Le président de l’Observatoire national de la démocratie (OND) organise, le 20 juin courant, au collège Ntchorere, une rencontre populaire sur la situation politique du pays.

Dieudonné Minlama, président de l’Observatoire national de la démocratie (OND) © Gabonreview

Dieudonné Minlama, président de l’Observatoire national de la démocratie (OND) © Gabonreview


 
Déterminé à éviter au pays une implosion au regard de la crise sociopolitique qui l’accable, le président de l’Observatoire nationale de la démocratie réitère son appel au rassemblement citoyen. A ses yeux, il y a urgence à trouver une solution définitive et heureuse à la situation actuelle. C’est pour tourner la page du désarroi causé par la gouvernance actuelle que Dieudonné Minlama Mintogo invite la population à se joindre à lui pour construire des solutions aux urgences sociales, économiques et politiques.
À la suite du «processus politique global», inspiré du modèle sud-africain post-apartheid, proposé il y a six mois déjà, ce membre de la société civile entend dresser son évaluation de l’évolution de la démarche précédemment initiée pour éviter au pays de s’enfoncer dans le chaos. L’on pense également qu’il se prononcera sur l’idée d’une candidature unique de l’opposition et, sans aucun doute, sur ce qu’il compte faire dans la perspective de la présidentielle 2016.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. imagine56 dit :

    Créez un observatoire nationale des actes de naissance authentique datant des années avant la coloniale, si vous voulez éviter une implosion au Gabon
    Je vais imploser aujourd’hui, cette affaire de Nantes me rend folle

  2. pauvreGabon dit :

    Bien M. Minlama! Nous comptons aussi sur votre vigilence pour que votre projet Graine ne consiste pas à céder aux asiatiques nos terres ancestrales. Assurez vous que leurs techniques agricoles n’appauvrissent pas nos terres dans le but caché de revenir à leur projet initial de cultures de rente. Le peuple gabonais vous observe.

  3. La Fille de la Veuve dit :

    AMO à dit : « On ne parle pas la bouche pleine ».

Poster un commentaire