Par la voix de son secrétaire général, l’Union du peuple gabonais (UPG), a exposé sa vision de la réorganisation de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap), jugée nécessaire avant 2016.

© D.R.
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A deux ans de la prochaine élection présidentielle, les formations politiques de tous bords fourbissent leurs armes. Si chaque parti s’attèle désormais à préparer cette joute qui, pour certains, présage d’un important changement au sommet de l’Etat «par tous les moyens», dixit Jean Ping, pour d’autres, la victoire passe nécessairement par des réformes. Au nombre de celles-ci, la réforme de la principale entité chargée de la gestion des élections au Gabon : la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap). Accusée de tous les maux depuis sa création, l’institution dirigée par René Aboghe Ella est l’objet d’une attention particulière de la part des responsables de partis politiques de l’opposition, et particulièrement de ceux de l’Union du Peuple Gabonais (UPG).
Au cours de l’émission «La Grande interview» le 28 août dernier sur Gabon Télévision, le secrétaire général de l’UPG a réaffirmé le souhait de sa formation politique de voir cette institution reconfigurée. «On pourrait avoir 7 représentants de l’opposition, 7 représentants de la Majorité et 3 représentants de la société civile», a-t-il proposé, avant d’indiquer qu’il faut en finir avec le régime de la nomination pour consacrer l’élection du président par un collège de pairs. «A l’intérieur de ce collège, on pourrait organiser une assemblée générale. De celle-ci sortira un bureau avec un président qui soit indiscutable et absolument non discuté.» Pour Bruno Ben Moubamba, «ce sont des efforts qui doivent être mis en place dans le cadre de l’instauration d’une forme de démocratie participative qui permet à la commission de disposer de membres bénéficiant d’une légitimité démocratique». «L’UPG a fait ces propositions sans être entendue de même qu’il a été le cas en 2006 aux Accords d’Arambo», a-t-il regretté. Espérons qu’il en soit autrement cette fois-ci…
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. Bouka Rabenkogo dit :

    « Appel d’urgence à l’organisation d’une Conférence Nationale Souveraine »
    Créée le 17 août 2014 le mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » composé de Patriotes à 100% Gabonais (pas des blancs à la peau noire, utilisés par l’occident et l’orient pour perpétuer l’ordre esclavagiste, coloniale, néocoloniale et l’auto colonisation au 21ème siècle).
    Le mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » qui a pour objet d’éradiquer le nouvel ordre colonial (esclavage, colonisation, néo colonisation), perpétrer, perpétuer et entretenu par Albert Bongo, le système et son clan: « Appel d’urgence à l’organisation d’une Conférence Nationale Souveraine ». le Programme « LA RESTITUTION » démarré le 17 aout 2014 se traduit et exécutés méthodique par Les Patriotes jusqu’au départ sans condition de la Cigale (Ali Bongo Ondimba). Pour le mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » la journée du dimanche 17 août 2014, a mis fin à la forfaiture et la duperie : l’élection d’Ali Bongo Ondimba président de la ‘’République’’. A la fin de la célébration et de la commémoration de l’indépendance du colon (esclavagiste).
    Une Aurore Nouvelle a annoncé le dimanche 17 août 2014, l’Eveil de la Nouvelle République et l’Indépendance Réelle du Gabon et de l’Afrique.
    « UNION – CONCORDE – FRATERNITÉ »
    L’Adhésion au mouvement « ÇA DOIT SE FAIRE MAINTENANT » est libre.
    (Les plus Grandes Victoires sont Pacifiques).
    Large diffusion
    « Le Patriote »

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