Le Bureau régional de la Francophonie pour l’Afrique centrale a lancé le 23 avril à Libreville, l’atelier régional de consultation des correspondants nationaux de l’Afrique centrale pour la programmation 2019-2022 de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

Les participants à l’atelier au cours des travaux, le 23 avril. © Gabonreview

 

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Libreville abrite du 23 au 27 avril, l’atelier régional de consultation des correspondants nationaux des pays de l’Afrique centrale pour la programmation 2019-2022 de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

Selon le directeur du Bureau régional de l’Afrique centrale de l’OIF, cet atelier poursuit un double objectif : «d’une part arrimer son offre programmatique aux priorités et besoins des Etats et gouvernements de l’OIF et d’autre part, intensifier l’approche régionale et la décentralisation dans la future programmation», a expliqué Boubacar Noumansana.

Pour le ministre délégué aux Affaires étrangères, l’atelier suscite un intérêt certain. D’autant qu’il mettra «un point d’orgue sur la programmation quadriennal de l’OIF pour la période 2019-2022, notamment la présentation du processus d’élaboration, la synthèse des contributions écrites reçues des Etats(…)» a estimé Sylvie Léocadie Nzaou.

A l’issue des échanges, plusieurs résultats sont attendus ; notamment des contributions pour l’élaboration de la programmation quadriennal 2019-2022 en identifiant les enjeux régionaux et les grandes priorités pour les Etats de la région concernée, en lien avec les missions de l’Organisation.

Les correspondants nationaux de 10 pays membres de l’OIF, les représentants des opérateurs de la Francophonie, ainsi que les acteurs et partenaires francophones participent à ces travaux.

L’atelier de Libreville s’inscrit dans la continuité des efforts de co-construction déployés par l’OIF en vue d’impliquer les Etats dans la réflexion relative à l’élaboration des documents stratégiques, afin de faire correspondre au mieux son offre de coopération avec les besoins de chaque région et renforcer la régionalisation de ses actions de coopération.

Auteur : Jean-Thimothé Kanganga

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Koumbanou dit :

    Il faudrait un jour réfléchir sur l’inutilité de tous ces Organismes,
    qui ne servent qu’à engraisser certaines personnes.
    Arrêtons ces bêtises !
    tu parles français : tu es francophone sinon tu ne l’es pas.
    où est le problème ?
    Pourquoi créer des Organismes qui ne servent à rien et qui coûtent un argent qui pourrait être utile ailleurs.
    Le Gabon manque d’argent, cessons ces âneries.

  2. Ngnalike ntoughe Narcisse dit :

    Tout pour bien fair me ton nous ensemble

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