libreville, le 13 novembre 2014. © facebook.com/dminkoh/afrikimage/Oliver Ebanga
Scène de rue à Libreville, le 13 novembre 2014. © facebook.com/dminkoh/afrikimage/Oliver Ebanga

 
Une fois encore, des proches d’Ali Bongo ont plongé dans des témoignages où les incohérences le disputent à l’amalgame. A plusieurs reprises, en présence d’une foule partagée entre doute et hilarité, Jean-Boniface Assélé s’est trompé, obligeant Patience Dabany à se muer en souffleur. A l’évidence, le président de la République n’avait pas besoin de ce témoignage que l’opinion n’a de cesse d’opposer à celui de sa mère en avril 2009 et plus encore aux précédentes déclarations fracassantes de son oncle. Plus que jamais, l’opinion considère que les différents témoignages sur sa filiation sont dénués de fondements, qu’ils ne font qu’en rajouter au scepticisme et qu’une meilleure coordination s’avère nécessaire. «La communication multiforme qui s’organise autour d’Ali Bongo (…) ne semble ni organisée ni structurée encore moins planifiée. Elle donne l’impression de manquer de coordination, d’aller dans tous les sens», juge notre confrère l’Objectif dans son édition du 14 novembre dernier, constatant : «De fréquents dérapages y ont été relevés». Au passage, il relève qu’ «aucune évolution notoire n’a été enregistrée dans le débat, en dépit de la gravité des accusations portées contre Ali Bongo (…) et surtout de leur incidence sur le fonctionnement des institutions, à l’exemple de la Cour constitutionnelle, directement mise en cause dans la situation qui prévaut actuellement».
Si ses proches font dans une communication qui confine au vacarme, Ali Bongo observe un silence assourdissant. Tout porte à croire qu’il espère que le temps fasse son œuvre, qu’un autre événement d’envergure viennent détourner l’attention de l’opinion de ce sujet scabreux. Cohérente en apparence, cette stratégie n’en est pas moins risquée. Dans moins de 2 ans, le président de la République devra remettre son mandat en jeu. Si un consensus minimal n’est pas établi dès à présent, la question de son éligibilité pourrait revenir. Or, à ce moment-là, les passions seront portées à incandescence. Y arriver sans vider cette question comporte, à l’évidence, de gros risques. Déjà, les réseaux sociaux évoquent cette perspective et se donnent à cœur joie. «On va voir comment il sera candidat en 2016», « On demande l’application stricte de la Constitution», «On attend ce que Mborantsuo va nous dire cette fois-ci», peut-on, notamment lire çà et là. Processus électoral, respect des textes, fonctionnement et impartialité des institutions sont, entre autres, des sujets récurrents. Jamais, on n’a entendu autant de revendications de la souveraineté du peuple. Jamais, la capacité des institutions à l’exercer selon les principes de la démocratie pluraliste n’a autant été remise en cause.
Comme toujours, le pouvoir judiciaire est le plus soumis au feu nourri des critiques. Certes, la plainte du Front de l’opposition pour l’alternance laisse à penser que les forces sociales continuent de croire en la justice nationale. Mais, nombreux sont ceux qui pronostiquent un refus de se mouiller ou tout au moins un classement sans suite. «Cette plainte ne va pas prospérer. Tout le monde sait qu’aucun juge n’aura le courage de la traiter», lit-on sur la Toile. Pour ces commentateurs, seule la justice française peut faire bouger les lignes. Voilà pourquoi sa saisine est perçue comme le seul événement majeur intervenu depuis la publication du livre de Pierre Péan «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pillages au Gabon». La justice gabonaise aurait-elle à ce point perdu tout crédit ? Serait-elle définitivement considérée comme un instrument au service du pouvoir politique ?
Président du Conseil supérieur de la magistrature, le président de la République est «le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire» autant qu’il «statue sur les nominations, affectations et avancements des magistrats». Ces prérogatives constitutionnelles lui confèrent donc un ascendant évident, des moyens de pression sur les juges. Tout verdict en sa faveur ou un éventuel mutisme de la magistrature ne pourrait qu’être analysé à cette aune. Ali Bongo sait que la Constitution le pose en arbitre du «fonctionnement régulier des institutions». S’il a jusque-là privilégié la communication, il doit avoir conscience de ce qu’il ne peut sortir indemne de la plainte formulée par le Front de l’opposition pour l’alternance.
Doutes
D’ailleurs, les tracasseries enregistrées le 13 novembre ont aussitôt ravivé le souvenir du classement sans suite de la plainte formulée le 23 mai 2011 par Luc Bengono Nsi pour «usage de faux avec constitution de partie civile». L’impressionnant dispositif sécuritaire déployé ce jour-là aux abords du tribunal de Libreville a rappelé aux uns et aux autres le 3 septembre 2009 quand les forces de l’ordre chargèrent sur la foule massée à l’entrée de la Cité de la démocratie où se tenait une séance de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap). Attaqué en justice, Ali Bongo ne peut donc pas être que le président du Conseil supérieur de la magistrature ou le chef suprême des armées. Plus que jamais, il doit être président de la République, chef de l’Etat. Il doit tout autant se défendre, veiller au respect de la Constitution, assurer le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et la continuité de l’Etat. Subtil et savant dosage.
Dès le début de «l’affaire Péan», le président de la République aurait dû songer au côté surréaliste de la situation. Mais, son cabinet a préféré miser sur la communication, jouant la carte de la victimisation tout en essayant d’occulter le fond du débat, de rendre inaudibles les différentes prises de position. Et, la pusillanimité de ses amis politiques cumulée au ponce-pilatisme des institutions l’ont conduit à une sorte d’enfermement. S’il essaie de rester fidèle à son agenda, de susciter de nouveaux débats, depuis bientôt 3 semaines son état-civil est suffisamment interrogé pour que sa sérénité n’en ait pas pris un coup. Avec le recul, c’est désormais sa capacité à regarder vers l’avenir, à défendre la chose publique qui se trouve entamée. La cohabitation entre un président de la République blessé dans son amour propre et un peuple affirmant avoir été floué doit désormais être examinée. Si, comme dirait Jacques Chirac «la force d’un leader vient de la confiance de sa base», on ne peut que nourrir quelques doutes quant à la suite des événements. Avec froideur et lucidité, il convient de scruter l’horizon, interroger l’avenir.
A moins de 2 ans de la prochaine présidentielle, le terrain politique prend une texture de sables mouvants. Si, comme l’a si souvent rappelé son porte-parole, Ali Bongo est fondé à aller au bout de son mandat, il ne peut ne pas songer à tirer les enseignements de la situation actuelle pour adapter sa gouvernance, ses modes de faire. Au-delà, il y a lieu d’imaginer le climat, l’ambiance générale qui prévaudra désormais. Une ambiance qui pourrait être pire que celle que le pays a connue au lendemain de l’investiture d’Ali Bongo le 16 octobre 2009….
 

 
GR
 

62 Commentaires

  1. Minko dit :

    Chère Roxanne.
    Tes différentes analyses sur ce sujet mettent à jour le plus gros mensonge de notre jeune pays .
    Un ami émergent me confiait récemment ; » nous verrons plus facilement la Marina que l’acte de naissance d’Ali b!
    Ne dit on pas  » En Com , plus le mensonge est gros , plus il a de grande chance de passer …! »

    • olivier dit :

      Minko, ton ami émergeant est mauvais, je me tord de rire.
      Bon plus sérieusement, pourquoi présenter un faux acte de naissance, rapidement fait en Mai 2009 si on a un original ? Qui il soit en France ou au Congo, ils s avaient le temps et les moyen de faire un tour et de le récupérer, si ils ont présenté un faux c est qu il n y a pas de vrai. Au delà c est connue, même du temps de notre jeunesse, Ali est Biafrais, la question c est pourquoi les Mba Obame, Eyenge Ndong, Mamboundou et compagnie n ont rien dit en 2009 ? pourquoi il n en pas interpeller publiquement sur ce question? pour cela a mes yeux ils sont aussi coupable que les institutions qui ont laissée faire

      • gee dit :

        M. Olovier faut pas penser que le gabonais choisi son president quand la presidence française est dirigée par la droite.en 2009 en france c’est sarkozy qui est president et la droite française c’est le pillier de la france afrique contrairement a la gauche,le pré carré savait qu’Ali n’etait pas gabonais d’origine mais lui a presenté un dossier favorable pour maintenir les interets français (la richesse gabonaise,la base de l’armée française au gabon).Donc meme si un opposant criait personne ne devrait réagir,les opposants ont réagit mais la population en 2009 a fait quoi face a l’armée ? rien,donc ce n’est pas une poignée de 5 hommes qui peuvent crier,les institutions sont gérées par les pedegistes comment le dossier ne devrait t il pas passé?les chaines nationales sauf tv + peuvent vous accorder des heures de passage pour crier au scandale,moi je dis que les opposants tant qu’ils iront participés aux élections organisées par le pdg ils seront perdant car c’est logique qu’ils perdent.Les populations sont complices car en échange d’argent et aliments elles donnent leurs voix donc tous les moyens sont réunis pour que les opposants soient faibles.la voix n’est plus aux opposants mais au peuple.il faut arrêter avec le marchandage de voix,la soumission face a un parent qui fait la politique.

        • olivier dit :

          tout ça c est de la démagogie. Vous allez me dire qu un Mba Obame qui lui même a reconnue avoir emporter les clés de la triche, quelqu’un qui a été au cœur du pouvoir, de la manipulation des élections et donc pouvait avoir confiance a 100/100 aux institutions? ensuite ma question reste la même pourquoi ils n ont pas interpelle et prendre la population a témoin fasse a la candidature d Ali vue que tous savaient que c est un biafra ? La droit aurait pu choisir un autre candidat et la droit n a empêchée personne de dénoncer aux yeux du monde qu Ali était briafrais

          • L'Africain dit :

            Olivier, c’est pas un biafra mais un biafrais.

          • Mbia mote dit :

            Olivier tu as certainement raison, mais en y regardant de plus près, tous ces opposants d’aujourd’hui connaissaient bien les rouages de la politique françafricaine.Je pense pour cela qu’ils ont bien fait de se taire à ce moment là car ayant bien compris que la France avait choisis de soutenir Ali. ç’aurait été une erreur car la France de Sarkozy aurait certainement trouvé le moyen de balayer ce problème et cela pour de bon.Il fallait donc attendre le moment ou les choses sembleraient moins favorable à Ali pour véritablement jouer cette carte. Et je pense même que cela explique le vent de panique qui souffle dans le camp des émergents car ces gens n’ont en réalité jamais trouvé eux même la solution à leurs problèmes.Ils attendaient tous de la France. si non, comment expliquer tous ce cafouillage devant les médias? Je pense que si je quitte chez moi pour parler d’un problème à la télé, le minimum c’est de préparer et m’entrainer sur ce que je vais dire et si le problème concerne toute la famille comme cela semble être le cas avec Ali, alors, la famille se concerte et se fixe sur le discours à tenir. Mais je pense que ne voyant aucune solution venir du coté de la France( conséquence surement de l’arrogance avec laquelle Ali et ses émergents traitent leur partenaire),nos amis sont pris de panique et tel des poussins à la vue d’un épervier,chacun, désorienté,fuit de son coté. Ali ne dit toujours rien sur ce problème car il n’a rien de sensé à dire,il cherche certainement la meilleur manière de contourner ce problème mais il n’y a pas de meilleur manière.Comment a t il seulement pu déposer l’acte de naissance fait par M. Akassaga avec autant d’erreurs visibles à l’œil nu et à des kilomètres? C’est ainsi quand on s’en fou et qu’on délègue tout(à des incompétents). On lui a certainement conseillé de faire les modifications nécessaires mais il a surement répondu « on s’en fou le pays est à nous et c’est pas important » sauf qu’aujourd’hui il doit regretter d’avoir été aussi négligeant et arrogant.

      • raphael bandega lendoye dit :

        Pourquoi? Parce que lorsqu’ils ont fait confiance aux autorités chargés des élections. Les dossiers des candidats ne faisant l’objet d’aucune publicité, ils ne pouvaient pas savoir qu’il avait présenté un faux acte de naissance. Là est le centre du débat: comment une pièce d’identité qui est fausse aux yeux d’un enfant a-t-elle été validée par des institutions républicaines? Pourquoi l’on a validé un acte de naissance dans une élection pour être chef d’Etat lorsque les mêmes institutions l’aurait rejeté pour une élection locale? Pourquoi se taisent-elles? Leur responsabilité crève les yeux?

        • Nzegho dit :

          Bonjour Monsieur Bandega Lendoye,
          J’ai du mal à comprendre votre discours au vu de votre position au sein de l’opposition…
          J’ai du mal à croire que ce soit vous qui avez écrit cela.
          Comment faire confiance aux autorités même si les dossiers de candidature ne faisant pas l’objet d’une publicité?
          L’article 10 de la constitution est pourtant clair, publicité ou pas, vrai acte de naissance ou pas, Ali Bongo n’aurait JAMAIS du être candidat à cette élection présidentielle.
          Pourquoi soulever ce débat aujourd’hui alors que vous auriez pu le faire une fois l’annonce de cette candidature.
          Vous donnez ( l’opposition) l’impression au peuple gabonais de faire le jeu du pouvoir, comment voulez vous que l’on puisse être derrière vous qu’en bien même certains dirigeants de l’opposition trainent des casseroles aussi grosses voire même plus grosses que la personne qui est l’objet du débat aujourd’hui?
          Nous voulons tous le changement, mais de grâce proposer au peuple gabonais un vrai projet.
          Ce débat est un faux débat et nous le savons tous.

          • raphael bandega lendoye dit :

            Je persiste et signe:les candidats de l’Opposition ne savaient pas au moment du dépôt de la candidature disputée que l’acte de naissance était faux. Seules les autorités chargées de l’administration des élections(CENAP, Cour constitutionnelle)pouvaient le savoir. Ce sont elles les principales fautives sur ce point. C’est là le vrai débat: la CENAP et la Cour constitutionnelle auraient dû rejeter cette pièce dont les irrégularités sautent aux yeux. Pourquoi ne l’ont-elles pas fait? Elles ont failli à leur mission en tenant la commune renommée et les propos des parents pour vérité légale. Elles ont ainsi failli à leur charge de traiter tous les candidats selon les mêmes règles. Elles devraient les premières en tirer les conséquences et se démettre de leurs postes.
            Quant au reste de vos propos, il faut dire que les casseroles que vous accrochez aux basques de l’Opposition ne peuvent pas excuser, si elles existent, les violations de la loi commises par les Bongo. Dénoncez-les après les avoir établies. Or tel n’est pas le cas. Beaucoup relaient de tels propos par habitude, ce qui est le propre de la calomnie. Enfin, le projet ne crée pas le changement. Le nôtre existe et se dégage aux yeux de ceux qui veulent bien le voir. Et si tant est qu’il ne se voit pas, il n’empêche pas de discuter d’autre chose.

      • terre est ronde dit :

        Mon frère olivier, ce que tu dis des responsables politiques là n’est pas vrai. Ce n’est pas bien de vouloir noircir en permanence la classe politique. Ce sont nos dirigeants. La campagne de 2009 a été faite sur fonds de nationalité douteuse d’Ali. Le peuple le savait, dans les meetings, il en était question. Mais il était clair que le cout d’état allait se perpetrer avec la bénédiction des memes institutions : cenap, cour contionnelle, armée, rogombé.D’ailleurs, le recour intenté par Bengone Nsi a été rejetté sans ménagement. Donc le peuple n’a qu’à traiter ce problème aujourdh’ui sans désigner les boucs émissaires.

    • Aloise Moussossou dit :

      Bonjour a toi,
      Meme si Ali produisait un Acte de Naissance, on trouvera toujours choses a dire.
      Ici chacun raconte ce qu’il sait de la vie d’Ali Bongo. Les propos de Pierre Pean ne sont, par exemple, pas exactment ce que Tomo a sorti…

  2. GABOMA dit :

    ahhhhhhhh, c’est pas a cause de 20 personnes, qu »ALI pour perdre ces elections, ou encore avoir peur de poseer sa condidature. tu c’est gabonais qui font du bruit la en les connais.

    • Don Corleone dit :

      Ta gueule tu ne dis rien de concertant

      • Combo gombo mauvais bois dit :

        Gaboma et bolivez, taisez-vous parce que vous n’êtes pas Gabonais d’origine et ne connaissez pas la teneur de l’article 10 de la Constitution. La fin du règne d’Ali est arrivée et la vôtre aussi « Quand l’Okoumé tombe, il entraîne tous les arbustes qui sont autour de lui à sa chute ». Laissez les vrais Gabonais faire respecter leur Constitution.

    • j. bolivez dit :

      C’EST VRAI.
      qu’ils nous dises ce qu’ils proposent aux GABONAIS plutôt que de faire du bruit sur un problème qui n’a pas de sens.
      Ils sont bien placés pour savoir ce que l’on appel une transcription et dans quelles cas on peut faire une transcription.
      si cette notion est assimilée, il comprendrons que l’acte de naissance d’ ALI n’est pas faux.
      « Comment continuer à servir une population qui semble remettre en cause son état-civil ? ». cette question est aussi nulle. rassurez vous il y a plus de Gabonais qui font confiance a notre Président que tous ces agitateurs. car, on voit ce qu’il fait, c’est mieux que ce qui avait été fait par ses détracteurs actuels.
      la vérité est que: ALI VA PLUS VITE QU’EUX AU POINT QU’ILS NE SUIVENT PAS ce sont des vieux en plus, ils ont honte de leur passé.

      • gabonais dit :

        Il va plus vite en faisant quoi? Nous t écoutons.

      • raphael bandega lendoye dit :

        Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut entendre.

      • keller dit :

        Bj tu dis c’est un probleme qui n’a pas de sens? un peu de respect pour ta constitution si t es Gabonais.Ton acte de naissance se trouve ou? a ton age tu ne laissera pas tes parents repondre n’est-ce pas?
        Salut!

      • Mbia mote dit :

        M.J bolivez j’ ai vraiment honte de votre discours car si vous trouvez qu’Ali a fait quelque chose dans ce pays depuis qu’il est au pouvoir et vous voyez cette chose,c’est deux choses l’une: soit vous etes de ceux là qui pillent le pays, soit vous sortez du trou le plus profond et le plus obscure de votre village et que c’est la première fois que vous voyez Libreville. Si non vous auriez remarqué que tout est comme avant moin Jeanne Ebori,moins le palais des conférence à la cité de la démo, plus un banc de sable à la place du port mole, plus des ponts (que toi tu appelra certainement échangeurs pour n’avoir pas encore vu un vrai échangeur)inachevé,des routes plus défoncées et des grèves généralisées.Il va vraiment vite pour avoir dégradé le pays en si peu de temps.Bravo

  3. gee dit :

    Ali BONGO s’enfou de la plainte tout comme les pedegistes,c’est au peuple de se lever comme un seul homme et lui dire sans violence libère le pouvoir,maintenant s’il ne veut pas on passe a la vitesse supérieure,vous rêvez que un magistrat,ou mbourantso ou je ne sais qui lui dise part?mais ils n’ont pas les testicules pour le faire,tous sont soumis au pacte de franc maçonnerie,et ne rêvez pas que la France vienne comme sa lui dire part,non ce sont les populations qui doivent marquer le pas.Ali s’en fou il considère que le peuple est faible donc même en 2016 il sera la pour influencer avec l’armée qui est son esclave .Moi je dis que la solution est au peuple y’a pas a espérer je ne sais quoi chez qui,c’est le peuple : phase 1 on lui dit part, phase si il ne veut pas alors tous les moyens seront utilisés car ce sera la légitime défense car c’est un imposteur.Mais comme le gabonais est faible,peureux et divisé c’est un rêve,l’eau de la seeg,le maraboutage,la bière et autres pratiquent rendent faible certains.et pour moi sa n’arrivera pas,Ali sera au pouvoir toujours sauf si la mort naturelle l’emporte.le gabonais n’a pas les testicules tant le civil que le militaire.

    • raphael bandega lendoye dit :

      Vous devez un peu plus de considération à vos compatriotes. Il y a parmi eux dont la constance dans les idées n’a jamais varié. Il y a qui s’y associent. Ils croient ensemble aux vertus de la pédagogie et de la patience mais ils sont déterminés à aboutir. Il faut pour cela que leur exemple soit suivi par de plus en plus de Gabonais. C’est tout. Et ça vient!

  4. jean -jacques dit :

    cher gaboma la strategie de sces VIEILLARDSqui sont au chômage n’aura pas d’effet, ils pertubent le pays. peut être ping prepare ses milices em cote d’ivoire chez as femme , mais ils trouveront les militaires pour faire faire la faite ses milices. mais si c’est les gabonais qui ont deja une histoire avec mba abessolo iront dans la rue ping se trompe. il a des enfants . myboto a des enfants tous ces vieillards ont des enfts peut être ils iront das la rue pour se retrouver à gros bouquet, aujourd’hui avec la technologie c’est facile pour localiser identifier ses vieillards tous ce qu’ils preparent ou ce qu’ils parlent ils connaissent quoi?on doit les laisser s’agiter et se fatiguer.2016 arrive.

  5. jean -jacques dit :

    cher gaboma la strategie de ces VIEILLARDS qui sont au chômage n’aura pas d’effet, ils pertubent le pays c’est tout, peut être ping prepare ses milices en cote d’ivoire chez sa femme , mais ils trouveront les militaires ses milices. Mais si c’est les gabonais qui ont deja une histoire avec mba abessolo iront dans la rue, ping se trompe. il a des enfants . myboto a des enfants tous ces vieillards ont des enfts peut être ils iront dans la rue pour se retrouver à gros bouquet, aujourd’hui avec la technologie c’est facile pour localiser identifier ces vieillards tous ce qu’ils preparent ou ce qu’ils parlent ils connaissent quoi?on doit les laisser s’agiter et se fatiguer.2016 arrive.
    vous faites honte toute la nation la France que vous insulter solvente vous accuser aujourd’hui c’est maintenat la justice française qui doit traiter votre probleme ,, je ne sais pas pourquoi pour l’onu ne vote pas une resolution pourque les faux opposition qui ne font pas une politique d’idée passent leur temps à accuser, insulter les autres doivent être traduit em justice et condamner.Au Gabon tous ces vieillards allaient déjà se retrouver à gros bouquet.

  6. témoin occulaire dit :

    Chère Roxanne,
    Dans les années 70, le président NIXON (USA), empétré dans le WATERGATE a été destitué. Bill CLINTON a failli connaître le même sort pour une banale affaire de dessous-de-culotte avec sa collaboratrice. Comment chez nous alors que pèsent sur la prémière institution du pays des forts soupçons d’usurpation et de faux et usage de faux, celle-ci peut demeurer en place?
    Comment peut-on continuer à avoir pour président un usurpateur?
    Soyons sérieux avec nous mêmes!Je pense que dès à présent et jusqu’à ce qu’il nous rapporte la preuve qu’il est né gabonais, tous les gabonais devraient rentrer dans une sorte de désobéissance civile, parce que le problème est très grave.
    Je ne comprends donc pas pourquoi les syndicats vont ce matin discuter avec quelqu’un qui manifestement est un faussaire.

  7. le gabonais d'en bas dit :

    Ok gabonais on les connait, mais ce qui parait anodin, peut devenir incontrôlable un jour.

  8. Bantu dit :

    Le sujet est assez sérieux, comment va-t-il s’en sortir ? Car de toute évidence son acte de naissance est tellement faux que le plus nul des faussaires s’en moquerait:
    -Nom : Ali Ben Bongo Ondimba né en 1959 au Congo ( donc est-il né sous le prénom de baptême musulman ALI?Ne s’appelait-il pas Alain Bernard?)
    -père Albert Bernard Bongo Ondimba ( alors que Bongo père a rajouté Bernard bien plus tard dans les années soixante)
    -Mère Josephine kama agée de 14 ans et mariée déjà à Bongo(quel officié d’état civil a pu marié un adulte à une mineur?On connait tous que ce monsieur était homme à femme; et elle a apparemment accouché par césarienne qui ,selon l’histoire, n’était pas encore pratiquée dans le MONDE , donc elle devrait être dans le Guinness book comme étant la première femme de l’humanité à l’avoir subi)
    Un avocat débutant ébranle facilement le camps d’Ali avec ça !!!
    Mon Hypothèse pour 2016 est que la CENAP et la cours Constitutionnelle mettrons un droit de veto et ne voudrons pas qu’on consultte le dossier d’Ali et il se représentera avec le même faux acte

  9. manondzo dit :

    La plainte des opposants n’aboutira pas, parce qu’il n’y a aucune preuve. Soyons sérieux, vous ne pouvez pas accuser quelqu’un d’être étranger et lui demander de prouver le contraire! C’est à vous l’accusateur de fournir la preuve de vos accusations point barre! De plus vous faites une mauvaise interprétation de l’article 10 de la constitution. Dans cet article, on ne parle pas d’adoption mais plutôt de l’acquisition (tout gabonais ayant acquis la nationalité…). Or l’acquisition est un acte juridique que l’on peut facilement retrouver au tribunal; lorsqu’on acquiert une nouvelle nationalité, on présente, dans son dossier l’ancienne nationalité. Si Ali a été adopté, il n’est pas concerné par l’article 10 car il n’a posé aucun acte d’acquisition de nationalité gabonaise; il a toujours été gabonais, car ne justifiant matériellement d’aucune autre nationalité, sauf preuve contraire, et c’est à ses accusateurs d’apporter cette preuve. Tout le reste c’est du blabla!

  10. Bangando du mapane dit :

    « La population qui remet en cause son etat-civil? »… Vous rigolez!! La population s’en fout de cette histoire dans sa large majorité.

  11. steed dit :

    @Manondzo : votre observation a du sens. Mais elle n’est valable que si l’enfant adopté est gabonais de naissance. Dans cet unique cas, il n’y a pas de changement de nationalité. Hors, il est dit que notre champion était de nationalité nigerianne à sa naissance. Et biaffrais lors de son arrivée au Gabon. Il est donc devenu gabonais après sa naissance. L’article incriminé de la constitution s’applique donc dans ce cas. Soyons patriote et défendons la Nation et sa Constitution. On ne joue pas avec la Constitution. La Constitution n’est pas une option.

  12. manondzo dit :

    La plainte des opposants sera irrecevable, car ne comportant aucune preuve que Ali n’est pas gabonais; et ça les opposants le savaient avant de déposer la plainte, ils l’ont faut juste pour du buzz. Par ailleurs, même si Ali avait été adopté, il n’est pas concerné par l’article 10 de la constitution qui parle d’acquisition et non d’adoption. Or l’acquisition de la nationalité est un acte juridique dont on retrouve les traces au tribunal et dont le dossier contient une preuve de l’ancienne nationalité. Or on a aucune preuve de l’ancienne nationalité d’Ali, il a toujours été gabonais, point barre.

    • Don Corleone dit :

      Ha ce manondzo toujours aussi nul cire les pompes et ferme-là

    • raphael bandega lendoye dit :

      Vous ne savez pas de quoi vous parlez!

    • penseur libre dit :

      Manondzo,ton post est faut de faut aussi faux que l’acte de ton chef,si Ali est bien gabonais il ne peu passé outre la loi car née avec le nom alain bongo puis deviens Ali bongo puis rajoute plus tard le patrimonyme Ondimba,mr Ali serai aller au moin 2 fois au tribunal pour la procédure de modification de nom sous ordonnance du tribunal et sur la base d’un jugement supplitif suivi d’1 procés en délibération aurai suivi ordonant la mairie ou il a été declaré de procédè au rajout du patrimonyme sur l’acte et toujours sur la base d’1 acte d’origine.Bongo père en tant que président là fait et aujourd’huis il y a ds trace de cette ordonnance,Ali doit au moins nous presenter cette ordonnace lui qui lui a permi d’obtenir 1 acte de naissance avec le nom Ali Bongo Ondimba.point barre ne serais que sa….!

    • Le citoyen libre dit :

      Plainte Irrecevable ?
      Mais la virité est suffisante pour chasser ALI du pouvoir..!
      http://gabonenervant.blogspot.com/

  13. lepositif dit :

    Merci Manondzo. C’est claire, net et precis. Le reste c’est pour etoffer le kongossa.

  14. Bon bah il va falloir que la Biafrerie gabonaise nous explique…

  15. Bienvenu au bongoland dit :

    selon les « emergent », ils ont « construit en 5ans plus de route que Omar en 42ans »! si cela ne s’appel pas un parricide. Comment un « fils »(adoptif) peut il fièrement dire qu’en 5 ans il a fait plusque son pere en 42 ans! franchement alain, si tu etait le vrai fils d’Omar tu ne te serait jamais permis une telle trahison, Christian bongo lui j’en suis persuader serait incapable de salir la memoire de son pere comme tu le fait si publiquement. Filialement PEAn dit vrai, tu en a toujours voulu a Omar parcequ’il ne ta jamais fait un acte de naissance. Maintenant tu le lui fait payer, en faisant croire que « tu travail plus que ton pere ». Vu que tu es incapa ble de defendre le bilan de ton « pere » adoptif, alors sache que pour moi, tu a vole en 5 ans plus d’argent que ton « pere » adoptif n’a vole en 42 ans

    • gabonais dit :

      Tu es sur la bonne voie. Voilà une petite piste. Il faut prendre le budget de l état et le décortiquer. Prend le budget sur une année, budget affecté à La construction de la route.compare maintenant si le budget alloué correspond au nombre de kilomètres de route réaliser. Et après cette petite étude tu pourras dire avec la dernière énergie ce que tu veux.

  16. relouato dit :

    manondzo relisez le code de la nationalité su gabon. C est à celui qui affirme être gabonais de prouver son appartenance à la nation. et toc. ton commentaire tombe à l eau. Obama président des usa à été confronté à un problème de déni de sa citoyenneté américaine. pour taire au plus vite les critiques. à t il fait venir sa tribu du Kenya pour chanter et sauter aux usa afin de prouver qu il est né aux usa ou au Kenya? à t il ramené des Masai et une antilope ou un cow ( boeuf vache)à la maison blanche pour montrer son ancrage au pays des Masai ou celui des yankees? il a tout bonnement présenté son acte de naissance et la polémique à pris fin. lors d un banal contrôle de police présentez vous au policier votre visage souriant pour justifier de votre nationalité ou bien encore interpellez vous un passant ou un voisin pour venir témoigner en votre faveur? je pense que vous avez encore un peu d honneur et d intelligence pour comprendre que la seule présentation de la pièce d identité fait foi et vous dédouane de la suspicion de l’agent de police. C est le minimum incompressible qui est demandé. faites honte à Pean et aux opposants en présentant le petit bout de papier. ils ne parleront plus. sinon le reste n est que balivernes. pour être républicain je considère pour ma part qu il y a un réel problème qui empêche au président de le faire. C est l accumulation des incohérences et l inexistence de ce papier. comment en sortir? un discours à la nation. une reconnaissance des incohérences et demander au peuple si on peut les corriger par une une modification de la constitution par voie référendaire . convoquer une rencontre politique de tous les acteurs politiques syndicauts et associatifs. débattre de ce que nous voulons faire ensemble de notre gabon. formation d un gouvernement transitoire chargé de mettre en place une nouvelle constitution avec délimitation de 2 mandats de 5 ans. suspension des institutions en place qui ont failli. arrêter toutes plaintes de part et d autre. En somme une veritable conférence nationale et une réconciliation nationale. Il faut que les gabonais puissent se parler librement de leurs problèmes. Ali qu il soit devenu gabonais ou pas fait désormais partie del la communauté nationale. Il devrait désormais comme tout gabonais se conformer aux lois du pays soumises à tous.

  17. Mboka dit :

    Vous serez tous surpris quand l’acte de naissance original apparaitra venant du Congo de chez son oncle, père, et frère (de lumière) Sassou. La falsification, il la mettra sur le dos de l’émetteur de cet acte, maire du 3eme arrondissement. Ce dernier partira en prison pour quelques milliards.

  18. relouato dit :

    Pour compléter mon propos. la solution mr le président ne viendra pas ou plus du camps qui est le vôtre ( familial amical et politique ). l opposition à travers un dialogue national peut vous aider à sortir de l impasse dans laquelle votre camps vous enferme par des approximations des mensonges flagrants des menaces etc… beaucoup d hommes politiques à l instar de Compaoré au Burkina de Ben Ali en Tunisie et cc ont perdu le pouvoir à cause du son des sirènes de leur entourage. un homme politique aguerri de la trempe de celui qui est votre père puisait aussi ses stratégies dans les propositions du camp d en face. écoutez de temps en temps ceux qu ils ont à proposer cela éviterait au pays et à vous même des déconvenues connues et vécues ailleurs. mes ennemis sont souvent ceux qui me disent la vérité et mes amis le mensonge car ils me flateront tant que j assurerais leur prebende. disait un homme politique.

  19. Bouka Rabenkogo dit :

    Bonne lecture en ce lundi pluvieux du 17 novembre 2014 : La vérité n’a pas de date de péremption!!!
    Lire: http://gabonenervant.blogspot.com/

  20. jean-jacques dit :

    Ali Ben est gabonais point final,c’est Ping qui est chinois sa saute aux yeux.

  21. Vert-jaune-bleu dit :

    LA MARCHE VERS LA LIBERTÉ
    Ali a-t-il un peu de vrai en lui? qu’est-ce qui est vrai chez ce type? Il est temps de prendre réellement conscience du bras de fer qui aura lieu en 2016 ou pourquoi pas avant; le peuple gabonais souffre depuis de longues années justement à cause de cette tricherie qui caractérise tout le système PDG; tout est faux chez eux même le soutien accordé à leur distingué camarade ce sont des militants du ventre aucun pédégiste n’y est par idéologie tout est faux chez eux. Le Gabon ne se relèvera que si vous les gabonais libres décidez de libérer votre pays. Je vous invite tous, vous gabonais libres, à marcher vers la liberté. Ce n’est plus un secret, la campagne de 2016 a débuté; battons campagne d’abord pour faire partir les menteurs, les tricheurs, les voleurs, les assassins, les féticheurs etc. la marche vers la liberté c’est maintenant qu’elle commence!!!

  22. Nzalemutubu dit :

    Ali n’a encore rien dit ; la vérité n’a pas de loge. L’acte de naissance d’Alain vous sera bientot présenté et vs serez surpris ! Bonne jnée !!

  23. philippe vouette dit :

    Il y-a vraiment de quoi pleurer en lisant certains écrits……
    Nous sommes tous témoins de crimes rituels dans ce pays … en augmentation depuis 2009 …mais vous défendez ALI !!!!
    Nous sommes tous au courant des morts de POG et d’ailleurs (au Gabon) lors des élections de 2009….mais vous défendez ALI !!!!
    Nous sommes tous au courant que le directeur de cabinet est Béninois….mais vous défendez ALI !!!!!
    Nous savons tous au courant que l’argent du trésor est maintenant A la présidence…mais vous défendez ALI !!!!
    Nous sommes tous au courant que la PIP est entrain d’être payée A cause de la pression des syndicats de tous bords…mais vous défendez ALI !!!!
    Lorsque vous n’aurez pas de salaire par manque de liquidité il sera trop tard….
    Pour avoir un simple passeport au GABON c’est la croix et la bannière avec tous les documents A fournir ….mais vous tolérez le fait qu’ALI puisse être au pouvoir au détriment de tout…avec un faux acte de naissance, de faux diplômes… POURQUOI ??????
    Je vais vous dire pourquoi !!!!Aujourd’hui j’ai compris pourquoi ….
    LE GABONAIS EST UN LACHE, UN LECHE CUL SANS CONVICTION, SANS IDEOLOGIE ET SANS HONNEUR …
    EN 2009 A PORT-GENTIL J’ETAIS DANS LA RUE ET J’AI VUS DES COMPATRIOTES MOURIR …….POUR LA LIBERTE !!!!!!
    MAIS FRANCHEMENT MOURIR POUR DES LACHES COMME VOUS !!!!! C’EST UNE DOUBLE MORT ….LE GABONAIS SE COMPLAIT DANS SA VIE DE MISERE ET LES AUTRES DANS LEURS MEDIOCRE AVANTAGES ….
    NOUS RENDRONS TOUS DES COMPTES A DIEU ……ACCEPTER, SOUTENER ,DEFENDER ALI MAIS UN JOURS !!!!!
    Cordialement,
    Philippe Vouette

  24. Yupanqui dit :

    Ali Bongo, quel faussaire !!! Non l’affaire est trop grave, faut tirer tout ça au clair.Ali, un peu de courage, vas faire ton test ADN avec maman Dabany, c aussi simple que ça.

  25. Yupanqui dit :

    Ali ton acte de naissance stp , le vrai, l’original, pas le faux! Ce pasteur reconnaît qu’il a un frère biafrais. Ali est biafrais, il le sait car il avait rendu visite à ses parents biologiques. J’espère que cette vidéo le filmant discrètement chez ses parents du Biafra circulera bientôt. Ali a toujours pensé que les gabonais étaient des naïfs. J’en veux un peu à Amo de ne pas nous livrer tout ce qu’il sait sur son frère biafrais Ali. Il a des documents, des vidéos et autres. C’est le moment de nous les divulguer !

    • Lekoni-Lekori dit :

      @Yupanqui. AMO est le père d’Ali pour tout savoir sur lui et avoir des vodéos ? Toi tu dois avoir des vidéos de choses secrètes de tes amis, non ? Tu sais tout sur tes amis non ? Cherche d’autres coupables….

  26. lpandy dit :

    J pense qu’au delà des lois, articles: je vx dire au delà de la lettre, le president s’il sait qu’il est biafrais et qu’il nie sa véritable origine, je suis sùr qu’il en souffre au fond de lui. Ces enfants en souffrent. Ils sont déracinés: ne savent pas où il viennent,quel sang coule dans leur veines. Je pense que Bongo père en ajoutant « Ondimba » à son nom l’a fais pour respecter ses origines. Toujours, au dela de la lettre, le fait qu’Ali ne sache pas parler sa langue vernaculaire et qu’il nous pousse vers l’anglais, peut conforter le peuple dans les doutes qu’il a sur sa nationalité. J’avoue qu’il a eu un dstin triqte. Rt ça le poursuit aujourd’hui.

  27. Ndouna Germain dit :

    Ali dispose d’un Jugement supplétif d’acte de naissance délivré en 1968 après l’acte officiel d’adoption, sur lequel se trouve bien son nom et ses origines biafraises Rappelez vous bien qu’à cette époque Monsieur Bongo qui venait d’accéder au pouvoir sous le système rigoureux de Mba et des colons ne pouvait pas se permettre de triturer un document juridique.
    En Août 2009 l’équation n’était pas la même, tous les organismes à leurs bottes,mais il ne faisait pas bon tout de même de présenter ce document( le jugement d’adoption)qui aurait fermé la porte de la campagne présidentielle à Ali ben Bongo devenu d’ou la création d’un faux par Akassagha. Nous disons que Ali est Gabonais, Fils Biafrais adopté par Nkama Joséphine, qui aurait dû ne pas être admis à concourir aux présidentielles de; 2009 à cause de l’article 10 de la constitution Gabonaise qui ne le lui permet pas. c’est un parjure pour ce qui concerne ses parents Assele et sa Sœur. Nous ne comprenons d’ailleurs pas pourquoi après avoir dit la vérité sur les antennes d’une chaîne de télévision en 2009 se serait=il mis à mentir en 2014? S’est-il fait acheter une fois de plus? En bon maître chanteur qu’il demeure?

  28. manondzo dit :

    Vous allez vous égosiller avant 2016!

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