A la faveur d’un récent entretien avec Ali Bongo, le leader du Parti social-démocrate (PSD) s’est dit favorable à la discussion proposée par le président de la République.

Pierre-Claver Maganga Moussavou et Ali Bongo, le 29 septembre 2016 à la présidence de la République. © DCP-Gabon

Pierre-Claver Maganga Moussavou et Ali Bongo, le 29 septembre 2016 à la présidence de la République. © DCP-Gabon


 
Pour Pierre-Claver Maganga Moussavou, candidat malheureux à la dernière présidentielle, «accepter de discuter avec le chef de l’Etat est une urgence, un devoir citoyen, après les récentes violentes manifestations post-électorales». S’il avait semblé se rallier à la contestation de Jean Ping, il y a quelques semaines, le président du Parti social-démocrate (PSD, opposition) paraît s’être éloigné du combat mené par l’ancien président de la commission de l’Union africaine, qui a encore récemment exprimé son refus de prendre part au dialogue politique auquel appelle Ali Bongo depuis l’annonce des premiers résultats du scrutin du 27 août dernier.
Estimant que «l’intérêt supérieur de la Nation» doit primer sur toutes les considérations politiques, Pierre-Claver Maganga Moussavou s’est entretenu, le 29 septembre 2016, avec Ali Bongo. Il s’est agi pour les deux hommes de discuter sur les modalités d’organisation de futur dialogue devant permettre de sortir de la crise politique actuelle. Pour le maire de la commune de Mouila, «l’absence de dialogue entraîne l’intolérance, l’intolérance entraîne les excès de tous genres, les excès entrainent la violence et celle-ci entraine la contreviolence». Le leader du PSD entend «apporter son appui à la restauration du Gabon et à la poursuite des réformes engagées depuis plusieurs années». Difficile de ne pas voir l’annonce d’une entrée imminente dans le gouvernement d’ouverture que souhaitent composer les autorités gabonaises.
Si cette entrée au gouvernement d’Emmanuel Issozet Ngondet devrait être officialisée à la fin de la semaine finissante, au PSD, l’on se dit déjà «disposé à travailler avec le chef de l’Etat et ses collaborateurs pour des mesures allant dans le sens de reconstruction, la décentralisation et déconcentration». D’aucuns prédisent déjà à tort ou à raison que 2016 sera l’année de l’expérimentation de la «provincialisation».
 

 
GR
 

31 Commentaires

  1. Rhody Junior dit :

    Homme politique, le respect que vous mettez du temps à récolter vous le perdez en une seconde.
    Vos paroles sonneront désormais creuses et légères, vous qui pourtant portiez tant de vérités, vous venez les troquer contre des mensonges.
    La part importante de fils indignes que porte le Gabon fait l’affaire du régime meurtrier. Et vous Maganga, où vous situé vous, grand homme politique devant ces simples gabonais qui ont perdus leurs vies? Vous n’êtes rien du tout. Le fait que vous ayez perdu dans votre propre ville ne vous montre par que vous êtes en déphasage avec le peuple?
    Moi je souhaite que vous reveniez dans le camp de la justice, car c’est nous les hommes qui partons de côté ou de l’autre, mais justice et injustice, elles, gardent les même positions depuis toujours.
    Churchill avait dit à des hommes faibles de votre accabit « Entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le déshonneur. Mais vous aurez la guerre ».

  2. SEMA dit :

    Peuple gabonais,ne cherchons pas des victimes expiatoires sur qui cacher notre propre coupable inaction.Vous avez élu Ping,pour quoi regardez vous ce que font ceux pour qui vous n’avez pas voter?
    Laissez-Les faire ceux qu’ils veulent,ce ne sont pas eux qui nous empêchent d’agir.Ping est devant,prenons nos responsabilités,en commençant par observer le receuillement du 6 octobre.
    Toujours entrain d’accuser les autres,et nous?

  3. nzam ata dit :

    Ce monsieur avait felicite Jean Ping au soir du 27 Aout 2016,maintenant il fait la manche chez ‘Ali Bongo selon ses propres termes au cours d’une emission sur Gabon Television .

    • Koulou la tortue dit :

      Ne vous étonnez pas de l’attitude de Maganga Moussavou, il fait partie du club des 0 pour cent, les opposants du ventre, raison pour laquelle il va faire des courbettes à l’usurpateur. Maganga Moussavou et Billy be Nze sont blanc bonnet, bonnet blanc, des vrais girouettes qui suivent la direction du vent politique favorable pour leur mangement. Mais il oublie que le pouvoir d’Ali va entrer dans le Ramadan financier parce que les bailleurs de fonds vont tout verrouiller, il sera ministre pour 3 mois seulement.

  4. Le martyr dit :

    Du haut de son air suffisant, Maganga Moussavou n’est qu’un faillot, une prostituée politique qui s’apprête à commettre une relation contre nature avec celui dont il avait dit, face à Hervé Ossamane, qu’il (Ali Bongo) ne lui arrive pas à la cheville.

  5. Le Villageois dit :

    No comment ! M. Maganga reste fidèle à lui même.

  6. Doanessatouck dit :

    la versatilité de Maganga ne devrait en principe pas étonner. car lorsqu’on regarde l’histoire politique de notre pays du moins après 1990, on voit que cet homme est resté constant dans son instabilité. Qu’il continue sur cette voie. D’ailleurs il sait au fond qu’il ne sera jamais président du Gabon même s’il était opposé a quelqu’un qui arrive nouvellement en politique, il perdra.

  7. gabao.kool dit :

    Monsieur Maganga Moussavou, Ali Bongo a tué les gabonais, ceux-là que vous prétendiez prêter votre voix pour parler en leurs noms. Le peuple gabonais doit comprendre par l’acte que Maganga Moussavou vient de poser, et qui, depuis des longues dates, est utilisé comme un marathon par ces VOYOUS ET SORCIERS POLITIQUES comme moyen naturel pour parvenir à leurs intérêts ; qu’il est désormais temps de régler leurs comptes. Si le peuple veut se faire respecter par les apparatchiks tels Maganga Moussavou et consorts, nécessité oblige donc de poser les actes forts. Autrement dit, le peuple doit traquer et réduire en cendre leurs biens où qu’ils soient à travers le pays. Trop c’est trop ! Le peuple ne doit plus accepter de se faire enculer par BOA d’une part, et de se faire cocufier tout le temps par les voyous de l’acabit de Maganga Moussavou. Si BOA est difficile à atteindre, mais les Maganga et consorts le sont aussi ??? Pourquoi devraient ils se permettre de s’amuser de façon avec nos vies ?

  8. Samuel dit :

    Cet homme politique ne surprend plus aucun gabonais. Qu’a t-il tiré comme conséquence de ses multiples échecs aux élections présidentielles. N’à t-il pas déjà participé à un gouvernement d’ouverture et claqué la porte par la suite ? Qu’attend t-il de la part d’un autocrate comme BOA? C’est simplement pitoyable pour notre pays le Gabon d’avoir de tels dirigeants qui n’agissent que pour louvoyer quelques strapontins ministeriels et non pour l’intérêt du pays comme ils le prétendent.

  9. Nzamata mine dit :

    M. Maganga Moussavou, vous allez dialoguer avec les tueurs, c’est? cela m’étonne de vous…

  10. chance dit :

    Je comprend parfaitement la position de Mr Manganga Mousavou du de sa reconversion dans le monde des affaires, le pauvre il vient de construire un hotel grand luxe à Lambaréné pour ne prendre que cet exemple ! grand dommage pour notre démocratie !

  11. Geitner dit :

    Pourquoi tant de révoltes, de haines contre ce gouvernement? attendez de voir les nouvelles mesures qui seront prises pour l’émergence du pays. Pour moi, il ne devrait pas exister de conflits entre les partis politiques. Mieux vaut s’unir et discuter des bonnes idées de tous afin de trouver les meilleures solutions pour la prospérité de chaque gabonaise et gabonais. Débattre avec l’intelligence et la tolérance de chacun apportera beaucoup plus de sérénité, de positivité, de satisfaction, de joie, d’estime de soi que la violence, la destruction improductive. Les humains sont capables d’être intelligents grâce à leur cerveau, à leur savoir-vivre et savoir-faire, utilisons notre cerveau pour le bien-être de tous. Que le Gabon montre au monde entier qu’il peut devenir un pays modèle grâce au travail et à la spécialité de chacun, l’être humain en est capable, mais il ne le sait pas encore. Et ce n’est pas de l’utopie! commencez par penser positif et réfléchissez au monde que vous voulez laisser à vos enfants, aucun gouvernement dans le monde le fera à notre place.
    Philippe

    • KOUMBWAMI MA-FWAT dit :

      « Pourquoi tant de révoltes, de haines contre ce gouvernement? » Telle est la question que vous feignez de poser, comme vous feignez d’ignorer toutes ces innocentes vies, emportées par le feu des balles d’une garde… républicaine. Ces morts ne sont peut-être que rebut pour vous. Pour le peuple, ils sont LA RAISON de la détestation du pouvoir en place.
      Mais il importe que vous reteniez ceci : ces voix alors heureuses que d’aucuns ont cru taire après l’annonce d’une victoire usurpée, chuchotent chaque jour, à chacun de nous qui sommes de l’autre côté de la frontière, le courage, la détermination et l’espoir…

    • FINE BOUCHE dit :

      A croire que le mensonge n’est plus une seconde nature mais est l’actif inscrit dans l’ADN de beaucoup de personne au point qu’il faut savoir conjuguer avec. C’est pathétique. Mme MBORANTSO est aller demandé pardon auprès de Basile ? Je doute elle est partie se convaincre qu’elle était dans sa raison et que c’est le peuple gabonais qui était dans l’aveuglement

  12. Jean - jacques dit :

    Rien que les gros jaloux plein de haine des faux opposants gabonais.

  13. Harvy dit :

    Fort heureusement on les connait , tous les  » prestidigitateurs  » de la politique gabonaise. Il n’ya donc rien d’étonnant.. tout ça pour des petits privilèges.
     » Quand les hommes politiques au Gabon, se déculottent «  » le titre de mon prochain ouvrage…

  14. legaboma dit :

    Apparemment au Gabon on ne sait plus sur qui compter, ce même Maganga était passé à voxafrica pour critiquer le PDG, et le voilà encore avec le chef du pdg!!!..alors la c’est pas la peine hein…

    • COMPRENDRE dit :

      Legaboma mon coeur seigne, g me rends compte que les hommes politiques gabonais ne suivent que largent. Aucune valeur naccompagne le courant de leur vie. G n les trouvent pas integres. Comment quelquun qui fut au gouvernement qui est sorti de ce gouvernement pense qu’en revenant les choses seront differentes. C largent point barre quils veulent, tous ceux qui y iront, mm les plus proches de Jean Ping.

  15. Koek lun dit :

    Il a faim . Ils veut aussi rever mm s il
    Faut tuer le Gabon qu il Sait ne pas Aimer parraport a soi meme . Bonne chance a eux! leurs enfant ont honte d eux a l ecole c est moi qui vous dit. Ils ne parte plus a l ecole . Ils veulent se succider

  16. l'ombre qui marche dit :

    Moi je ne peux pas dire que quelqu’un ne m’arrive pas à la cheville et après je vais faire la courbette là vraiment le biafrais boit du petit lait! Les MANDELA NELSON OU LUMUMBA PATRICE NE SONT PAS LEGION!

  17. Top dit :

    A tous ceux qui sur ce site insultent, calomnient et poussent à la haine, lisez cette réplique de monsieur NDONG SIMA à vos post d’un autre âge.
    A gabonreview, j’aurai souhaité que vous en fassiez également écho mais je me rends compte que votre impartialité d’avant s’est effritée. je comprends que ça vous arrange de ne mettre sur votre site que des informations qui peuvent vous rapporter gros et non ceux qui permettent de faire comprendre à tous ici nous n’avons qu’un seul pays et le bruler ne résoudra pas le problème.
    Voici ce que dit NDONG SIMA:
    “J’ai le courage de mes opinions et je les revendique.
    Je n’appartiens pas à cette catégorie de pyromanes qui jettent de l’huile sur le feu en poussant la population à l’affrontement et à l’insurrection, à mains nues, contre des troupes légales entrainées et armées sans, en contrepartie, vouloir en assumer les conséquences.
    Je n’envoie pas aux gaz et aux balles (en caoutchouc ou réelles) une jeunesse dont une partie est excitée par des consommations de produits qui lui font perdre la tête. Je ne peux pas adhérer à des stratégies qui se donnent des objectifs quantitatifs de morts dans le but de faire intervenir les Nations Unies.
    Je ne compte pas sur les réactions épidermiques de certaines provinces qui ont les nerfs à fleur de peau et se posent généralement des questions après avoir réagi.
    Je ne crois pas qu’une élection soit un rendez-vous que le pays se donne tous les sept ans pour s’insulter, se diviser, s’entretuer, en un mot, pour s’entredéchirer.
    Je défends des positions difficiles, peut-être, mais claires et conformes à l’esprit républicain. Ma présence à la prestation de serment du candidat déclaré élu par la Cour Constitutionnelle a déclenché un déferlement d’injures et de menaces qui en dit long sur les convictions démocratiques de ceux qui les profèrent.
    Dans une République, espace dans lequel nous prétendons être, on commence par respecter les institutions. Au besoin, on fait la preuve qu’elles ne fonctionnement pas correctement. C’est bien ce que j’ai fait en allant à la Cour Constitutionnelle contester les décisions de la CENAP avant le début de la campagne. C’est encore ce que j’ai fait sans rencontrer le moindre écho (y compris chez ceux qui se plaignent aujourd’hui) en disant avec insistance que les préparatifs étaient bâclés et qu’il fallait reporter l’élection.
    Je note au demeurant que les ambassadeurs des Etats Unis, de l’Union européenne et de différents pays européens qui ont dénoncé des failles dans ce processus électoral sont venus à cette prestation de serment, représenter leurs pays et ont validé par la même occasion cette élection. Cette présence ne fait pas pour autant l’objet de critiques particulières.
    Le temps des bilans vient et chacun devra répondre de ses stratégies et non chercher à s’exonérer et même s’absoudre de ses erreurs en couvrant d’injures ceux qui ont eu le malheur d’exprimer des points de vue différents. Et ce n’est pas le vacarme sur le net qui y changera quelque chose.
    Lorsque l’Estuaire et l’Ogooué-Maritime, qui représentent 52% de l’électorat, ont un taux de participation de 46% à une élection majeure, il faut s’interroger sur le contenu de l’offre politique faite au pays. Il faut admettre que cette offre est restée loin des préoccupations des électeurs puisque cela veut dire que 54 électeurs sur 100 enrôlés ne sont pas allés voter, ne se sont pas sentis concernés. La classe politique a là un problème. On ne peut pas, c’est bien connu, se prévaloir de ses propres turpitudes et de ses erreurs.
    Alors que tous ceux qui m’adressent injures et menaces souvent derrière de courageux pseudonymes les gardent pour eux et commencent plutôt leur examen de conscience. De toute façon un jour ils sortiront de leur anonymat.
    J’ai le courage de mes opinions et je les revendique. Je suis un républicain et je respecte les institutions de la République. Je n’approuve pas toujours ce qu’elles font mais je m’inscris dans la légalité. On ne construit pas un pays dans la haine mais dans le dépassement et le surpassement de soi; dans la concorde et la fraternité.”
    Raymond NDONG SIMA
    A BIEN MEDITER!

    • LB dit :

      M. Top merci de transmettre à M. Ndong Sima. Je suis une gabonaise qui a du mal à cerner votre positionnement politique. L élection présidentielle devrait être un débat d idées. Je vous ai suivi sur voxafrica sur notre rtpdg nationale et à aucun moment je ne vous ai entendu faire le diagnostique économique social et politique de notre pays. Être républicain (et si vous êtes de l opposition) ne signifie pas ne pas avoir le courage de dire que dans tel secteur ou tel secteur ça ne marche, donc voici ce que j apporte comme solution.
      Vous avez été au PDG et 1er ministre. Au cours de ce mandat avez vous demander publiquement à vos chers collègues du PDG (largement majoritaire a l assemblée nationale) qu au vu de 2009, mieux il fallait revoir la composition de la cenap, la limitation et la durée des mandats présidentielle etc..?
      Je reviens sur votre passage qui stigmatise une partie de la jeunesse qui serait sous l emprise de stupéfiant. C est assez réducteur comme analyse de voter part. Vous dénoncez les injures et la calomnie mais vous prouvez que le niveau baisse. Soyez plus clair dans votre positionnement et peut être que vous ferait moins l objet d injures et de raillerie.

  18. Ogoula Nze dit :

    PCMM n est pas venu a l investiture certes…
    Mais tant qu il vient pour travailler…y a pas de problèmes.
    Koek Lun, Tu es un grand MALADE…LOL comme le dirait MANITAOU

  19. Hughes dit :

    Cela ne saurait etre etrange a personne car Mr Maganga Moussavou est en baisse de popularite politique et la main tendu d’Ali est la meilleure prise du moment pour resurgir de son imposelarite. Tous les moyens sont bons sous les cieux.
    Cependant, ce dernier de represente en aucun cas la volonte du grand hombre des gabonais qui ne veulent plus d’Ali a la tete du Gabon.

    • Ogoula Nze dit :

      La democratie ce n est pas combqttre une personne ou son pqtronyme, mais son programme de societe.
      Sinon, OBAMA n aurait jamais ete President aux USA..D ailleurs meme TRUMP s incline desormais.
      Je souhiaterais que Gabonreview censure les insultes et invectives aux hommes politiques.
      CApportons chacun notre pierre a un l edification d unGabon respectable et respecte.
      Bien a vous.

  20. Doane dit :

    Mr Ndong Sima…vraiment! ce que j’attends de l’homme politique que vous etes, c’est d’abord de me dire clairement quelle est votre positionnement politique:opposition ou majorité? Ensuite quel modèle politique/économique a travers lequel je dois vous identifier. les politiques gabonais me donnent plutot l’impression que le Gabon est un jeu.Tous sans exception. C’est vraiment dommage! Dommage non pas pour vous mais pour le devenir de ce pays que vous prétendez tous diriger. Quand je vous(politiques) regarde et surtout quand je prends le temps de vous ecouter, je suis inquiet pour ce pays. Le gabon est une affaire très sérieuse et le diriger nécessite des Hommes sérieux. Malheureusement ceux qui avaient donné quelques signes prometteurs,non seulement certains n’ont jamais eu cette opportunité, mais avec le temps, on a fini par realiser qu’il y avait plus d’aventuriers que d’hommes sérieux. L’histoire vous jugera. je serai très content de lire votre réaction. Tres cordialement!

  21. LEVRAI dit :

    En pleine foret hivernale, quand on a froid pas besoin d’attendre de tuer l’ours pour se servir de sa peau comme couverture. Même un rat peut faire l’affaire.
    IBUBU (Le Gorille) ayant perdu ses poils en plein hiver n’a plus d’autre choix que de se servir des tout petits rats affamés.
    Pourvu qu’il reprenne du poids de la bette avant de les dévorer.

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