L’Organisation nationale des employés du pétrole (Onep) a récemment relayé des informations établissant un lien entre des pratiques frauduleuses et la perte d’un contrat par SPIE Oil & Gas Services. Une rumeur démentie par la société concernée qui, dans le communiqué publié in-extenso, livre sa version des faits.

© subseaworldnews.com

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Communiqué de presse

Perte d’un contrat auprès de Total Gabon : SPIE dément formellement les allégations de l’Organisation nationale des employés du pétrole (Onep)

Port-Gentil (Gabon), le 29 novembre 2016 – SPIE Oil & Gas Services apporte un démenti formel aux accusations de malversations diffusées ces derniers jours par l’Onep pour tenter d’expliquer la perte par l’entreprise d’un contrat auprès de Total Gabon.

SPIE Oil & Gas Services conteste fermement ces allégations et souligne qu’elles ne sont assorties d’aucun élément concret venant les étayer. Suite à des rumeurs passées visant à créer un lien entre la perte de ce contrat et de prétendues pratiques frauduleuses, la société avait d’ailleurs commandé un audit auprès d’un cabinet indépendant de renommée internationale. Celui-ci n’a révélé à ce jour aucune malversation de la part du management de la société SPIE Oil & Gas Services.

«La perte de notre principal contrat auprès de Total Gabon est due exclusivement à des critères financiers et techniques, tout simplement moins-disant que ceux de nos concurrents», précise Richard Masson, administrateur de SPIE Oil & Gas Services Gabon. «Le licenciement de nos collaborateurs en est malheureusement le corollaire ; il faut d’ailleurs noter qu’une obtention de ce contrat par SPIE Oil & Gas Services aurait entraîné le même type de conséquences sociales chez nos concurrents».

Suite au non-renouvellement de ce contrat, SPIE Oil & Gas Services a donc déposé le 28 octobre dernier une demande d’autorisation de licenciement pour motif d’ordre économique auprès de l’Inspection Spéciale du Travail chargée du Secteur Pétrolier. Consciente de sa responsabilité auprès des salariés concernés et de leurs familles, SPIE Oil & Gas Services a signé fin octobre un procès-verbal de concertation avec les délégués du personnel qui prévoit un certain nombre de mesures d’accompagnement, dont 22 reclassements. Attachée au maintien d’un dialogue social exemplaire, SPIE Oil & Gas Services tient donc à rassurer l’ONEP sur son engagement auprès de tous les salariés pour étudier toutes les solutions permettant de réduire l’impact social de cette perte de contrat.

 
GR
 

7 Commentaires

  1. vincent dit :

    la Société SPIE Gabon est composé d’une bande des voyous le responsable technique et son DG des grand macros ils ont tout perdue avec total et ils ont leurs propre société qui font travailler en mettant d’autres personne à spie des vrais macros et escrocs MASSON, Nicolas GERNON ET Gille ABERGER

    • marcel Guisir dit :

      Menteur,
      Tu n’as pas honte de poster un commentaire qui est loin de la vérité. Ce site d’information offre la possibilité de commenter des articles pour que chaque lecteur permette d’éclairer d’autres lecteurs et non pas pour diffuser des mensonges.

    • Hervé dit :

      Mam toi oohhhh!!! Tu accuse les autres comme ça toi aussi tu n as pas peur que les gens te porte plainte pour diffamation !!! Les pauvres noms d autrui! Vous êtes toujours comme ça vous autre là.

    • Nathalie dit :

      Bonjour mon ami il faut savoir prendre ses responsabilités et en assumer les conséquences! Accusateur décline ton identité. Ton nom! Donne les preuves nous aussi on veut savoir la suite. C est pas juste dire comme ça.

  2. zodiac zola dit :

    si le mensonge que tu raconte était une vérité tu aurais laisser des preuves de cet escroquerie, mais hélas comme le flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute tu n’aura que les oiseaux de même plumage que toi et surtout de la même espèces qui te croirons. la vérité te rattrapera.

  3. DOUKAGA DOU NGAZI dit :

    Tu combats en mangeant! Chapeau bas mon grand.

  4. mouckagni iwangou dit :

    les ex employés de gabon oil company revendiquent le droit de préemption violé par le directeur Mr Arnaud egandji

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