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Présidentielle 2016 : Pourquoi Ndong Sima s’est auto-exclu de la coalition de l’opposition
L’ancien Premier ministre revient sur les «manœuvres empreintes de ruses» ayant conduit à la désignation de Jean Ping comme candidat de l’opposition au scrutin du 27 août prochain.
© D.R.
A l’instar de Gérard Ella Nguéma, Dieudonné Minlama Mintogo, Pierre Claver Maganga Moussavou ou encore Augustin Moussavou King, Raymond Ndong Sima ira en solitaire à la prochaine élection présidentielle. Militant pourtant pour la candidature unique de l’opposition, l’ancien Premier ministre dit s’être retiré des négociations initiées à cet effet, se refusant de faire partie de la coalition formée par Guy Nzouba Ndama, Casimir Oye Mba et Jean Ping, ce dernier ayant été désigné candidat de l’opposition scrutin présidentiel du 27 août prochain. Dans un post publié sur sa page Facebook, le candidat revient sur les motivations de sa décision. Mais avant, il explique avoir reçu très favorablement les appels à la concertation lancés notamment par Zacharie Myboto et de Marcel Eloi Chambrier. «J’ai donné au premier dans la foulée, après un long échange où je n’ai pas décelé de divergence particulière, mon accord à envoyer à une séance de travail préparatoire un expert en vue de travailler à une synthèse des projets de société des candidats», a affirmé Raymond Ndong.
«Je m’attendais à prendre part ensuite à une lecture de ce projet de synthèse pour en apprécier les éventuels écarts ou les enrichissements par rapport à mon propre projet lorsque j’ai été invité à la séance de travail qui s’est tenue au domicile de monsieur Myboto, le 13 août, en présence des candidats Casimir Oye Mba, Jean Ping, Guy Nzouba Ndama et moi-même», a poursuivi le candidat. Or, a-t-il déploré : «Les travaux qui ont précédé cette réunion des candidats, outre qu’ils ont donné la priorité à la question exclusive des critères de choix du candidat unique et non à l’élaboration d’une synthèse programmatique, ont vu la participation d’un panel hétéroclite composé aussi bien de dignitaires que de membres de la société civile qui s’était déjà signalé de façon très claire par les soutiens apportés à différents candidats». Raymond Ndong a ainsi pensé «malséant de considérer que ce panel pourrait valablement assumer la mission de désigner ce candidat unique de la façon la plus objective possible, ce qui n’était d’ailleurs pas son mandat».
Selon Raymond Ndong, les discussions qui s’en sont suivies ont été focalisées sur le partage des postes à venir en cas de victoire. «Je ne pouvais pas continuer, en conscience, à prendre part à une démarche dont l’objectif principal semblait être le partage des avantages avec des schémas de gouvernements qui renvoyaient à l’époque tristement mémorable du PDG triomphant alors même que la situation du pays commande un sérieux resserrement du train de vie de l’État et un réduction significative de sa taille», a-t-il révélé avant de se résoudre à se retirer de ces négociations et de ne pas faire partie de la coalition formée par ces trois candidats, «qui a principalement scellé la réconciliation ou la reconstitution du Front uni de l’opposition». Un gâchis, pour le candidat qui estime que si l’objectif final était de reconstituer ce groupement, «pourquoi s’être donné en spectacle de façon aussi extravagante pendant près d’un an pour finir par des retrouvailles dont on peut légitimement douter de la sincérité».
Le candidat en a par ailleurs rajouté une couche sur ce qu’il qualifie de «manœuvres empreintes de ruses comme celles qui ont conduit à la désignation d’un candidat puisque certains critères de désignation énoncés ont été manifestement taillés sur mesure». Et ce dernier de citer, en exemple, le critère d’une carrière internationale qui a automatiquement écarté Guy Nzouba Ndama, qui accumule pourtant une expérience de 19 ans comme président de l’assemblée nationale. «Est-ce bien objectif ou même tout simplement pertinent ?», a-t-il demandé. Anticipant déjà d’éventuelles réaction sur sa décision, Raymond Ndong Sima s’est expliqué : «Certains estiment qu’en agissant de la sorte je me fais l’allié objectif d’Ali Bongo. Ceux qui se livrent à de telles conclusions devraient commencer par mettre sur la table une critique aussi systématique que la mienne d’une gouvernance que je n’ai eu de cesse de dénoncer. L’honnêteté intellectuelle m’oblige à récuser une condamnation partisane des écarts à la règle».
43 Commentaires
L’approche de sélection du candidat unique que décrit Raymond Ndong Sima, est certes idéale mais utopique et pas pragmatique. Consolider les programmes des candidats prendrait beaucoup de temps et impliquerait beaucoup plus de personnes dont les spécialistes de chaque candidat qui y ont contribués. Cet exercice s’étendrait au delà de la période de campagne, et n’intéresse pas tant le gabonais lambda qui à soif d’une alternance à tout prix. Ceci dit, l’urgence de la situation n’exige pas cette démarche, actuellement.
Quant à l’approche du partage du pouvoir comme présentée par RNS semble péjorative, mais il n’en est rien. On voit régulièrement la première démocratie au monde (USA) procéder ainsi après les primaires, qui visent à choisir le candidat de chaque partie. Il est de coutume de voir le gagnant offrir des postes importants à ses principaux concurrents dans le but de faciliter le ralliement de leurs supporteurs et d’unir le partie. Il n’y a rien de mauvais dans cela, bien au contraire c’est une assurance pour les supporteurs de savoir que leurs candidats seront impliqués dans la gestion du pays et donc pèseront de leur poids pour influencer la vision du président.
Monsieur Ndong Sima, j’admire vos valeurs, que je partage d’ailleurs, mais il faut être pragmatique. Nous n’avons qu’une chance, ne la ratons pas. Le Gabon vous demande de vous rallier au candidat unique de l’opposition. Faire autrement est se porter à faux aux valeurs que vous défendez et qui sont crucifiées au quotidien par le régime en place, que la multitude de candidatures favorise.
Excellent éclairage, La Lumière.
Certes les joutes politiques sont le berceau de tous les coups tordus et des multiples engagements trahis, mais ici la candidature unique exigeait d’aller au pas de charge. Les stratèges politiques le comprennent et devraient intervenir pour l’expliquer à ces loups solitaires. L’union fait la force quand l’élection est malheureusement à un tour et devant des voyous notoires.
Ici mal concevoir le conten détaillé du programme n’est pas un péril. Durant la bataille et à la période post-électorale, il y aura du temps pour regonfler a l’hélium et affiner vos exigences. Les artisans de la victoire seront nombreux mais la table est grande. Toutes les compétences seront requises. La relance de ce pays sera une tâche titanesque. Car toutes les horreurs financières dissimulées par nos actuels fossoyeurs montreront leurs vrais visages. Elles s’ajouteront à la misère déjà bien établie ça et là.
Bref, le génie créateur de tous sera alors le bienvenu. Vous, RNS, et les autres y avez un rôle stratégique à jouer en gommant les erreurs monumentales de mauvaise gouvernance dénoncées, puis en relançant le pays sur de nouvelles assises. Vous obstinez-vous dans votre posture actuelle?
Avec de telles intelligences( messieurs Auleley et La Lumière) comment persister à rester dans un système qui ne valorise pas la compétence, mais plutôt la complaisance….Bonne analyse les gars bravo!!! Seul le peuple est souverain.
merci « la lumière »
Rien à ajouter, vous avez tout dit!
Honnêtement, Raymond Ndong Sima, vient de me convaincre de voter Ali Bongo et Acrombessi. Je n’ai plus de mots.
Alors partons pour la continuité avec Acrombessi, car RNS n’est pas de taille contre Ali malheureusement.
La manœuvre de Ndong Sima sort au grand jour. Si le peuple n’était pas avec Jean Ping, il ne serait pas venu aussi nombreux. Ndong Sima, dans sa grande méthode de désignation du candidat ne parle pas du critère de popularité qui est pourtant l’élément essentiel. Que représente-il devant Oyé Mba pour ne citer que celui-là? Rien. Que représente -il aux yeux du peuple? Rien. Depuis son passage à l’opposition, il disait déjà que le carnet d’adresse de Ping était insuffisant pour le placer candidat unique. Ndong Sima veut absolument diviser les voix de l’opposition, son plan est claire.Il reste une semaine de campagne, les masques vont continuer à
tomber… Vous faites du bruit autour de son désistement parce que c’est un grand techniciens? Le Gabon regorge de milliers d’hommes intelligents que le système bongo a écarté de la gestion du pays.
NFEYA, j ai bcp appriecie votre analyse. Ceete phrase est correcte est indiscutable:Le Gabon regorge de milliers d’hommes intelligents que le système bongo a écarté de la gestion du pays. j’AJOUTE QUI SONT MM MIEUX QUE NDONG SIMA.
je suis entièrement d’avis avec vous mon frère…
C’est ça même! On fait trop de bruit autour de lui alors qu’il y a d’autres techniciens. Nous n’avons plus de temps à perdre, il veut rester, laissez-le!
Vraiment déçu par ce Monsieur.
Voici quelqu’un a qui on doit encore apprendre ce qu’on appel le dépassement de soit.
Comme la reunion ne tournait pas comme il l’entendait, il a preferer se pousser, que de faire le sacrifice necessaire pour la delivrance du pays, au risque de voir Ali rempiler.
Quant il etait premier ministre combien de magouilles, de distribution de postes, de prise illegale d’interet, de marché de gre a gre a t-il été témoin sans que cela ne l’emeuve pour le moins du monde? Et la, le voila offusqué au plus haut point quant il entend parler de partage de pouvoir en cas de victoire?
En réalité, comme l’a dit Marc Ona Essangui, cet homme etait en fait un agent infiltré a la solde de son mentor Ali. Il allait la pour essayer de faire perdre du temps aux vrais opposant dans de faux debats.
Et maintenant que ca n’a pas marcher il essai maintenant de jouer sur les désaccords inherants aux negociations pour tenter de nous diviser. Avez-vous deja entendu cet homme tenir des propos aussi durs sur Ali?
Pathétique.
Vive GUY NZOUBA VIVE MYBOTO VIVE CASIMIR VIVE JEAN PING. VIVE LA NOUVELLE REPUBLIQUE.
Mr NDONG SIMA ne voulais pas cautionner une coalition de circonstance, une mise en scène pour se partager le gâteau alors que le Gabon n’est pas un gâteau à partager.
L’opposition n’est pas sérieuse ni crédible aux yeux même de la communauté internationale n’ayant pas de projets de société pour le Gabon,comment peut-on écrire un projet pour un pays en 20 minutes ?
Comment des VIEUX de plus de 70 ans déjà fatcu par le poids de l’âge avec des rhumatismes puissent parcourir le pays rencontrer des Gabonais pour connaître leurs réels besoins et suivre l’avancement des travaux comme le fait Ali Bongo Ondimba ?
Ces VIEUX opposants ne luttent que pour conserver leurs privilèges indus que ALI BONGO ONDIMBA a mis fin et fermer le pompe à fric avec leurs amis français ( Bourgi Pean et j’en passe ).
Bigbily, je vais vous poser une question à toi et à RNS: qu’a obtenu le PS Français en se ralliant au 2ème tour de l’élection de Nicolas Sarkozi contre Jean Marie le Pen? rien, car la situation ne commandait pas que l’extrême droite passe au pouvoir. Alors les élucubrations de RNS n’engage que lui-même et il ne doit pas chercher à diviser l’opposition. Il est libre d’accepter ou de refuser la demande du peuple Gabonais mais il ne doit pas offusquer ce peuple comme le font les émergents depuis 7 ans. Le peuple n’a jamais demander le programme commun à la veille de l’élection, il l’a demandé bien avant car il connait bien les égos des hommes politiques Gabonais. Combien le pdg donne à ses alliés pour qu’ils ne présentent pas de candidats aux présidentielles? Pourquoi cela peut-il gêner RNS? s’il s’était depuis rapproché des autres depuis il aurait eu le temps de discuter avec eux et aboutir à un programme commun, aujourd’hui la demande du peuple c’est de nous débarrasser d’Ali. Le reste viendra après. RNS croit-il que ce qu’on a gaspillé pendant plus de 50 ans on peut le redresser en sept ans? Ce que le peuple veut c’est faire partir Ali, réformer l’État dans tous ses compartiments et passer à de nouvelles élections dans la transparence, alors à ce moment tout le monde peut se présenter car aujourd’hui le ralliement de CAM et de G2N c’est le 2e tour virtuel d’une élection à un tour ; ne pas le comprendre revient à voter l’adversaire. Il est encore temps pour tous ceux qui veulent réellement l’alternance au Gabon. L’alternance ce mot qui n’est jamais sorti ni de la bouche d’Ali ni celle Bilié bi Nzé. <>
À chaque fois vous parlez du peuple que le peuple veux du changement parlez pour vous,le peuple lui parlera le 27 août 2016 en choisissant le champion ALI BONGO ONDIMBA
Je suis royalement d’accord avec toi. Kan je lis le reste de commentaires je reste sans voix. Le pays pour ces vieux barons et une part de galette des Rois a ce partager.
Jusqu’à quel âge est-on jeune en Afrique au fait? Au fait quel âge a Ali Bongo aujourd’hui? bientôt 60 ans non? C’est jeune ça? Je ne pense pas. C’est jusqu’à la fin de la quarantaine qu’on est jeune, pas dans la cinquantaine.
Et puis qui est le plus vieux en politique de tous ces candidats au fait? qui fait de la politique depuis son plus jeune âge? On dirait que c’est lui aussi. Oyé Mba depuis 1990 seulement! alors arrêtez de divaguer.
Peu importe l’âge, nous voulons remettre les institutions à plat pour un nouveau Gabon.
pour moi touts cux qui sont contre la candidature unique sont des faux opposants payés par ali, c’est mathmatiqu logique qu’un personne seule ne peut battre ali , comment nier l evidence
on le fait parce qu’on veut juste participer a une election sans gagner ce qu ali voulait, des candidatures eparpillées pour moi ts ls opposants qui clament haut et fort que ce ralliement est négatif pour le peuple ne sont que des suppots d’ali même les bébés au gabon appelaient à la candidature unique, même si apres ils partagent le gabon ou est le pb? je préfère encore avoir un président comme ping un mandat de 5 non renouvelable, élection à deux tours qu’ali pour 50 ans
j’entendais qu’il y avait de faux opposant ils sortent de l’ombre un à un quand on va participer à une élection pour perdre c’est faire gagner son adversaire logique
C’est claire pour tout le monde que Raymon Ndong Sima roule pour Ali, mais c’est vraiment très clair… le fait de continuer ses meetings avec dans l’assistance des militants du PDG venus l’applaudir en est la preuve…
Aujourd’hui sa campagne a viré en attaque contre cette coalition. il ne parle plus du pouvoir, ni de son programme mais juste ce qu’il a déploré dans le processus de désignation du candidat unique… Donc c’était lui le cheval de Troie
MAIS RNS TU PEUX FAIRE CE QUE TU VEUX COMME TU VEUX, Ton maitre ALI DEGAGERA
Il se noie dans un verre d eau, dans ses utopies, dommage il aurait toute sa (petite )place dans la coalition soutenant Ping !
C’est au moins une approche cohérente et morale qui place le gabonais avant les intérêts personnels et partisans dans ce désert intellectuel et dans la masse des prédateurs que vous semblez admirer. Pouah..
Ou Ndong Sima est un bébé politicien, ou c’est un vrai roublard. Hypothèse 1: bébé politicien. Supposons qu’on ait continué, comme il l’a souhaité, à confronter les projets de société, ne fallait-il pas, au bout du compte, arriver à désigner l’Homme ou la Femme qui allait conduire ce projet? N’a t-il pas compris que nous sommes à une élection présidentielle où on doit désigner comme vainqueur un Homme ou une Femme, et qui sera appelé Président de la République? Croit-il naïvement qu’il participe à un concours de Projets, comme celui organisé par Junior Achievement pour détecter les jeunes créateurs d’entreprise porteur de projets innovants? Hypothèse 2: Ndong Sima est un roublard. Il vient à une réunion qui a un objectif clair: « désigner le candidat unique de l’opposition ». Ensuite, il essaie de détourner cet objectif pour emmener tout le monde à des débats interminables d’intellectuels, sachant pertinemment que la dizaine de jours qui leur reste ne permettra pas de construire quelque chose de sérieux. Et au final, il se retire, court dans les médias nationaux et internationaux proclamer haut et fort que l’union de l’opposition gabonaise est impossible. Alors, Ndong Sima bébé politicien ou roublard? Dans les 2 cas, ce n’est certainement de ce genre d’individus que le Gabon a besoin en ce moment crucial.
Ne mentez pas les gabonais. Ndong Sima n est ma le meilleur gabonais dans son domaine. Comme a si bien dit NFEYA:Le Gabon regorge de milliers d’hommes intelligents que le système bongo a écarté de la gestion du pays. Il ya des gabonais ils sont mieux que Ndong Sima.
NDONG SIMA MAGANGA MOUSSAVOU BEN MOUBAMBA ELLA NGUEMA NGOULAKIA ET AUTRES vous porterez la responsabilité de la reconduction si reconduction il ya car ce serait difficile pour qu’Ali l’emporte. Rangez vous derrière PING, vous ne pouvez rien faire seuls, car vous ne pèsez pas lourds. Sauf si vous allez renforcer Ali qui est déja affaibli
Nous devons remercier le PDG-Heritage et Modernité de nous avoir trouvé et choisi le meilleur candidat de l’opposition. Vraiment merci au PDG. Le peuple gabonais, avide de changement saura remercier le grand parti de masse une fois aux affaires. Pour nous avoir choisi cet opposant du pouvoir, nous pouvons rassurer les PDGistes que rien ne changera pour eux à cause de cette marque de magnanimité extrême . Le petit livre rouge est déjà en ecriture.
C’est au moins une approche cohérente et morale dans un désert intellectuel et dans la masse des prédateurs que vous semblez admirer. Pouah..
NDONG SIMA n’est pas le meilleur technicien du Gabon ; les indispensables sont au cimetière.
Il va de soi qu’il était nécessaire de se rassembler autour d’une candidature unique pour l’alternance (vous avez pourtant toute votre place).
Vous avez toujours été égoïste cher Monsieur;
Natif du canton KYE vous n’avez aucune crédibilité et moins encore la popularité dont vous vous faites prévaloir.
C’est une honte et insupportable votre attitude.
C’est la diversion pour éparpiller les voix de l’opposition.
Tout gabonais et toute gabonaise pour l’alternance doit vous sanctionner avec le pourcentage le plus bas possible.
Vous avez édifiez les partisans du changement.
Avant la publication cet article j’avais vraiment de l’estime pour Ndong Sima. Maintenant c’est… pour moi.
Juste vous dire monsieur Ndong Sima, vos propos ne font pas de vous un homme politique. Continuez plutôt dans vos activités personnelles, la veste d’homme politique ne vous convient pas du tout.
Mieux encore, plutôt que d’essayer de nous berner en nous racontant n’importe quoi, crevez l’abcès et allez derrière votre champion Ali.
Votre jeu on le connait
Chers Compatriotes,
N’écoutez pas ce monsieur RNS qui a toujours ramé à contre-courant. Il a accepté le poste de Premier Ministre pour déstabiliser AMO, contre la volonté du Peuple gabonais, en général, et des Fangs, en particulier. Comme Dieu ne fait pas les choses par hasard, il a ensuite été chassé comme un chien de la primature sans le moindre orgueil. Maintenant, qu’il retourne s’occuper de ses bus, c’est suffisant pour celui qui n’a qu’un DEA d’économie et qui a accompagné son professeur de Dauphine à mettre en place le modèle de prévision MEGA…
Les propos tenus par Raymond NDONG SIMA (RNS) concernant les critères de désignation de jean PING ainsi que le décorum y relatif me convainquent que ce monsieur est certes un brillant technocrate, mais il n’est pas un homme politique, et absolument pas un homme d’Etat, sur les épaules duquel peut reposer l’avenir de la nation. Un homme politique réfléchit et agit en tenant compte du réel qu’imposent le moment et les circonstances, sans pour cela se renier soi-même. C’est ce qu’on nomme le pragmatisme.
La situation de l’heure impose d’aller, dans l’urgence, à l’élection à tour unique avec les meilleurs atouts possibles, pour l’emporter. Le meilleur des atouts se trouve, en l’occurrence, être la coalition autour de la candidature la mieux placée. Depuis près de deux ans, RNS a toujours refusé d’entrer au Front, qui se préoccupait, depuis son origine, de la question de la candidature unique de l’opposition, au motif que cette coalition se serait révélée une sorte de panier à crabes faits d’ego surdimentionnés, incapables de s’élever au-dessus de leurs intérêts personnels. Ainsi, RNS a ostensiblement snobé le Front et s’est gaussé ouvertement de ses querelles internes, en se berçant lui-même de sa propre infatuation selon laquelle c’est lui seul, RNS, avec sa science infuse et son verbe policés, qui avait raison.
Aujourd’hui, il est encore dans cette posture, quand il trouve bizarre que les véritables hommes d’Etat que compte l’opposition gabonaise actuellement aient pris le taureau par les cornes, pour se mettre en situation de vaincre cette plaie nommée BOA. Est-ce en seulement dix jours qu’on pourrait refondre en une seule matrice des projets de société et des programmes de gouvernement élaborés durant des mois, voire des années? Le Front que Sa Suffisance se plaisait à railler, n’est-ce pas pour servir de moule à toutes les intelligences et forces de la nation capables d’œuvrer à la libération du pays? N’est-ce pas dans un tel cadre que le grand travail de brain-storming qu’il propose aujourd’hui hors délai aurait pu être sereinement accompli?
Pour conclure, je dis que RNS, en dépit de son sourire calme, de ses manières polies, de son verbe sans aspérités, n’est pas du tout un homme humble. Bien au contraire, c’est un homme imbu de sa personne, de son économisme et de son honnêteté supposée. Un simple vantard, comme l’est P.C. Maganga Moussavou, par exemple! En outre, en acceptant de jouer le rôle d’agent de dispersion au sein de l’opposition, RNS est bel et bien un allié objectif du sinistre BOA et de sa meute de prédateurs qu’est la légion étrangère du palais. Mais ce n’est pas tout: en assumant ce rôle, comme le démontre l’article ici, RNS reconnaît implicitement qu’il est, plus fondamentalement, au service du pouvoir en place censé être l’ennemi de la cause que son verbe mielleux prétend combattre.
Mr. Ndong Sima, en ce moment le peuple veut tout simplement l’alternance, le changement. On en a que foutre de vos etats d’ame. Si vous pensez ou pouvez nous debarassez du systeme Bongo a vous tout seul, et bien bonne chance a vous!
Bruno Ben Moubamba et vous avez des positions trop ambigues: vouloir d’une candidature unique pour l’opposition et de son contraire.
Est-ce que vous discernez vraiment les temps presents ou le sens des elections de cette annee dans l’histoire politique du Gabon?
Ce mr, imbu de lui même, prend les GABONAIS pour des idiots, il est claire aujourd’hui, et grâce a l’humilité et a l’intelligence politique de MRS PING, NZOUBA et OYE MBA, que ce mr, avec d’autres comme lui, n’avaient pour mission que d’entretenir la division dans l’opposition; sorciers, corrompus, menteurs, vous avez perdu, votre plan de traîtrise et de corruption a été mis a jour, vous avez vendu votre âme au biafrais et au béninois pour la perte du GABON, la honte sera votre meilleur compagnon pour toujours.
Ndong sima à tout à fait raison on a besoin d’un changement radical on veut pas seulement évincer Ali mais changer tous les anciens rites. Finir avec toutes les anciennes magouilles et je vous le dit j’ai regardé tous les candidats et seul deux sont vraiment honnête et apte à changer tout ça ndong sima et ben moubamba et en toute objectivité on devrais avoir l’un d’entre eux candidat. Ping va reconduire la même chose peut-être avec plus de tavail mais on veut pas des anciens ministres qui on vide les caisses de l’état en confondant avec leur compte en banque leur temps est fini j’ai pas envie de revoir Guy nzouba dama à l’assemblé après 20ans de service ou premier ministre. Ping à combien d’enfant avec la soeur de ali?
@gaboma et fier.
gaboma et fier, comprends tu vraiment l’urgence du moment? Dans la vie tout n’est pas tout blanc ou tout noir. A vouloir focusser sur des futilités tu te retrouvera avec les memes dirigeants au soir du 27.
En tout objectivité il reste deux choix probables. La coalition (GNN-CAM-PING) ou la coalition (PDG + les loups solitaires)
Entre deux serpents, la sagesse recommande de choisir le moins venimeux.
Alors choisit ton camp, le temps presse. Et arrete de venir nous distraire avec tes histoires.
Bonne continuation.
Tout ce que tu dis est faux! l’objectif premier c’est de le dégager! le reste passe après.
Cet homme a montré aux Gabonais son vrai visage. Il continue à soutenir Ali Bongo. Les masques sont tombés.
Cher GAboma, l’heure n’est pas aux calculs ou bien vous voulez vous debarasser de ce long règne de la meme famille(Mon Dieu on n’est pas un royaume), ou bien vous voulez continuer avec la meme famille dirigeante. D’ailleurs vous avez vu comment ils se mobilisent car ils n’ont pas envie de quitter le pouvoir. Voila le plan prévu par Ali. Il veut un passage en force. Puis il modifie la constitution et demande à revenir à deux mandats présisentiels, puis annonce que les deux premiers ne le concernaient pas , donc va se positionner pour les deux prochains mandats de 7ans encore et comme ça il aura fait 28 ans au pouvoir, le temps de préparer son fils à prendre le relais. On n’est pas sorti de l’auberge avec les BONGO si vous ne les virer pas maintenant . Et donc venir faire de la morale ici ne veut rien dire . Ndong sima et les maganga se leurrent. Ils n’auront meme pas 10% des voix à eux seuls , meme tous deux réunis. ils porteront aussi la responsabilité de son maintien.
Si RNS sortait de cette reunion en disant au gabonais : ecoutez, ce n’etais pas ce a quoi je m attendais; mais pour l interet supérieur du peuple, j’ai du me plier; aurait été une posture beaucoup plus soutenable.
Qu’il vienne tirer a boulets rouges sur cette coalition (que les populations ont toujours demandé), en tentant d’insinuer que
1- LES TROIS POIDS LOURDS DE L’OPPOSITION
2- LES NOTABLES DU PAYS,
3- LA COMMUNAUTÉ RELIGIEUSE,
4- LA SOCIÉTÉ CIVILE
étaient TOUS réunis , et que ce qui les intéressaient avant tout était l’appat du gain est une ABERRATION sans nom.
De tout ceux qui etaient presents, pensen-t- il , le plus sérieusement du monde que seul lui, RNS, etait la seule personne integre?
Non mais sans blague, j’ai raté un episode ou quoi?
Qu’il continue a rouler pour Ali, c’est un faux grand. Nous on reste focus, sur le 27. A bon attendeur…
Ndong Sima est comme son regard: vide.
Bonjour,
ça m’amuse de voir comment certain Gabonais sont naïfs et ne comprennent pas le sens du mot alternance et changement. Sous quel cieux somme nous nés ?
La popularité, sur quelle base est t’elle fondée ?
Au Gabon, la popularité se résume au nombre d’année fait dans le gouvernement. Aux affaires louches dans lesquelles on a trempés, à l’admiration qu’on a envers quelqu’un qui détourne des fonds pour certain, quand pour d’autre elle se résume aux grosses voitures et maisons construites dans la cité ou encore des déboires avec la justice.Toujours les mêmes gens. Vos enfants, mon Dieu, vos gosses qui s’en soucis ? Soutenir vos anciens bourreaux. Amnésique ce peuple qui prétend vouloir le changement mais en réalité, non.
Question: Ali BONGO est il a la tête de tous les ministères ? entreprises ? Est il le seul faux milliardaires du Gabon et source de tous nos maux ?
Si changement vous souhaitez, retournons enseigner à nos enfants les vrais valeurs de la vie. Pas encourager le mensonge, le vole, l’hypocrisie la sorcellerie et la duplicité. Parce que c’est ce que nous faisons en continuant à soutenir ceux cités plus haut. Le faire c’est renier notre existence, ce qu’on a toujours fait jusqu’ici. Alors arrêtons ce que nous faisons.
Vous ne pouvez pas vous décider et dire stop, on vote BRUNO, NGUEMA de nouvelles têtes.
Toujours les mêmes familles. Ensuite on vient se plaindre que rien ne change. Au fond vous convenez avec moi qu’au Gabon il n’y a qu’un seul parti le PDG.
Et pour nous diriger, il faut sortir de ce groupement d’individu critiqué violemment mais adulé lorsqu’il retourne leur veste.On fond, accepter que vous aimez ceux que vous prétendez détester.
Changer ici c’est tourner la page mais écrire l’histoire du Gabon sur un nouveau livre et non l’ancien.
Circonspect,
Savez-vous exactement dans quels temps nous nous trouvons aujourd’hui? Moi je ne crois pas que vous le sachiez! Alors je vais vous rafraichir la mémoire.
Notre pays vient de traverser l’âge d’or de ses finances entre 2011 et 2014 avec plus de 3000 milliards de budget à chaque fois! c’est à dire que le Gabon n’avait jamais eu autant d’argent dans son budget de toute son existence. A la mort d’Omar, le pays n’avait que 1000 milliards! Qu’ a -t-on fait de tout cet argent? Aucune école, quelques demi morceaux de routes, un chômage galopant, des agences budgétivores, des chantiers inachevés, des carnavals, des matches de gala, et des projets et encore des projets!
Doit-on continuer comme ça? Juste parce que votre champion est « jeune »? et quelle jeunesse à bientôt 60 piges?!
En 2009 lorsque Mba Obame s’était élevé, vous lui avez trouvé des défauts non? il était pourtant jeune lui! Intelligent et fin politicien par surcroit. Aujourd’hui vous trouvez d’autres défauts à ceux qui veulent redresser un pays malmené par une bande d’amis étrangers de surcroit!? Je vous trouve pitoyable car vous vous arrêtez à l’ancienne appartenance politique de ces individus, à leur âge, au détriment de la volonté du peuple qui est derrière eux et qui leur demande de libérer le pays. Leur coalition a redonner de l’espoir au gabonais c’est cela qui vous dérange et qui vous fait peur. Vous allez dégager!
Lamentable!
D’après « la lettre du continent », Raymond Ndong Sima se rallie à Jean Ping.
Une alerte reçue aujourd’hui à 14h15.
DERNIERRE NOUVELLES
NDOND SIMA fini par entendre raison et se rallie a Ping. Sa positon n’etait plus tenable.
https://www.africaintelligence.fr/LC-/alerte-lc/2016/08/19/raymond-ndong-sima-se-rallie-a-jean-ping,108177952-ART
Ndong Sima c’est quoi? AKA! donc dans votre monde là c’est anormal que là je ne fais pas le poids? comme je l’ai dit en 2015 il faut savoir sentir le sens du vent le meilleur moyen de se noyer est d’essayer de nager à contre courant! depuis hier j’ai cité deux personnes pour qu’elles rejoignent la coalition: NDONG SIMA ET NGOULAKIA mais vous n’êtes pas INDISPENSABLES DIANTRE! L’OBJECTIF C’EST METTRE HORS D’ETAT DE NUIRE LE FAUSSAIRE! LE PEUPLE NE VEUT PLUS S’EN LAISSER CONTER!