Amorcée 24 heures plus tôt, la campagne présidentielle du candidat de la Convention nationale de l’interposition (CNI) dans le Nord s’est poursuivie, le 26 août dernier, avec Bolossoville, Minvoul et Oyem.

Bain de foule du candidat de la CNI lors de son périple dans le septentrion. © Gabonreview

Bain de foule du candidat de la CNI lors de son périple dans le septentrion. © Gabonreview


 
Après Medouneu la veille, le candidat de la Convention nationale de l’interposition (CNI) a poursuivi sa campagne présidentielle dans le Woleu-Ntem, le 26 août dernier, avec les étapes de Bolossoville, Minvoul et Oyem. Dans cette dernière étape, notamment, Dieudonné Minlama a appelé à l’éveil des consciences des populations. «Si vous voulez comme moi le vrai changement, la rupture que je prône, je vous invite à ne pas voter tous ceux-là qui sont responsables de la situation chaotique au niveau social, économique, et politique que vous subissez, en votant pour moi», a-t-il lancé. «Je vous appelle à ouvrir les yeux, saisissez la chance que vous avez eu de naître au Gabon, ce pays qui nourrit 60 millions de personnes dans le monde, notre pays ne doit pas continuer à être la marmite du monde alors que nous ne sommes qu’à peine deux  millions et mourront de faim, il faut que cela cesse», a poursuivi le candidat qui a promis, une fois élu, faire des Gabonais des entrepreneurs, à travers l’axe «Gabon entreprenariat» de son projet de société.
Dans le même sens, Dieudonné Minlama a également milité pour la préférence nationale en matière de secteurs d’activité. «Est-il normal que le sable, le gravier, le commerce en détail soient prioritairement entre les mains de nos frères, alors que nous-mêmes Gabonais, pouvons exploiter nos propres richesses ?», a-t-il interrogé.  «Moi Président, la solidarité nationale aura un sens, à travers la discrimination positive, je vais améliorer votre quotidien, mettre un terme aux injustices sociales, le Gabon va devenir un pays riche et prospère pour tous ses enfants. Moi Président, je vais mettre un terme aux maux qui minent notre pays et l’empêche de se développer», a promis Dieudonné Minlama qui a bouclé, le 26 août, sa campagne par la ville de Bitam.
 

 
GR
 

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