Réaffirmant sa disposition à prendre part au dialogue d’Ali Bongo, le président de Démocratie nouvelle (DN) a nié toute trahison à l’égard de Jean Ping, dont il a dit ne pas avoir de «lien organique» avec son parti.

René Ndemezo’o Obiang, le 25 octobre 2016 à Libreville. © Gabonreview

René Ndemezo’o Obiang, le 25 octobre 2016 à Libreville. © Gabonreview

 

Réagissant, il y a quelques semaines, à sa sortie en faveur du dialogue politique qu’entend organiser Ali Bongo, des cadres originaires du Woleu-Ntem avaient accusé René Ndemezo’o Obiang de «trahison» à l’endroit de Jean Ping. Ils avaient notamment prétendu que Démocratie nouvelle (DN), le parti qu’il dirige, «a été créé à la veille de la campagne présidentielle sous la houlette de Jean Ping pour soutenir sa campagne». Une affirmation qu’a démenti l’intéressé, le 25 octobre, à la faveur d’une conférence de presse au cours de laquelle il a réaffirmé la disposition de DN de prendre part aux assises visant à trouver des solutions à la crise politique actuelle.

Des invités de Démocratie nouvelle à la conférence de presse. © Gabonreview

Des invités de Démocratie nouvelle à la conférence de presse. © Gabonreview

Le président de DN a assuré n’avoir «aucun problème personnel» avec l’ancien président de la commission de l’Union africaine, candidat à la dernière présidentielle, aux côtés duquel il a fait campagne. Pourtant, a-t-il tenu à indiquer, «il n’existe aucun lien organique entre Jean Ping et Démocratie nouvelle». Leurs rapports, a-t-il dit, «sont clairs et simples», d’autant que «Jean Ping s’est présenté à l’élection présidentielle sous les couleurs du Parti gabonais du progrès. Démocratie nouvelle, comme d’autres partis, a décidé de le soutenir, mais reste une entité différente».

S’il n’a pas manqué de rappeler qu’il a fait partie des premiers soutiens de Jean Ping, aussi bien avant, pendant qu’après l’élection, René Ndemezo’o Obiang a soutenu que le dialogue est la seule voie permettant de parvenir à une meilleure gouvernance. «Nous ne voyons pas d’autre issue à la situation actuelle que, encore une fois, nous remettre à l’ouvrage, exiger, initier et imposer des réformes qui feront que demain soit meilleur qu’aujourd’hui», a-t-il soutenu, non sans lancer une pique à l’endroit de celui qu’il dit continuer d’estimer.

«Lorsque nous parlons d’aller jusqu’au bout, c’est lutter pour un Gabon véritablement démocratique. Ça ne veut pas dire se fixer une date butoir au-delà de laquelle on dit : « Je n’ai pas obtenu ce que je voulais, le pays s’arrête ». Le pays ne s’arrêtera pas. Aucun de nous n’a la force de faire que le pays s’arrête. Nous devons plutôt lutter avec l’ambition de servir les générations à venir», a déclaré René Ndemezo’o Obiang.

 

 
GR
 

47 Commentaires

  1. Faustino Nzue Ondo dit :

    Au Moins, l’Union Nationale ne se demandera plus où Mike Jocktane prend ses instructions et son inspiration !

  2. La Fille de la Veuve dit :

    C’est vrai Il n’y a aucun lien organique.

    Mais si RNO utilise la précision « organique », c’est qu’il reconnait clairement qu’il y a un lien, certainement d’une autre nature, entre DN et Jean Ping.

    Pourrait-il dire de quelle nature est ce lien ?

  3. tara dit :

    Lorsque nous parlons d’aller jusqu’au bout, c’est lutter pour un Gabon véritablement démocratique. Ça ne veut pas dire se fixer une date butoir au-delà de laquelle on dit : “Je n’ai pas obtenu ce que je voulais, le pays s’arrête”. Le pays ne s’arrêtera pas. Aucun de nous n’a la force de faire que le pays s’arrête. Nous devons plutôt lutter avec l’ambition de servir les générations à venir»

    PING ne peut pas comprendre celà en 2023 il aura 83 ans donc vraiment il sait que c’est sa dernière chance même AMO soit dit en passant qui dit avoir gagner en 2009 à accepter d’aller au dialogue au détriment de sa supposé victoire pourquoi PING ne farait pas de même , il pense d’abord à lui même et ses enfants comme quoi un crocodile reste un crocodile même après 10 ans , si ce monsieur n’a toujours pensé qu’à lui vs pensez que c’est après 6 ans à l’opposition qu’il va changer

    « le séjour dans l`eau ne transforme pas un tronc d`arbre en crocodile »
    Seydou Badian.

    Mr RNO vs êtes lucides vs et bcp d’autres comme JOCKTANE allez y au dialogue pour des lendemains meilleurs pour les générations futures et pour le Gabon en entier l’élection est finit bon sang. Il faut préparer le futur et ça commence maintenant. Quoi vs l’avez soutenu il pense que il devient le chef de tous ceux qui l’ont soutenu ??? c’était le président de ce parti fiftif????

    Bon sang de bon sang faut pensez aux génarations futures pas toujours vos modestes interèts Mr PING hein enfin

    • Faustino Nzue Ondo dit :

      Qu’est ce que le dialogue apporterait au bien être des Gabonais au-dela des postes qu’obtiendront Jocktane, RNO et les autres.

      Soyons honnêtes : le dialogue c’est comme le disait l’autre, pour les « crevé la faim » !

      • tara dit :

        c’est justement là la problématique il faut faire du saint thomas et comme l’a dit JOCKTANE si toutes les conditions ne sont pas réunis ils pourront faire démi tour et dire on a essayer et non systématiquement refuser comme on dit souvent on ne refuse pas l’appel mais c’est ce qui est derrière qu’on refuse.

        dans nos village quand on te convoque au corps de garde tu peux pas refuser même si tu sais que tu as raison tu vas d’abord écouter

    • GABON LIBRE dit :

      PAPA, va au dialogue tu n’as pas besoin de brailler en longueur de journée car « on ne fait pas avec » on ne vit pas dans le déni d’un pays qui en train de sombrer qui organise une CAN alors que le SÉNÉGAL vient d’inaugurer la plus grande centrale Electrique….Un pays petrolier qui a du mal a organiser une « rentree scolaire !!! » et qui commence a ne peut etre pas payer ses fonctionnaires. Monsieur vient rammener le debat plus bas que terre en le cristallisant sur deux individus

    • Fille dit :

      Pourquoi tendez vous a mordicus de feindre le contraire de la réalité ? Ali Bongo n’a pas gagné les élections le 27 août 2016, pas plus qu’il ne les a gagné en 2009. Soit, si le croire vous fait dormir malgré les faits flagrants. Maintenant, une autre mauvaise compréhension de la situation. Il n’est pas question de Ping en tant qu’individu ici. Ping est celui que les gabonais ont désigné comme porte étandard. C’est donc de la volonté de la grande majorité de la population qu’il s’agit. Faites donc un référendum et demandez aux gabonais ce qu’ils pensent du dialogue appelé alors qu’ils n’ont pas encore fait le deuil des leurs. Oubliez Ping un moment, demandez aux gabonais. Annoncez donc la couleur, les sujets ne manquent pas. Proposez de débattre des institutions par exemple, Ndemezogho devrait mettre ces questions importantes en avant. Annoncez la couleur, de quoi voulez vous parler ? Du Gabon ? Ou simplement ramener les affamés à la maison ?

  4. DoanESS dit :

    mon ami va au dialogue, on entendra parler de vous. Mais nous on garde la même position.hasta la victoria…siempre!!!

  5. AKOMA MBA dit :

    Ventre affamé n’a point d’enseigne!!

  6. Koek lun dit :

    C est un point de vu acceptable et modérateur . Mais l expérience passée et l histoire des autres pays dictatoriaux prouvent que ça ne peut marcher c est une manière d avancer virtuellement aux yeux des naïfs alors que le système restera stationnaire . Il faut pas accepter ce dialogue avec un voleur d élections . Dans l avenir les autres feront toujours comme ça c est le temps de la democratie réelle en Afrique . On ne va plus attendre les générations futures comme il le dit.

  7. Koek lun dit :

    L afrique est entrain de rater son inclusion dans le monde

  8. LIBOTA WONGO dit :

    Kiakiakiakiakiakiakiakia. Mercenaire politique.

  9. Jean - jacques dit :

    Ping n’est pas un politicien lui c’est un technicien.Je ne suis pas fang mais je defend les idées des vrais politiciens je ne voie pas ou est le pbme si Rene participe au dialogue ou devient premier ministre ou vice pdt gambassadeur.pdt de l’AN.ou est le pbme? Ping c’est un gros jaloux.ce vieillard.

  10. Le martyr dit :

    Gervais Amogo après avoir insulté Ali Bongo tu es prêt à aller serrer sa main remplie du sang de tes frères et soeurs qu’il a fait tuer sous tes yeux ? Tu n’es pas le fils d’Eugène Amogo ta mère lui a seulement attribué la paternité. Tu veux entrer dans le projet GRAINE n’est ce pas ?

  11. Le martyr dit :

    René Ndemezo arrête de prendre les vessie de porc pour des lanternes. Ton interlocuteur BOA et toi n’avez pas la volonté ni la force de vous remettre à l’ouvrage, exiger, initier, imposer des réformes qui feront que demain soit meilleur qu’aujourd’hui. Si ton ami BOA écoutait la voix de la sagesse pourquoi s’entête t-il à vouloir organiser la CAN alors que l’Education nationale a besoin de salles de classe ? Votre dialogue n’est pas la seule voie permettant une meilleure gouvernance parce que tu convoites le poste de VPR pour gouverner avec celui qui volé le vote des gabonais et massacré des innocents. Le peuple gabonais refuse de dialoguer avec BOA parce que c’est lui même qui refusé le dialogue avec les gabonais raison pour laquelle tu as quitté le PDG. C’est ce que fait la diaspora qui va apporter le changement et les réformes que nous souhaitons tous. Comme tu n’as pas eu d’états d’âme pour faire tuer ton propre petit frère Fantomas, tu n’as pas non plus d’états d’âme pour tous ces jeunes gabonais qui été massacrés sous tes yeux dans le QG de PING.

  12. Rodyp dit :

    Bravo El Cappo. Encore une fois, tu démontres que tu es un grand homme politique, un homme d’Etat et un vrai patriote. Réunir en soi ces qualités, c’est savoir surpasser sa petite personne pour valoriser l’intérêt général. Ceux qui pensent que tu seras désormais un homme isolé se trompent lourdement. Encore une fois, bravo.

  13. diogene dit :

    L’opportunisme comme idéologie, l’ambition pour maitresse, la cupidité pour dieu.
    Pauvre M. Ndemezoo.
    Pas de surprise avec les girouettes.
    Le dialogue avec un dictateur n’a aucun sens.
    Des réformes sur quoi? le port des jeans en conseil des ministres.
    L’avenir n’est pas à la collaboration…

  14. dikoka dit :

    Lorsque nous parlons d’aller jusqu’au bout, c’est lutter pour un Gabon véritablement démocratique. Ça ne veut pas dire se fixer une date butoir au-delà de laquelle on dit : “Je n’ai pas obtenu ce que je voulais, le pays s’arrête”. Le pays ne s’arrêtera pas. Aucun de nous n’a la force de faire que le pays s’arrête. Nous devons plutôt lutter avec l’ambition de servir les générations à venir», a déclaré René Ndemezo’o Obiang.
    merci mr RENE

    mes AMITIES

  15. NKONENE-BENHA Fortuné dit :

    « Exiger, initier et imposer des réformes » à Ali Bongo? On n’a pas fini de prendre les Gabonais pour des cons!!! C’est comme cette prétention d’aller rencontrer le dictateur, non pas pour « négocier » mais pour « dialoguer ». Où a-t-on vu des négociations sans dialogue, et à quoi servirait un dialogue politique si ce n’est à négocier pour satisfaire les parties en présence? « L’ambition de servir les générations futures » pour que « demain soit meilleur qu’aujourd’hui »? Des slogans aussi creux et essouflés que les discours d’Ali Bongo. Qui se ressemblent s’assemblent.

  16. bonga pierre dit :

    Ndemezo est un homme libre…

  17. Paysan dit :

    Mr RNO vous allez dialoguer avec qui? Celui qui a fait tuer et assassiner les gabonais sans aucune compensions? Il vient d’adresser un message de soutien au camerounais suite à l’accident de train. Jusqu’à présent, il n’a jamais eu un mot à l’endroit des familles qui cherchent ou qui pleurent leurs enfants. Il montre combien de fois la vie des gabonais ne compte pas pour lui. De quel Gabon meilleur parlez vous? Celui où le mérite ne compte pas? Celui où la triche et la barbarie deviennent constitutionnelles? Dites nous que vous allez juste prendre votre bout de pain et épargnez nous de tout autre discours car ils ne tiennent pas.
    Je pense que l’échec de Ping et du peuple vient des soutiens car, ce n’étaient pas soutiens forts et sincères.

  18. Nzamata mine dit :

    On ne peut pas accepter de dialoguer avec des assassins qui tuent les gabonais pour se maintenir au pouvoir de force…

  19. Rhody Junior dit :

    Bilié Bi Nzé avait eu raison pour une fois (et ça fait mal de l’admettre), il a dit la vérité une fois dans sa vie: lorsque Ndemezo avait démissionné, il déclara « C’est plutôt une mauvaise nouvelle pour l’opposition » à la question de savoir si celle ci était un coup dur pour le PDG.

    D’ailleurs, lorsque Ping, se présenta sous la bannière du PGP, nombreux sur ce site l’avait invectivé, « tribalisme » on avait entendu (franchement moi même je pensais la même chose, car DN étant été créé nous pensions tous que c’était pour lui, mais apparemment lui savait que ce n’était pas le cas!).

    Je respecte sa clairvoyance et doit reconnaître que j’admire la sagesse de ce monsieur (PING bien sûr, pas le type en photo)… Comme quoi, nous autres emporter par le cœur ne suivons pas toujours les calculs des têtes maléfiques; Toutefois nous savons tous que l’idée qui ne sera jamais JAmais JAMAIS la bonne est celle d’aller trouver Ali à la table de la corruption.

    Mme Laurence NDONG (Mon Dieu que cette Dame est à 2 doigts de me faire croire en un / une politique gabonais de tout mon cœur pour la première fois de ma vie) nous demande d’être soudé, ravi que maillon faible nous quitte, la chaîne n’en sera que plus forte…

    On sait tous qu’Ali cherche de la légitimité avec son dialogue, car on sait ce qui doit être fait (prioritairement revenir à la constitution de 90 – Et Pour ma part y inscrire que jamais 2 membres de la même famille au sens africain, donc large, du terme ne puissent se succéder immédiatement, de peur de se retrouver dans un régime DEMONARCHIQUE, N’est ce pas Mr?) sans même qu’on en discute… Il veut juste être reconnu comme président (ce qui est d’ailleurs la première clause pour « assister » à son dialogue).

    Malheureusement, du haut de toute mon inexpérience et ma totale incompétence politique (que je revendique d’ailleurs), cette légitimité ne viendra pas avec NDEMEZO, ni avec MOUBAMBA, ni JOCKTANE ou d’autre menu fretin… Il vous faut PING les gars et ça vous le savez… même votre CENAP et votre CC malgré une fraude qu’envieraient les pires dictatures n’ont pu réduire son score qu’à 47%… C’est dire à quelle point il pèse lourd ce type!

    Donc continuez à nous divertir, vous n’ôtez que les membres les plus faibles (et corruptibles) d’entre nous et soyez rassurez on s’en passera aisément et la lutte se durcit. Merci Pour NDEMEZO prenez le, vous vous affaiblissez vous même!

  20. piouf! dit :

    Dieu est déjà entrain de faire le trie des double face

    • enfant du ROI dit :

      Amen; c’est toi qui a tout compris.
      Les émergents et leurs alliés n’ont pas encore compris et n’arrivent pas à réaliser que l’arrivée (surprise?) sur la place d’un quatrième acteur (il y en avait 3: le pouvoir, l’opposition et la société civile plus ou moins corrompue)qui est la diaspora, fausse tous leurs calculs.
      En effet, du temps de MBA ABESSOLE, MAMBOUNDOU, AMO, le scénario était le même. Après les élections perdues et volées par le PDG, quelques pelés et tondus de l’opposition et de la société civile étaient conviés à un « dialogue de légitimation »et percevaient leur part du gâteau en entrant au gouvernement ou en occupant quelques postes qui leur permettaient de rouler carrosse. Et dans tout ça, le grand perdant était toujours le peuple Gabonais.
      Mais cette fois, l’éternel des Armées,le Grand Libérateur a fait entrer sur la scène un autre acteur très intrépide; la diaspora. Et ça, même les services secrets d’Ali n’avaient pas pu détecter cela à temps. Assurément, plus rien ne sera comme avant avec cette diaspora. Quelque chose viendra d’elle!
      En effet, si les NDEMEZO, les MAYILA et autres Djoctane …. croient qu’ils vont aller à la soupe sur le dos des Gabonais meurtris, et que tout ira pour le mieux comme du temps des Mba Abessole, Mamboundou, Agondjo et autres OYONA’ABA, ils se trompent lourdement. La diaspora, avec en son sein des personnes tels que Laurence NDONG (servante de l’Éternel) et ses autres compatriotes à travers le monde ne lâchera pas le morceau. Et les Gabonais de l’intérieur bien qu’étant muselés se reconnaissent désormais en cette diaspora. Elle fait rêver le gabonais épris de liberté et de juctice. Assurément,quelque chose viendra de cette diaspora.
      Pour la gouverne de ceux qui croient que le retour de ces crèves la faim dans les rang du pouvoir va sonner le glas du combat pour la libération, la réponse de la diaspora est la suivante: « nous avons certes besoin de Jean Ping pour la poursuite du combat; mais, même s’il arrivait que lui aussi part au dialogue pour recevoir sa part du gâteau, nous continueront ce combat jusqu’au départ d’Ali! »

      A l’attention des Ndemezo, Mayila, Djoctane etc…si vous croyez que le « Véritable président » du Gabon Acrombessi va vous faire des cadeaux en vous permettant de vous remplir les poches,vous vous trompez lourdement. Même si vous avez les postes, il va s’arranger pour que ce ne soient en fait que des coquilles vides. Il va récupérer de manière subtile toutes les véritables compétences et vous assécher financièrement (comme il l’a fait pour le TPG, l’Agence de Grands Travaux). Wait and see.

  21. Dgriffa dit :

    Basééééé @rodyjunior

  22. GABOMA dit :

    les agissements des uns et les autres pendant et après les élections démontre a suffisante que la politique est un monde ou la population sert toujours DE victimes des assoiffé d’argent.

  23. christian222 dit :

    Envie de vomir!!!

    les enseignants de l’université attendent des vacations impayées depuis des mois! on doit démarrer une rentrée des classes avec pour condition le payement de la PIP entre autres…etc.

    Et ce type qui vient raconter ses âneries,est allé récupérer 600 Millions de fcfa, une voiture neuve au frais du contribuable gabonais et imposé sa petite sœur comme ministre… il ose venir parler de l’avenir du Pays. j’ai envie de vomir tellement ce monsieur nous prend pour de la merde.

  24. Roland dit :

    Finalement NDONG SIMA avait raison les gars là manipulaient les gens , il n’avait pas de plan b semble til Ndong Sima cette cabale contre lui , la candidature Fang faite pas eteghe Ndong , ndemezo ET Essono Mengue était donc une manipulation de leurs parts les gens sont donc morts à inutile men à cause ds cette stratégie de manipulation

  25. Axelle MBALLA dit :

    @ jean jacques dit: PING n’est pas un homme politique. En retour, nous lui disons que lui , n’est pas un homme. il ne l’est pour les nombreuses fois pendant lesquelles il a appris, et s’est habitué à « ramasser le savon ou le crayon », c’est selon. Pas question pour lui de se départir de cet ignoble cercle, quitte à se réduire au stade du « non-Être ».

    Il n’est plus nécessaire de lire tes déglutinations. Tu devrais envoyer tes puantes proses angéliques pour le Régime criminel que vous défendez, au journal Times Gabon, dont les pages en or, sommeillent au cœur de la Présidence de la République gabonaise, avec des tirages dont les impressions sont faites de sang des gabonais.

  26. leokhardo leokhardo dit :

    le bal des affamés se poursuit ! Au suivant de ces messieurs !!!sinon, la soupe se refroidira…Pauvre Gabon!

  27. Judas Scariot dit :

    Ndemezoo et la très très maigre poignée d’opportunistes qui ont choisi de suivre Ali ne font même plus pitié !

    Il court, il court, il court le rat de laboratoire, mais il court pour rien. La jeunesse loyale et morale qui est majoritaire aujourd’hui sait très bien qu’ Alibongo ne cherche pas à Dialoguer avec Ndemezoo (et sa maigre caste ou bande d’opportunistes comme lui). Car entre les deux c’est désormais prouvé que le dialogue n’a jamais été rompu. Depuis des mois les deux dialoguent déjà ensemble. Cette mystification est bel et bien un échec. Et ce n’est pas en multipliant les sorties inutiles qu’il crédibilisera son imposture.

    Vous mentez à vos consciences pas nous!

    En effet, entre JUDAS et IBUBU le dialogue n’a jamais été rompu (Cf. https://www.gabonreview.com/blog/flavienne-mfoumou-ndemezoo-a-oeuvre-entree-gouvernement/) Ainsi donc, pour former son gouvernement Ali le putschiste à demander à ce Judas de proposer un nom d’un bitamois et il a proposé celui de sa parente, Flavienne Mfoumou, militante du PDG et elle a été nommée Ministre des transport et de la logistique Cette dernière n’a pas d’ailleurs omis de l’en remercier. De ce point de vue, Ndemezoo JUDAS n’est qu’un agent qui travail pour Ali et pour lui.

    C’est donc amusant de le voir rouler dans la farine la très maigre poignée d’opportunistes qui ont décidés avec lui de suivre Ali. Lui meme Ali lui promet un poste, et lui, il promet à son tour des postes à ces petits moucherons.

    Il multiplie donc les sorties pour répéter les mêmes choses, pour faire comme s’il comptait vraiment et que sa démarche n’est pas mesquine. Malheureusement son enfumage ne marche pas. Alors, étant donné que ibubu est prêt à ramasser toute la racaille possible, peut importe qu’elle ait du poids ou pas, évidement que la trahison de JUDAS paiera de son point de vue, à l’image du vice-prémier Ministre qui pèse 0,00%, et dont la trahison change tout de même sa vie sociale.

    Si à chaque fois qu’il doit parler c’est pour dire « Oui » au dialogue alors c’est plus que pathétique car c’est peut être la 3e fois qu’il dit « Oui à Ali » devant les médias depuis la formation du gouvernement de putschistes.La dernière fois c’était samedi dernier.

    C’est bien la preuve qu’il ne vaut rien, en tout cas il est alors la tres tres tres tres tres loin d’avoir la valeur marchande qu’il veut vendre à ses ouailles.Il a de la valeur aux yeux de sa femmes et ses parents proches qui verront peut être leurs vies changer grâce à la vente de sa dignité, il a aussi de la valeur à yeux de ceux qui jouirons un peu de son imposture grâce aux postes administratif qu’il leur obtiendra, synonyme d’obtention d’une « meilleure vie ».

    Mais pour que le peuple Gabonais soit à l’abri de la peur et de besoin, son imposture n’a aucune espèce d’importance.

    Qui peut penser qu’un Ali assoiffé de crédibiliser son régime puisse croire que c’est ce mourant dont la popularité ne dépasse pas quelques villages du Woleu Ntem qui peut lui redonner du crédit sur le plan international et national?

    Va prendre ta part du gâteau affamé!

  28. Philippe dit :

    Mon Dieu raymond Ndong Sima avait donc raison

  29. sergio dit :

    ah le type la est un champion

  30. jeangabon dit :

    G
    lene Sharp est un professeur Américain de science politique qui est le fondateur de l’Albert Einstein Institution, qui est consacrée à l’avancement de l’étude de l’action non-violente contre les dictatures.

    Ceux qui préconisent d’aller aveuglément négocier avec Ali Bongo, voici ce que Gene Sharp écrit au sujet des dictateurs (ces citations sont tirées de l’ouvrage: « De la dictature à la démocratie »)

    • Les dictateurs ne vont pas se permettre d’organiser des élections qui pourraient les chasser de leur trône.

    • Le premier principe de la défense anti-coup d’État est donc de refuser aux dictateurs toute légitimité.

    • Toute négociation entre un dictateur et ses opposants démocratiques est vouée à déboucher sur un marché de dupes : la vision « romantique » de dictateurs qui seraient prêts à faire des concessions majeures, et de négociations menées en fonction d’arguments de droit et d’éthique (et non de pouvoir), est au mieux irréaliste : si un dictateur veut assouplir son régime, il n’a pas besoin de négocier pour le faire. Cette vision peut même être dangereuse : les négociations donnent au dictateur une légitimité. La seule négociation envisageable est celle permettant à un dictateur en déroute de fuir son pays en sécurité.

    • L’ouverture de négociations alors que des questions fondamentales de libertés civiles sont en jeu peut n’être qu’une ruse du dictateur visant à obtenir la paix ou la soumission des opposants alors que la violence de la dictature se perpétue. Dans ce type de conflit, la seule négociation envisageable est celle qui se tient à la fin d’une lutte décisive, lorsque le dictateur est aux abois et qu’il cherche un couloir de sécurité pour se rendre à un aéroport international.

    • Plus encore, des démocrates ou des spécialistes étrangers participant aux négociations peuvent, d’un seul coup, fournir au dictateur la légitimité (intérieure ou internationale) qui lui était refusée du fait de sa position monopolistique dans l’État, de ses violations des Droits de l’Homme et de sa brutalité. Sans cette légitimité désespérément nécessaire, les dictateurs ne peuvent pas continuer à régner indéfiniment. Les acteurs de la paix ne doivent pas la leur fournir.

    • Souvent considérées comme solidement ancrées et invincibles, certaines de ces dictatures se sont révélées incapables de résister à une défiance sociale, politique et économique concertée par le peuple.

    • C’est la résistance et non pas la négociation qui compte dans les conflits dont les enjeux sont fondamentaux. Dans presque tous les cas, la résistance doit continuer pour chasser les dictateurs du pouvoir. Le succès est le plus souvent déterminé non pas par un accord, mais par l’usage des moyens de résistance les plus appropriés et les plus puissants disponibles.

    • Comme professait Charles Stewart Parnell en 1879 et 1880, lors de la grève des loyers en Irlande : « Il est inutile de compter sur le gouvernement…vous ne devez compter que sur votre propre détermination… Aidez-vous en vous soutenant les uns les autres… fortifiez ceux qui, parmi vous, sont faibles… unissez-vous, organisez-vous… et vous gagnerez…

    • Les puissances étrangères s’investissent parfois de manière positive pour le peuple opprimé, mais seulement si le mouvement intérieur de résistance a déjà ébranlé la dictature au point d’attirer l’attention internationale sur la nature brutale du régime.

  31. enfant du ROI dit :

    Amen
    Bien sur que mes yeux sont fixés sur Lui seul; JÉHOVAH SABAOT, la force des faibles.

    « Qui est tu Grande Montagne devant Zorobabel? Tu seras aplanie…. »

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