Dans un entretien accordé le 23 novembre 2016 à la chaîne de télévision privée TV+, le coordonnateur de l’Union sacrée pour la patrie (USP), a réitéré la ligne de conduite de la plateforme qu’il conduisait, à savoir «la destitution pur et simple d’Ali Bongo Ondimba».

Le Professeur Albert Ondo Ossa. © D.R.

Le Professeur Albert Ondo Ossa. © D.R.


 

Le long silence observé par le professeur Albert Ondo Ossa entre la campagne électorale d’août dernier et la crise postélectorale n’a pas pu altérer l’ambitieux choix de l’homme, de voir le peuple souverain procédé à la «destitution d’Ali Bongo Ondimba». Pour lui, il n’y a pas d’autres alternatives que cette voie.

«À mon avis, il faut que les Gabonais se ressaisissent pour défendre effectivement leur liberté, pour véritablement sauver notre pays. Il faut revenir de mon point de vue, à ce qui a été établi avant : la destitution d’Ali Bongo. Il n’y a pas d’autres alternatives», a déclaré Albert Ondo Ossa, expliquant que «ce thème destitution, nous vient de la constitution, or la constitution procède d’une volonté populaire. On a un thème, il y a un contenant, le peuple doit pouvoir lui donner un contenu».

Contrairement à ceux et celles qui reposent leur espoir d’alternance au sommet de l’Etat sur la publication du rapport de la mission d’observation électorale de l’Union européenne annoncée pour le 7 décembre prochain, l’ancien ministre de la Recherche scientifique et du Développement technologique (2008) d’Omar Bongo Ondimba, affirme ne rien attendre de ces conclusions pour établir la deuxième République.

«Très honnêtement je ne vois pas ce qu’on devrait attendre du rapport de la mission d’observation électorale de l’Union européenne, d’autant que nous avons les éléments de ce rapport, qui circulent même dans les réseaux sociaux. Je ne connais pas d’exemple ou l’Union européenne se soit prononcée à propos d’une élection qui a eu lieu et que véritablement son avis ait été déterminant pour quoi que ce soit. Ce qui veut dire que pour ma part, nous n’avons pas à attendre beaucoup de ce rapport», a-t-il tranché.

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Jean . jacques dit :

    Ce saloup pense qu’il est a la capacité…

  2. Rtg1 dit :

    Quand une panthère tient son gibier à la gorge il ne lâche pas jusqu’à ce que mort s’en suivent…
    Beaucoup de personne depuis ma dernière intervention sont tombé sous les croc de la panthère gaboma. Car cette dernière n’hésite plus à utiliser le l’artillerie lourde pour atteindre ses fins… kiakiakiakiakiakia !!
    Tous le cocktail pour l’installation du général M.A.O de gré ou de force est fin prêt. Les service secret du Charbo sont au charbon jour est nuit et font un travail mémorable !!
    Sur le plan économique les bailleurs ont de plus en plus de mal à croire que les Mbouroumbouristes sont sur le chemin de l’échec sur tout la ligne. Car pour faire des emprunts on nom du peuple il faut être le « mandataire » de ce dernier. En d’autre terme tout les emprunt contracter après le 27 Août 2016 n’engage que les Mbouroumbourou et ses dernières… kiakiakiakiakiakiakia !! Ils savent que les Gaboma sont prêt à tous gnaguami….
    Le général M.A.O avance est marque des points qui le rapproche chaque jour d’avantage du but final. Les vrais affaires vont bientôt commencé…
    La Coalition a l’initiative maintenant.
    La bonne odeur du pouvoir approche de plus en plus !!
    La Nouvelle République (Rétablissement de la constitution du 15 mars 1991) de TECHNOCRATE arrive à GRAND PAS… 😉

  3. Axelle MBALLA dit :

    @jean jacques….toujours imonde.Mais tu continueras à nous qmuser. Si tu pouvais avoir au moins les 1/10e des savoirs du Prof ONDO OSSA, le Gabon gagnerait 200 ans d’avance…
    Quelle méduocrité vous incarnez!

    • Pierre Manganga dit :

      @Axelle Mballa
      Nous ne sommes pas ici sur des questions académiques, mais sur la réalité politique. On peut très bien être un brillant universitaire et être un piètre politique. C’est le cas d’Albert ONDO OSSA. Omar Bongo en avait fait un ministre pendant trois (3) ans. Il n’a laissé que des maquettes des universités. Toutes ces prévisions économiques et financières à propos du Gabon sont toutes tombées à l’eau. Dites-lui d’aller se faire laver le corps au village, à Minvoul, où il ne met presque plus jamais les pieds. Il y est traité comme un étranger à cause de son arrogance. Si je mens, qu’il aille se présenter aux prochaines élections législatives. Il ne recueillera qu’au mieux 0,3% comme son ami Jean François Copé en France.

  4. lleokhardo dit :

    on y est presque, face à l’adversité…

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