La junior australienne Trek Metals va acquérir, auprès de Battery Minerals Ltd (BAT), 100% du projet de zinc-plomb de Kroussou, situé dans la province de la Ngounié.

Carte géologique du projet Kroussou. © D.R.

 

La compagnie australienne d’exploration, Trek Metals vient d’annoncer la signature d’un contrat lui permettant d’acquérir 100% du projet zinc-plomb de Kroussou au Gabon, auprès de Battery Minerals Ltd (BAT).

Selon les clauses du contrat, Trek Metals paiera à BAT 400 000 dollars en espèces et en titres. L’accord prévoit également une contrepartie différée en actions et options totalisant 2,5 millions de dollars, sous réserve d’une estimation d’une ressource minérale de 250 000 tonnes de zinc-plomb métallique sur le projet.

Trek accordera également à BAT, un rendement net de fonderie (NSR) de 2,5% sur le projet, qui est sujet à un rachat de 1% par Trek avec le paiement de 1,5 million de dollars US en espèces. La zone du projet de Kroussou a déjà été explorée entre les années 1960 et 1980, montrant des zones de minéralisation importantes de métal de base, proche de la surface sur 85 km.

«L’acquisition du projet zinc-plomb de Kroussou représente une formidable opportunité pour Trek de se développer considérablement avec le potentiel de découverte d’un gisement de zinc-plomb très important au Gabon. Le prix du zinc continue de s’apprécier à des niveaux quasi-record et nous sommes prêts à profiter pleinement de cette période», a déclaré Bradley Drabsch, le directeur de Trek.

Pour son exploration, Trek a choisi Dikaki, l’une des deux zones ayant connu des forages historiques (limités). Le projet Kroussou couvre 1496 km2 dans la province Ngounié.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. jean- jacques dit :

    Trop des projets , decouvertes, mais tout cet argent la grosse part va dans les poches des ministres, directeurs, deputés et senateurs le peuple ne bneficie rien. On bloque les recrutements dans la fonction publique, les salaires , conditions de travil ne suivent pas. les agents du Ministeres de s Affaires Etarngeres reclament les choses simples jusqu’alors pas des solutions.

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