La délégation du National democratic institute (NDI) a été reçue, le 30 mai courant, par le ministre de l’Intérieur.

Séance de travail entre les responsables du ministère de l’Intérieur et la délégation du NDI. © D.R.

Séance de travail entre les responsables du ministère de l’Intérieur et la délégation du NDI. © D.R.


 
À l’invitation du gouvernement, le National democratic institute (NDI) a entamé une mission d’évaluation du contexte électoral national. Le 30 mai courant, sa délégation a été reçue par le ministre de l’Intérieur.  Pour l’équipe conduite par le directeur Afrique du NDI, il était question de s’imprégner du cadre électoral gabonais, avant d’aller à la rencontre des autres acteurs du processus, tout au long des six prochains jours.
Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur, « la délégation américaine a été frappée par les éléments de transparence contenus dans le code électoral gabonais ajouté au processus d’enrôlement par le biais de la biométrie».   Cet échange a duré plus de deux heures d’horloge.
Outre le directeur Afrique, Christopher Fomunyoh, la délégation du NDI comprend, entre autres, l’ancien Premier ministre du Canada, Joe Clark, l’ancienne ministre et ambassadeur de Suède, Maria Leissner, le directeur adjoint Afrique centrale et de l’Ouest, Sophia Moestrup et le directeur pays du NDI en Centrafrique, Paul Amekpo.
Pendant la durée du séjour de la délégation du NDI, il est prévu des entretiens avec les responsables de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) ceux de la cour Constitutionnelle, les partis politiques des deux bords, les médias et la société civile.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. TARAMEK dit :

    MOUBELET montre ce qui est d’apparence juste pour la forme. Une fois cette délégation partie, les vieux démons de la triche referont surface. Iront-ils à la Présidence vérifier les urnes qui sont déjà prêtes?

  2. Obalango dit :

    C’est pas compliqué… les textes des lois gabonaises sont très bien écrit… ce qui pose problème c’est leur application au grès des la bonne volonté des dirigeants… leur a-t-on expliqué que le chef de l’état et la présidente de la cours constitutionnelle n’ont pas le droit d’avoir une activité commerciale mais sont présent dans les conseil d’administration de différentes entreprises?

  3. allombeng dit :

    Quelle injure à l’intellectualité; quelle abomination pour la république; quelle manque de sincérité et de sérieux!!

  4. jimmy dit :

    Avec ou sans vous, nous dégagerons Ali cela ne sert à rien car Hollande paul biya et obiang se seraient retouver au niger , hollande leur a informer qu’il voulait une seconde fois d’ali au gabon.
    Pauvre zaibn, de blanc cette révollution nous la fairons avec ou sans vous comme au Bourkina Faso! Avouer que vous n’y avez rien compris. Au lieu de venir au gabon, portez plainte à nicolas sarkozy pour ce qu’il a fait de la lybie ou du gabon!
    Moi je vous dis que je vais déposer ma plainte contre nicolas sarkozy pour la situation du gabon!

  5. Le très vénérable Grand Maitre dit :

    IL n’y a pas péril en la demeure , le gabon est un Pays démocratique , les élections seront dans la transparence absolu , Pacôme est un homme d’expérience ET rigoureux;

  6. Kem Wr dit :

    Election cash et propre ! Rassurez-vous, tout va très bien se passer, Madame et messieurs. Soyez tranquilles, notre démocratie est en marche sereine. Vous savez d’où vient l’agitation. Ce n’est pas de ce côté-ci. Renseignez-vous plutôt en face. Dans le camp des futurs mauvais perdants. Merci d’être venus. Nous souhaitons plein succès à votre mission. A très bientôt !

  7. Axelle MBALLA dit :

    Qui? Démocrate? MOUBELET BOUBEYA!!
    Suivez son regard, son rictus: on y décèle une impatience notoire à être au soir de cette fin du mois d’août 2016. Les caisses d’armes par les récentes livraisons, et celles antérieures via nos frontières terrestres, ont permis d’équiper tous ses mercenaires. Nos enfants, parents et grands parents en sont tout quittes pour des bastons, et quelques balles tirées de dos(comme toujours) à Libreville ou Port-Gentil. Leur seule garantie à offrir à l’opinion internationales est » que ça saigne encore et toujours ».
    Et, ont-ils promis; c’est pour bientôt!.

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