Le palais de Libreville en froid avec Dumont-Beghi ?
La pétulante et cosmopolite capitale du Gabon bruissait, il y a quelques mois, de rumeurs au sujet des relations désormais «difficiles» entre Ali Bongo et son avocat dans l’affaire l’opposant à Maïsha Bongo. Rumeurs vraisemblablement fondées… Le journal Le Parisien ayant affirmé, le 4 septembre, avoir saisie l’avocate au sujet de l’enquête sur les biens mal acquis (BMA) et avoir reçu pour réponse que Me Dumont-Béghi n’est pas mandatée par Ali Bongo pour s’exprimer sur cette affaire.
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Au Palais de justice de Paris, c’est désormais le jeune Delphine Meillet, avocate, qui semble désormais tenir la corde sur les derniers dossiers liés à Ali Bongo, notamment ceux de l’affaire des Biens mal acquis et du procès intenté contre Pierre Péan.
Exit donc Me Claude Dumont-Béghi ? Pas si sûr, il pourrait n’être question que d’une forme de mise «quarantaine». Elle «mange son pain blanc», comme l’aurait dit Me Maisonneuve d’un confrère sur un dossier. «Elle pourra toujours revenir sur le devant de la scène sur une affaire du clan Bongo. Il y en a tellement au Palais de justice de Paris», indique un journaliste indépendant. Chez Ali Bongo, les choses vont ainsi. Un jour, on est mis en avant ; le lendemain, au rebut.
Dans sa livraison du 4 septembre dernier, le quotidien français Le Parisien révèle avoir voulu joindre Me Dumont-Béghi en vue d’une réaction sur l’affaire des BMA dont l’enquête sur le clan Bongo vient de se terminer. Laconique, celle-ci a indiqué qu’elle n’était pas autorisée par la famille Bongo à s’exprimer en son nom. Largement suffisant pour que les réseaux s’enflamment. «C’est le froid entre le client et son avocate», affirme un internaute. «Elle est accusée d’avoir mal géré le contenu de l’émission Complément d’enquête sur « Le Clan Bongo, une histoire française » diffusée en juillet dernier sur la chaîne de télévision publique France 2», souligne un autre.
Me Dumont-Béghi est donc – momentanément ?- écartée du suivi et de la défense des affaires d’Ali Bongo. L’avocate d’affaires avait pourtant «bonne presse» auprès de son client. Que s’est-il donc réellement passé ? Est-elle la véritable responsable de l’émission de France 2 ayant «mal tourné» pour Ali Bongo ?
7 Commentaires
OUF. esperons k le President Ali et sa famille ont compris k quelque chose de pas claire se passe chez CLAUDE DUMONT puisk elle a commis l’erreur d’associer me mintcho soufiano pour la succession BONGO. Mais savait elle ki est ce lugubre personage?
Quand on sait que le dame a quand-même une grande gueule et que Ali Bongo est un mégalomane rien de peut surprendre. Pour travailler avec un mégalomane il faut être comme un Bilié Bi Nzé, un larbin, béni-oui-oui qui sait chanter les louanges de son maître sans le contredire comme un chien. Des gens qui savent qu’ils valent quelque chose et qui veulent le faire valoir ne peuvent pas marcher longtemps avec un homme complexé.
«Elle pourra toujours revenir sur le devant de la scène sur une affaire du clan Bongo. Il y en a tellement au Palais de justice de Paris»
Quand même!!! En gros Ali Bongo et sa famille sont des malfrats? Ils ont tellement d’affaires que les avocats français ne peuvent être mis au placard longtemps.
Pour se frotter aux Bongo, il faut avoir les c…bien en place. On sait comment ça commence avev eux surtout avec Abo, mais la fin…non jamais. Dumont a suffisament gagné son argent et c’est sûr que si abo a fait comme il sait trop bien le faire, ne pas respecter le contract, eh bien il en payera encore le prix avec l’argent du petit gabonais. Pitiation.
Le problème de l’acte de naissance est passé on verra plus tard s’il revient au devant de la scène on la reprendra c’est simple.
Le Palais en froid avec Dumont-Beghi ? Quelle ingratitude ! Enfin, elle aussi, ça lui apprendra d’être trop zélée…
Connue pour abuser de ses clients avec des fausses diligences, réputée pour les ruiner en les poussant à vendre leurs biens, elle ratisse via des publicités mensongères dans le Point, l’Express, des clients fortunés, avocate à fuir