Le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG) a, à travers une interview au quotidien L’Union publiée le jeudi 4 juin dernier, laissé transparaître les divergences qu’il a avec la présidence du parti et avec ceux que la presse appelle les «Emergents». Dissensions, malentendus, divergences – le parti créé par Omar Bongo va-t-il survivre au Mogabo d’Ali Bongo ?

Faustin Boukoubi. © D.R.

Faustin Boukoubi. © D.R.


 
Avec ses mots, ses petites phrases, sa sensibilité, Faustin Boukoubi a exprimé ses désaccords quant à la création d’associations qui pourraient se révéler plutôt destructrices pour le PDG. Visiblement, la création du Mouvement gabonais pour Ali Bongo Ondimba (Mogabo) n’a pas l’air d’avoir beaucoup plu à l’élu de Pana qui se demande en effet si «la meilleure solution au dysfonctionnement d’un organe (comme le PDG) ne consisterait pas à l’analyser au préalable, et y remédier, au lieu de démultiplier des instances parallèles, voire y substituer des structures ?» Il ne fait guère de doute, à travers cette petite phrase, que le chef du secrétariat exécutif du Parti de Louis est exaspéré par de telles structures. L’ancien ministre d’Etat ajoute que, pour lui, «les actions de ceux qui soutiennent le président doivent être nécessairement cohérentes et complémentaires ; à défaut, elles pourraient devenir contreproductives, et dans cette hypothèse, à qui profiteraient-elles ?»
Combatif, le secrétaire général du PDG affirme haut et fort que l’existence d’une telle association ne fera pas mourir son parti, car, tient-il à souligner, «les militants du PDG tiennent à leur parti ; en plus de la mémoire de leur président-fondateur, ils sont attachés aux valeurs et à la philosophie de ce creuset de l’unité nationale». Combatif et résolument engagé dans la défense du parti qu’il dirige, le député de la Lombo Bouenguidi affirme que «quoi qu’il arrive, notre parti demeurera ce PDG fédérateur dont les militants ont besoin». Batailleur et déterminé, Faustin Boukoubi dénonce, citant Jean-Boniface Assélé, «ceux qui, selon l’opinion populaire, se seraient accaparés le chef de l’Etat au point de l’éloigner de ses principaux soutiens». «Si ceux-là se reconnaissent, qu’ils s’amendent dans notre intérêt à tous».
Revenant sur le climat qui a prévalu à la veille et au lendemain du 10e congrès du PDG tenu en avril 2013, Faustin Boukoubi affirme que «certes au sortir de ce congrès, et pendant les mois qui ont suivi, la confusion était totale», et même s’il se félicite de ce que «progressivement, le ciel s’est éclairci et la collaboration s’est instaurée, parce que lorsque chacun transcende son égo, on parvient à des résultats appréciables», on voit bien qu’il s’agit de flèches décrochées contre le président de la Commission permanente de Révision des Statuts, Ali Akbar Onanga Y’Obéghé.
Au sujet du conflit des générations au sein du parti, il appelle à l’unité du parti afin que anciens et jeunes travaillent main dans la main. «Les anciens demandent à partager leur savoir-faire ou leur expérience, pour améliorer le dynamisme des jeunes ; ensemble, nous serons toujours forts et conquérants». Et à titre d’avertissement aux Emergents, Faustin Boukoubi estime que «personne ne gagnerait sans les autres, personne ne serait fort sans l’apport des autres». Et de se dire rassuré de ce qu’il n’a pas entendu parler, à travers la mise en place du Mogabo, de la dissolution du PDG, «quand bien même cela semble avoir été évoqué dans certains salons feutrés avant le congrès de 2013».
Faustin Boukoubi, 61 ans, est le secrétaire général du Parti démocratique gabonais depuis 2008. Il avait succédé à Simplice Guédet Manzéla qui avait dirigé le parti 13 ans durant à partir de 1995. Il est connu pour dire ses vérités quand il le faut. En tout cas, ce n’est pas quelqu’un qui manque de courage. D’ailleurs, à l’adresse de Guy Bertrand Mapangou et d’Yves Fernand Manfoumbi, deux proches d’Ali Bongo, qui sont en conflit ouvert dans la Ngounié, Faustin Boukoubi rappelle que «cinq articles de nos statuts s’appesantissent sur les droits et obligations des militants».
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Paul MOMBEY dit :

    Le « pdg » et le « Macabo » c’est du <> tout ce mic-mac devient Monotone. Plus personne ni croit.
    La majorité du peuple Gabonais aspire désormais à une alternance pure et dure. Au passage, je lance une dédicace au rescapés politiques de l’UN. Nous savons tous qui vous êtes. Lorsque vous étiez aux affaires, vous avez volés et mêmes assassinés des innocents (mon Père en 2000, un homme intègre,lâchement assassiné, occupant la fonction de directeur de cabinet d’un ancien ministre de l’enseignement supérieur bien connu dans l’estuaire… ) je referme cette parenthèse pouf le moment. Vous avez ruiné NOTRE cher pays et souillé la dignité du peuple qui crut bon de vous faire confiance. Tout cela prend fin, il existe une justice divine. Vous allez tous passer au peigne fin et restituer au peuple ce qui lui revient de droit. Cela dit, je vous invite chers compatriotes, à plus d’humilité, de e lucidité et de discernement. Une faute avouée et réparée peut être pardonnée.
    Je dis ÇA SUFFIT COMME ÇA ! Et je l’assume!

    • Barcelonais dit :

      Fouds nous le camp paul mombey,c’était qui ton père,tu croix que c’était un saint,ne viens pas raconter n’importe quoi

    • Jean Patou dit :

      Monsieur Mombey, n’accusez pas à tout va, car tout le monde sait dans quelle conditions fut assassiné votre père (paix à son âme!). A l’époque directeur de cabinet du ministre André Dieudonné Berre, il fut agressé au bord de mer(zone du lycée Léon Mba) alors qu’il était accompagné d’une femme par des braqueurs qui lui plantèrent plusieurs coups de couteaux au niveau de la partie haute du corps. L’enquête diligentée par la pj permit de mettre ses agresseurs aux arrêts. En aucun cas, il ne fut question de crime commandité, mais plutôt de crime crapuleux. Alors ne cherchez pas des poux sur les têtes d’autrui et réglez d’abord vos problèmes d’héritage, car on sait que vos oncles et votre grand-mère voulaient vous spolier (allusion faite à vos logements situés derrière l’ambassade du Nigeria). Bonne journée.

      • AZOTH dit :

        ho yeah JEAN PATOU,
        Cogno la precision…. je reste bouche B!!! meme sur un forum un gabonais en detecte un autre, avec une precision digne du rayon delta de cobra avec son psycho gun.
        Le gabon est vraiment une maison de verre .

      • imagine56 dit :

        Ce monsieur bien sous tous rapports entretenait une liaison avec une veuve, une voisine de SOTEGA, cette affaire a surpris la famille E. qui pourtant vivait en harmonie avec les Mombey, les enfants de la dame ont été très affectés par cette surprenante nouvelle.
        Paul Mombey junior, ton père est mort dans des circonstances qu’il vaut mieux ne pas évoquer, à la limite c’était un crime passionnel, en effet aux dires des gars de la PJ , un général convoitait la même veuve, alors, stp n’accuses pas à tort les rescapés du PDG, ton père , Dieu ait son âme adorait fricoter avec les femmes d’autrui…. ton père trouve la mort, à la Toussaint, il aurait mieux fait de réprimer sa libido ce jour consacré aux morts et reporter son rendez-vous galant, histoire de respecter la mémoire du défunt mari de la veuve qu’il connaissait très bien….tu sais que la famille E. est voisine immédiate de la votre après celle de la maman de Berthe, n’est ce pas? les morts ne dorment pas !

      • Paul Armand MOMBEY INDAKI dit :

        Cher Monsieur et chers tous,
        Ce que vous dites, c’est effectivement la version officielle, et en autres ce sont vos vérités du moment et je les prends comme tel. Quand à moi, je détiens aussi ma part de vérité. Mon père n’a pas été agressé par de simples braqueurs, le premier rapport du médecin légiste attestait que les couteaux qui ont transpercés son corps laissé sans vie sur la plage du pont de gué-gué, était des couteaux professionnels. Rien ne peut justifier un tel crime quelque soit les raisons qui ait pu le motiver, nous commettons tous des erreurs. Comme il est de coutume dans notre pays, l’affaire a été étouffée, et les squatteurs de l’immeuble dialogue de l’époque ont été cueillis comme bouc-émissaires, et soit disant jugés. Voilà peut-être des compatriotes qui se retrouvent en prison pour une faute qu’ils n’ont pas commis. De plus je confirme qu’après sa mort ses orphelins ont été spoliés pendant plusieurs années. Tous ces états de faits, sont récurrents au Gabon, notre cas n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Il faut partager son expérience pour qu’elle éveille les consciences et serve à d’autres. Nous le savons tous, nous ne vivons pas dans un Etat de Droit.
        Ceux qui ont vécus et collaborés avec Feu Paul MOMBEY savent quelles ont été ses qualités intrinsèques. Et comme tout le monde, il avait des qualités et défauts.
        Feu André MBA OBAME était à cette époque Ministre de l’éducation National, il avait reconnu la valeur de mon père et lui avait proposé d’être son Directeur de Cabinet, il le connaissait assez bien.
        AMO était aussi un ami personnel de mon défunt oncle Jean François AVEYRA, a qui mon père m’avait confié quelques mois avant sa mort. Il a poursuivi mon éducation comme un bon père. De ce fait, je me permets de vous révéler ce jour, que j’ai eu le privilège de parler avec André MBA OBAME au sujet des circonstances réelles de la mort de mon père. Ce personnage public qu’est AMO, m’a franchement dit sa part de vérité et j’espère que d’autres en auront le courage. Il ne me convient pas d’en dire trop ici, mais au moment venu je saurai quoi dire et quoi faire…
        A Ceux qui se demandent qui était cet illustre homme, je réponds simplement, que c’était le Leader du peuple Benga, peuple autochtone du Cap Estérias. C’est une lumière qui a volontairement été éteinte pour plusieurs raisons que je n’évoquerai pas ici , car seuls ceux qui ont connu l’homme peuvent comprendre, et au moment venu vous le saurez aussi, ses mémoires sont encore là. Il ne convient pas d’en dire beaucoup plus sur Internet en général et sur ce forum en particulier, ce n’est pas ici que l’on règle les problèmes, ici on éveille simplement les consciences.
        D’autres se demandent aussi: Mais qu’est ce que la mort de cet homme vient faire là?
        Je vous réponds que tout est lié au système en place qui favorise le banditisme et le crime à tous les niveaux de l’Etat et qui ne sévit jamais, bien au contraire il élève malheureusement à de plus hautes fonctions les plus mafieux, ceux qui accablent leurs peuples au point de les réduire à la limite de la mendicité. Etant un homme libre et de bonnes moeurs, je considère que ce système est médiocre, et le PDG qui est encore au pouvoir pérennise cette mauvaise conscience. Ca doit impérativement STOPPER!
        Nous le savons tous, nous le vivons tous en grande partie dans le silence, mais nous n’agissons pas, très peu ont le courage d’agir à visage découvert et cela peut se comprendre. Dans notre pays nous n’avons connu que l’oppression comme système de gouvernement. Nous avons trop longtemps été privés de nos libertés. Nous avons trop longtemps vécu dans la peur, ce qui nous a simplement réduits au silence. Mais ce silence Ô combien important, ne fut que méditatif.
        Maintenant que je retrouve progressivement la parole après un travail intense, j’entends bien me faire entendre et je vais désormais parler à haute et intelligible voix avec force et vigueur, sans manquer de mener des actions sur le terrain. Chacun d’entre nous à son terrain d’attaque, le mien c’est le premier arrondissement de la commune d’AKANDA à savoir les Caps Estérias, Santa Clara, et Bolokobwé ainsi que Malibè et le 1er campement. C’est l’effort que chacun fait à son niveau, qui permettra une réelle alternance dans notre pays pour qu’enfin nous puissions vivre dans un Etat de Droit.
        Mon positionnement est clair, Je pense être prêt, mais c’est à vous mes semblables, d’en juger. Je ne fais que poursuivre et rendre visible au dehors le travail que je fais à l’intérieur de moi même. J’accomplis ainsi mon devoir, celui de poursuivre l’œuvre de mon père, et j’entends le faire humilité, courage et persévérance. Je mesure la portée de ce post, et je l’assume. Je vais certainement être éprouvé, mais je sais aussi que les grands hommes se révèlent à travers les épreuves de leurs vies. J’ai confiance, et je travaille à la Gloire de Dieu.
        J’ai dit !
        Paul Armand MOMBEY INDAKI

        • AZOTH dit :

          Je le dis et je le repete encore, la rhetorique , et dans une autre mesure, la maïeutique , ont ca de bien:
          ca fait sortir du bois et tres vite .
          Nous y sommes dans ce cas de figure ….la foret en question se trouve etre dans le 1e arrondissement: foret classée, parc ???? quoi que tout se melange dans ce coin.
          Donc bravo a JEAN PATOU, et a ma tres chere IMAGINE56.

        • Iboundji dit :

          Ele ekolo, ndembo o bekayi [1arbre a bois se reconnait a ses branches] Proverbe Benga

  2. Iboundji dit :

    Faut-il en rire ou en pleurer ? Voilà un autre jeune homme qui vient nous dire : Délivré de ma cachette !!! Parce qu’il s’est enfin (trop tard ?) rendu compte comme nous autres les plébéiens que l’on ne mange pas avec le diable même avec une cuillère à longue queue surtout si c’est le macabo, visiblement trop de macabo, tue le macabo en tout cas une chose est sure ….
    Muti na mukwangi,iyaba mulibuki [l’arbre et le bûcheron se séparent quand l’arbre va tomber] Proverbe Aduma

  3. moulamba boniface dit :

    c’est très bien Paul tu es un très grand visionnaire car ce que les mybotos ont fait pendant qu’ils etaient à l’empire,et je pense qu’ils ont oubliés:on oublie facilement le bien et non le mal mrs et mmes les mybotos:ils ont amassé l’argent du pays et se reclame la bonne gestion et la bonne gouvernance aujourd’hui quelle érreur?et comme le ridicule ne tue pas il faut les voir:

    • Paul MOMBEY dit :

      Boniface, <>, c’est peut être un peu fort. Je ne fais que constater et analyser avec lucidité et discernement la situation de notre pays, qui des fois me causes des insomnies. Mon très cher oncle Jean François Aveyra, me disait souvent je cite <<mon fils,on ne va pas mourir étouffé,donc lorsque tu as quelque chose à dire, tu le dis sans complaisance. C'est ta vérité…
      Le Gabon appartient à tous les Gabonais de toutes classes confondus. Les uns ne peuvent continuer de prospérer sur la misère des autres, de plus l'on ne peut rester indifférent face à une telle injustice, car qui ne dit rien consent. Cette maxime populaire est bien connue de tous. Tout ce qui nous manque , c'est le courage et la foi. Globalement nous avons peur de vivre l'échec, nous craignons la souffrance, et peut-être avons nous peur de la mort. C'est compréhensible. Il revient à chacun de travailler sur soi, pour se libérer de cette peur. C'est n'est que de la peur et rien d'autre. Peuple Gabonais lève toi et marche!Ton silence a assez duré.

      • Jean Patou dit :

        Ah Paul! Enfin tu dis quelques chose de crédible. Petite question: qui n’a pas volé dans ce pays? La différence est que certains son désormais au chômage, pendant que ceux qui sont aux affaires continuent de piller sans vergogne. La tête de l’exécutif s’offre des voitures de luxe pour plus d’un milliard de nos francs, s’achète un jet pour trente milliards, organise des courses de ski, des carnavals, fait venir un chanteur youyou, fait célébrer à coup de millions (de milliards?) le 47 anniversaire du PDG dans toute l’étendue du territoire national, comme si le peuple avait besoin de toutes ces futilités, lui qui vit dans des conditions inhumaines.Tenez, j’ai effectué avant-hier un tour à Derrière la prison et j’y ai vu des gens vivant comme des rats. C’est ça le Gabon émergent qu’on nous vante depuis bientôt six ans? Où son les logements promis lors de la campagne électoral de 2009? Franchement, nous ne sommes pas encore sortis de l’ornière. Léon Mba réveillez-vous, ils sont en train de détruire votre pays!!!

  4. IPANDY dit :

    Bonjour à tous!
    Cher Gérald, j’ai lu, dans l’union, l’interview de Faustino(BOUKOUBI) et je dois dire contrairement à vous j’ai trouvé qu’il a fait dans la langue de bois.Vous dites aussi qu’il est reconnu pour son courage,sa franchise. J’aurai souhaiter avoir un exemple, un acte courageux ou une décision courageuse prise par faustino. Il se cache derrière les textes. Il n’arrive pas condamner ouvertement MAMFOUBI YVE et MAPANGOU BERTRAND. BOUKOUBI a des qualités,certainement, mes le courage n’en fait pas parti.

  5. Flash dit :

    «cinq articles de nos statuts s’appesantissent sur les droits et obligations des militants», merci de m’éclairer.

  6. rtg1 dit :

    La vrai question serait de savoir si le mogabo suvivra-t-il au Parti de Masse? 😉

  7. Miss T dit :

    Vraiment les Pédé-gistes ne savent plus où mettre la tête. ça devient même ridicule avec vos Mocador, Mogaba, Mougabo ou je ne sais quoi…

  8. Hervé GRUPAUNE dit :

    Bel article de Gérald Mounomby. Je vous lis régulièrement avec plaisir, que ce soit en politique ou en économie et en société. Mais, c’est vrai, Boukoubi courageux ? Quand même pas. S’il l’était vraiment, il aurait largement ouvert son coeur et dis ce qu’il a ressenti lorsque Pacome Moubélet avait voulu faire le « putsch » contre lui en avril 2013.

    • imagine56 dit :

      Boukoubi n’est pas courageux, il fait de la résistance , il espère qu’un jour, il retrouvera son honneur perdu…
      Enfin, grand bien lui fasse s’il veut continuer dans le masochisme, à supporter les quolibets et les humiliations des jeunes vieux émergents.
      Boukoubi à bien y réfléchir, est loin d’être courageux, son comportement est décevant, il devrait imiter le général Tonnerre quitte à revenir sur ses propos…

      • AZOTH dit :

        je confirme que ce monsieur presente effectivement , depuis que je le z’yeute , des signes , d’un adepte dure, de Leopold von Sacher-Masoch .
        a croire qu’on les tient tous par les burnes , via des ballstretchers a variante électrique .
        Ca me turlupine , mais alors la grave.

  9. jean-jacques dit :

    M.le SG il ne faut pas jeter l’eponge avant 2016.Même peut-être le parti tant vers son apongée, il faut lutter jusqu’au bout le guide libien a montrer son courage , l’homme de lachariea.Il faut faire comme lui.
    On dit le manche de la hache doit se fendre dans les maisn de l’homme.

  10. Bassomba dit :

    J’ai beaucoup de mal à comprendre certains internautes ici, ils aimeraient que Faustin ait « le courage » de partir du PDG qu’il a librement accepté d’en être le SG à l’époque de Feu Omar Bongo et en présence de beaucoup d’opposants devenus; pourquoi cette question ne serait pas posée à l’autre camp?

  11. l'ombre qui marche dit :

    Paul MOMBEY junior je te soutiens car l’hypocrisie n’est pas bonne, Omar bongo a passé son temps à cocufier les autres maris non? souvent je me méfie des conclusions hâtives des enquêtes judiciaires dans ce pays qui a tué serge egniga et pourquoi? qui a tué ndouna dépénaud et pourquoi? qui a tué le général boukila maurice chef du personnel des fpn et pourquoi? Cela me rappelle le procureur stark s’acharnant sur bill clinton dans l’affaire monica lewinsky mais qui a du démissionner lorsqu’il fut prouvé qu’il faisait pareil sinon pire que bill clinton et aujourd’hui bill clinton continue à rayonner mais le procureur stark depuis sa démission se fait tout petit ah je me rappelle comment hillary avait sauvé son mari de la destitution au cours d’une audience(peut-être) la dernière avant le vote elle avait posé la question suivante »que celui qui dans cette salle n’a jamais trompé sa femme lève le doigt » et la grande majorité des hommes qui étaient là ne levèrent pas le doigt et elle sauva le mandat de son mari qui reste finalement l’un sinon le seul président américain qui aurait pu avoir un 3e mandat si la constitution des usa le permettait. Conclusion BEAUCOUP D’HOMMES TROMPENT LEURS FEMMES ET PAR CONSEQUENT DES FEMMES TROMPENT LEURS MARIS DONC PAS DE CENSEURS A LA STARK ET PAS DE MEURTRE POUR CELA

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