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Présidentielle 2016 : Ben Moubamba diagnostique la classe politique
Le candidat à l’élection présidentielle a littéralement dézingué la classe politique nationale sur RFI, qu’il qualifie de «malade».
Détail de l’affiche de campagne de Bruno Ben Moubamba. © D.R.
Malade ! Tel est, selon Bruno Ben Moubamba, l’état de santé de la classe politique gabonaise. De passage sur les ondes de Radio France internationale (RFI), le 24 août dernier, le candidat à l’élection présidentielle a, en effet, soutenu que «le Gabon est malade de sa classe politique parce que celle-ci est essentiellement composée de personnalités qui se sucrent sur la bête de l’Etat».
Un état de santé qui résulte, selon lui, de la haine et de la tension dans le débat politique. «Il y a comme une dérive verbale violente, qui pourrait entrainer demain de la violence dans le pays», a-t-il argumenté, estimant par ailleurs que l’absence d’une nouvelle génération au sein de la classe politique, est également à l’origine de son état de décrépitude. A ce titre, Bruno Ben Moubamba pense que sa candidature est «la matérialisation d’un choc des générations entre les milliardaires qui mettent toute la politique sous le règne de l’argent et nous, la génération qui se bat au nom des principes, des valeurs et des normes».
En effet, le candidat de l’Union du peuple gabonais (UPG) porte le rêve d’un autre Gabon, d’une autre République. «Je souhaite le changement du système Bongo car il est épuisé. Au bout d’un demi-siècle, nous avons besoin de tourner la page de ce système inauguré par Albert Bernard Bongo sous la guerre froide. Aujourd’hui, 2/3 de la population est composée de jeunes. Il y a beaucoup de choses, beaucoup de problèmes sociaux», a-t-il affirmé.
Ben Moubamba dit être candidat pour poursuivre l’œuvre de Pierre Mamboundou, le fondateur de l’UPG décédé en 2009, et ce malgré les persécutions, les attaques et les manipulations diverses et variées. «Je suis aussi candidat parce que j’ai été l’un des fondateurs de l’Union nationale, j’ai été le numéro 2 du gouvernement alternatif d’André Mba Obame, décédé en 2015», a-t-il déclaré. En gros, a-t-il conclu, «Je porte en moi un double héritage et je souhaite que le Gabon d’après, qui est le thème de ma campagne, se mette en place que nous inaugurions un nouveau cycle politique au Gabon».
0 Commentaires
Monsieur Moubamba, modestement en jeune gabonais, je dois dire que vous vous trompez de combat. Si la classe politique use d’argent, est ce qui explique que vous ne séduisez pas assez le peuple vous? Est ce qui explique que lorsqu’on vous apporte du crédit et de l’attention (mon cas), vous battez tout en brèche via votre blog et vos interventions par des déclarations empruntes de tout (orgueil, « invective » le grand mot du moment…) sauf d’aller vers les intérêts du peuple que vous semblez défendre.
Je dois vous dire que j’étais hier au meeting de Ping sur Port Gentil, avec des gabonais d’en bas de mon acabit et que si argent il y a, c’était pour l’organisation de la manifestation ou autre pas l’achat des consciences, nous sommes venus librement et personne ne vous dira le contraire. Mais nous qui nous a acheté? Comment l’expliquez vous Monsieur? Car on veut se débarrasser des Bongo, par dessus tout, et des hommes qui s’unissent nous semblent bien plus honorables qu’une meute qui prétend par dessus tout être la plus digne du Gabon (c’est faux et archi faux et je vous le démontre: Un de vos pères Politiques Mba Obame selon vos dires a bien été une des bras armé du système Bongo au point d’espionner des opposants, emprisonner des membres de la société civile et de s’être enrichi comme pas possible par le vol. Pourtant lui vous l’avez suivi sans qu’il ne paye pour aucune de ses fautes… Est ce que ça fait de vous un exemple. PAS DU TOUT! Mais ça a fait de vous un PRAGMATIQUE et vous le dites.)
Tentez de vous poser cette question, pourquoi Mba Obame, Ping, Oyé Mba, Nzouba… qui bien que comptables à n’en plus finir des méfaits de ce système, mobilisent pourtant des foulent immenses partout dans le Gabon? Bah Monsieur ils représentent pour nous une vrai chance d’en finir avec les Bongo et ce système que vous loup solitaire et orgueilleux n’avez jamais représenté. Vous êtes toujours en retard dans les désirs du peuple, et semblez n’écouter que vous même.
Vous êtes toujours en retard parce, vous vous ralliez à AMO certes, mais après la présidentielle – Erreur 1 – Vous ralliez l’UPG mais après la mort de Mamboundou – Erreur 2 (ou opportunisme voyez vous même) – Vous appelez vous même 3 candidats à s’unir et vous les soutiendrez puis vous dites non, ils l’ont fait sans moi donc niet – Erreur 3 Échec et Mat –
Reprenez vous ou allez distraire ailleurs… Vous ne voyez même pas que non seulement le PDG ne vous vise pas mais qu’en plus il se sert de vous pour discréditer ceux qui le menacent vraiment. Et donc ce n’est pas le peuple que vous servez Monsieur, même pas vos intérêts, mais Bongo et son régime qui utilisent vos propos pour s’attaquer à ceux qui les mettent réellement en danger.
Merci de vous reprendre ou d’aller distraire ailleurs, vous me donnez des regrets d’avoir osé penser que vous serez parfait pour « le Gabon d’après », mais toujours en marge des vrais combats, comme un franc tireur, vous êtes actuellement une épine du pied dans le combat de libération du Gabon. Et j’espère que vous en êtes conscient.
Ben Moubamba Ben tu parles de » principes » de « valeurs » et de « normes »?, Tu oses en parler? à quel moment tu les as respecté toi? les tiens propres j’entend.. A quel moment? Alors que Pierre Mamboundou était vivant, tu allais déjà craché sur sa tombe. Je ne cite que lui dont tu pourfendais les valeurs justement. Aujourd’hui tu te réclames de celui qu’hier tu ne voulais pas t’approcher.
Tu as joué au yoyo depuis que tu fais ta pseudo opposition: grève de la faim pfff! c’était du pipo. En 2010 tu as donné ta parole pour être membre fondateur de l’Union Nationale, résultats des courses? Zéro! Tu as été nommé ministre des affaires étrangères dans le gouvernement alternatif d’André Mba Obame, tu as été le seul à en démissionner!
Quels sont donc tes valeurs, tes principes monsieur Moubamba? Le Gabon ne peut-il pas être au dessus de ceux-ci? Tu crois vraiment que tu pèses quelque chose sur la balance politique gabonaise? Reviens sur Terre et saches que tu ne vaut pas grand chose en matière de mobilisation, tu ne connais rien du jeu politique du Gabon, tu fais aussi bien de la diversion que de la figuration. Le pays est en danger et toi tu veux réfléchir? Tu es plus intellectuel que qui? Tu crois que ceux qui se fédèrent pour libérer le Gabon sont des plouc? Tu penses vraiment que tous ont envie de doubler le peuple gabonais? S’il y en a un (ce qui est fort possible) il ne fera pas le poids contre tous. Alors tu parles de quoi? Je crois que c’est toi le malade car tu te trompes lourdement sur ce que tu représentes sur la scène nationale. Tu n’es même pas à 1% Alors Shuuuuuuuuuuuuuuuuut! Tais toi quand tu parles Moubamba Ben!
Ben, je ne comprends pas pourquoi tu n’as pas respecté tes engagements.
Je crois savoir si ma mémoire est bonne que tu te disait prêt à te retirer si la candidature unique venait à se réaliser, alors pourquoi cette volte face? Je peux comprendre ta déception, mais il y a des moments dans la vie où il vaut mieux faire profil bas…
Enfin!
Ibubu le chef de Ben Moumbamba
Jean Ping « Face A LA PRESS »
https://www.youtube.com/watch?v=apXeYhvq4ME
1) Claude Bekale1: »LE PRESIDENT QU IL NOUS FAUT C EST CE MONSIEUR »
2) Notre federation des gabonais d’allemagne respectant la decision du peuple et la direction du mouvement Heritage et Modernité soutenons le candidat Jean Ping. Bonne chance Général nous sommes avec vous
3) Ali Bongo prône l’excellence alors même qu’il n’ a pas le simple BAC et il fait chier les enfants gabonais en rendant le système éducatif à terre! On comprend mieux! Un zéro reste un zéro, la preuve son bilan parle pour lui! Mister zéro!
Regarder Ibubu qui a vendu le pays: https://www.youtube.com/watch?v=ugPJ7VeJ0kU
Un vrai niakouet ce type
la sorcellerie politique c’est bien BBM qui est entrain de exercer son vampire sur les gabonais