Sur des tons divers et variés et sous certaines conditions, le Premier ministre ainsi que les présidents de la Cour des comptes, de la Cour constitutionnelle, du Conseil économique et social, du Sénat et même de l’Assemblée nationale se sont dits, lors des vœux au président de la République, favorables à un environnement social et politique apaisé.

Le Premier ministre présentant les vœux au couple présidentiel. © DCP-Gabon

Le Premier ministre présentant les vœux au couple présidentiel. © DCP-Gabon


 
© DCP-Gabon

© DCP-Gabon


Comme de tradition, le gouvernement et l’ensemble des institutions constitutionnelles ont rendu un hommage au couple présidentiel en ce début d’année. Si dans l’ensemble, leurs représentants ont tous souhaité plein succès au président de la République dans la poursuite des réformes engagées, ils ont également émis le vœu que cette année soit placée sous le signe du dialogue, de l’ouverture et de l’apaisement dans l’ensemble des secteurs de la vie de la nation.
Que ce soit Daniel Ona Ondo, Rose Francine Rogombé, Guy Nzouba Ndama, Marie Madeleine Mborantsuo, ou Gilbert Ngoulakia, les intervenants ont, à tour de rôle, salué les avancées enregistrées sous la conduite de l’exécutif, appelant même à une accélération du rythme et de la cadence des réformes. Réaffirmant leur disponibilité à œuvrer à l’aboutissement de ces projets, ils ont, chacun en ce qui le concerne, dressé un bilan de l’année 2014, reconnaissant que des choses sont à revoir. Globalement, tout en dénonçant les appels à «l’insurrection et à la désobéissance civile» qui ont eu cours ces dernières semaine, les uns et les autres ont souhaité un climat social et un environnement national apaisés en 2015, mettant en exergue les notions de dialogue constructif et d’ouverture, gages de paix et de solidarité. Un message au diapason de ceux des confessions religieuses, acteurs non étatiques et collectivités locales. Dans ce registre, le président du Conseil économique et social (CES) a été des plus limpides. Paul Biyoghé Mba a indiqué qu’une réflexion nationale doit être engagée. «Si dans un pays, l’économie et le social constituent le contenu du développement, le climat politique est l’enveloppe», a-t-il lancé.
En réponse, le président de la République a soutenu qu’il reste un homme de dialogue. Après quoi, il réitéré l’exigence faite au gouvernement de trouver des poches d’économie permettant de soutenir durablement la politique sociale. Comme annoncé lors de son discours à la nation, le 31 décembre dernier, Ali Bongo a dit être favorable à l’adoption d’une nouvelle grille de rémunération de l’agent public qui tient compte des capacités budgétaires de l’Etat. Au Premier ministre, il a demandé de tenir, dès la semaine prochaine, un séminaire gouvernemental consacré à la crise du pétrole, et aux ajustements nécessaires. «Vous devrez me proposer, dans les meilleurs délais, un réajustement de la loi de finances afin de tenir compte de la nouvelle donne, de maintenir le cap des réformes structurelles de notre économie, de poursuivre l’investissement, tout en veillant à ne pas se détourner des objectifs que nous nous sommes fixés », a-t-il fait savoir, expliquant : «C’est une exigence pour votre gouvernement qui doit, par conséquent, trouver des poches d’économie permettant de soutenir durablement notre politique sociale».
 

 
GR
 

33 Commentaires

  1. Jean - Jacques dit :

    Mais ce dialogue qui ne cesse d’être évoquer c’est pour traiter de quoi? que ping revient au gouvernement avec Myboto.?
    C’est la même chose que les accords de Paris ou chacun avait eu la part du cadeau…

    • L'aveugle dit :

      tu comprendras que le Chef de l’État commence permet moi de me répéter à comprendre la notion « Nation »
      c’est à croire qu’avec des hommes comme vous sans raisonnement, sans culture cet homme avec grand H était en perdition avec lui même et embrigader par certains membres de son entourage.
      je crois fermement dans un proche avenir que vous serez ses pires ennemis ou opposants pour l’avoir mis en conflit avec une partie des Gabonais.
      Ali attention aux regrets.

  2. Arretez de nous distraire.
    Chers patriotes nos parents pleurent encore nos defunts suites a des disparutions misterieuses ou par crimes rituels aussi, la misere trop severe qui nous accable cruellement ne peut nous rendre receptif a une quelconque retrouvaille politicienne.la perte de la dignite humaine est sans precedant car au Gabon sevi des marchands des ORGANES HUMAINS.Les faits sont la;
    la justice de notre pays le Gabon est a la solde du pouvoir et les institutions complicent et assugeties a l’autocrate.Que dire si ce n’est que des larmes de desolation et de terreur. La PRESSE,cette Presse politises confisque l’information et la deforme a toute fins. il y a eu trop de dialogue ca et la, pour aboutir a la divertion uniquement.A la fin tout ces discours auquelles on ne croit plus devient du verbiage.

  3. imagine56 dit :

    Je félicite surtout Biyoghe Mba qui fait toujours preuve d’audace et de courage en appelant un chat un chat, les tournures diplomatiques, pour ne pas dire les contorsions employées par les autres intervenants n’impressionnent pas le président, il faut en pareil circonstance lui parler comme le faisait Mayila, tout en gardant bien sur la mesure et le ton qui sied.
    Je constate que le président tient à démontrer que c’est lui le chef qui commande et ordonne, en effet dire au PM  » vous devriez me proposer dans les meilleurs délais etc… » est inapproprié, nous savons que le gouvernement a pour mission la mise en oeuvre sur lequel le président a été « élu » ,  » le gouvernement soumettra dans les prochains jours le rectificatif ou le réajustement de la loi des finances… » à mon avis conviendrai le mieux
    Je pense très sérieusement et en toute objectivité que le président gagnerait s’il pouvait apprendre à élever et non à rabaisser ses collaborateurs. S’adresser ainsi au PM et attendre des ministres qu’ils aient qq considération pour ce même PM me parait laborieux
    la RTG qui se contente de filmer en direct ces évènements est cablée, donc suivie de partout et quand le président emploie ce ton autoritaire, pour ne pas dire suffisant, ça ne fait pas bien, le président doit toujours donner l’impression de respecter ses collaborateurs. Je suis un drole de chef, je traite toujours mes collaborateurs avec beaucoup d’égards, en le faisant, je sais qu’il donneront le meilleur tant je leur donne le sentiment que sans eux, sans leur soutien, je ne pourrai pas arriver à accomplir ma tache.
    Dialogue, dialogue…c’est l’air du temps, pourquoi pas, mais dans le respect mutuel et avec comme modérateurs le représentant spécial de l’ONU, de l’UA et la participation effective des acteurs de la société civile.

  4. Pas Possible dit :

    Tchouoooo depuis 40 ans les meme bouilles. Voila pourquoi on est tjrs à terre, peut etre memem au sous sol… Enfin je ne dit rien je passe seulement!

  5. @PMoubala dit :

    vraiment ça vas faire avancer les choses sans cassures et morts svp!

  6. YEYE CAR dit :

    De la même manière il refuse de voire la vérité en face et c’est de la même qu’il se passe toujours pour ce qu’il n’est pas en réalité dans ce cas il ne peut pas faire ce qu’il dit car pour lui faire ce qu’il dit est égale à ce qu’il ne veut pas justement un enseignant de théologie avait dit à l’endroit des faux prédicateurs je site: ce qu’ils sont en réalité crie beaucoup plus fort que ce qu’ils disent être
    sur un pupitre devant un peuple .En claire les bons diseurs ne sont pas toujours les bons faiseur .oh roi nu !tu ne peux pas faire ce que tu dis car ce que tu dis et proclame au perchoir c’est ce que le peuple veux entendre
    et c’est ce qu’il veut .

  7. jean marie mombo mouketou dit :

    voici des gens qui se soucient denous, du peuple gabonais. chers opposant ecoutez les. dans le cas contraire vous demontrerez que vous etes des hors lq loi. on veut la paix au gabon

  8. Le supositoire d'ali le 9 dit :

    Lorsque même 1 site comme Gabon REVIEW qui m’avait l’air libre se permet de me censurer et me dire ce que je dois écrire pour le plaisir du roi al1, alors je comprend que ce pays est vraiment pris en otage par 1 vrai système démoniaque. Je crois + en vos pseudo-opposant, j’écrirais + r1, tous qui me reste a faire c’est quitter ce pays maudit

    • Gros dit :

      Personne ne vous dicte quoique ce soit, voyons. Soyez raisonnable, cher(e) ami(e). A la suite d’un de vos précédents commentaires, il m’a semblé avoir lu une mise en garde du site vous demandant respectueusement de changer d’identifiant. « Le suppositoire d’.. » vous trouvez ça respectueux, vous, de la première autorité du pays? Et vous parlez de censure? Et qui vous dit que le site est un média d’opposition? Réfléchissez, bon sang, avant de débiter des sornettes!
      Aussi, si votre départ de « ce pays maudit » peut nous aider à nous débarrasser de telles basses réflexions…bon vent!

    • imagine56 dit :

      le Suppositoire
      Toi aussi, il faut savoir accepter les critiques
      ton sobriquet fait du tort à GR, tu ne vois pas comment les Jonas
      sont traités? nous devons aider nos journalistes , ceux qui sont encore dans ce pays à nous donner l’information vraie et cela au prix de leur vie, on ne te demande pas de quitter le site mais de changer de sobriquet….Tu peux garder suppositoire si tu veux, mais retires Ali 9, ça fait vulgaire
      et nauséabond, tu as du respect pour toi non? alors choisis qq chose de propre, comment peut-on s’appeler suppositoire?
      ne me ramasses pas papa, c’est pour ton bien

  9. charly dit :

    Cet homme est un imposteur officiel, et vous lui faite allégeance publique!!!? LE PEUPLE OBSERVE.

  10. Ramanda Marcus dit :

    Pourquoi vous avez du mal à clamer les bonnes actes, vous pensez que Ping peut mieux faire?

  11. @PMoubala dit :

    ça va etre bien qu’ils pensent un peu a la population qu’ils envoient dans les rues…

  12. raphael bandega lendoye dit :

    Pourquoi le dialogue? Les institutions constitutionnelles semblent découvrir une crise qu’elles se sont ingéniées à ignorer depuis de trop nombreuses années. Elles ont participé à la diffusion de l’idée que l’existence des institutions et leur fonctionnement suffisait à garantir l’Etat. A l’expérience, cela est faux. Ensuite ces institutions ont une part importante dans le contenu de cette crise. Comment comprendre que la Cour Constitutionnelle et La Cenap aient laisser passer un faux acte de naissance pour un candidat à la présidence de la République alors que cela était évident pour un fonctionnaire de basse échelle? Pourquoi s’est-elle refusée au recomptage pour désigner le président de la République? Pourquoi les institutions habilitées ont-elles refusé la médiation des Nations Unies? Pourquoi le Conseil d’Etat laisse croupir dans la misère des fonctionnaires en activité dont les salaires sont retenus illégalement et qui l’ont appelés à leur secours pour dire le Droit? Pourquoi a-t-on laissé fonctionner une assemblée nationale monocolore alors que la biométrie s’imposait pour améliorer la transparence? Pourquoi a-t-on laisser s’organiser les élections locales alors que les procédures retenues par une célèbre concertation n’étaient pas épuisées? pourquoi a-t-on avalisé la parodie d’élection par des irrecevabilités à géométrie variable lors des élections locales et lors de la désignation des exécutifs locaux? Les institutions doivent assumer leurs responsabilités dans cette crise en raison de leur incompétence, de leur cécité ou de leur absence de courage et en tirer toutes les conséquences. Dans l’inverse, ce serait trop facile d’appeler au dialogue

  13. Martin Luther NZOUBA dit :

    Est-ce que M. BOA a de la considération pour ses interlocuteurs? Il n’en a que faire de ces appels au dialogue. M. est tellement imbu de sa personne qu’il n’en fait qu’à sa tête.

  14. Jean Charles Mba dit :

    Dans les traditions africaines il existe la palabre. C’est une discussion qui vise à établir un consensus entre diverses positions. La modernité pourrait reprendre cela et établir alors une démocratie consensuelle. C’est dans ce sens que devrait évoluer la politique au Gabon en fondant l’action politique sur le dialogue et le consensus. Pour cela il faut que les protagonistes politiques se respectent et respectent le peuple dont ils sont les serviteurs…chose qui eu égards au récents événements n’est pas très perceptible. Dans l’opposition comme dans la majorité il y a des choses à revoir. Chacune doit tenir compte des critiques qui lui sont adressées

  15. Bassomba dit :

    L' »opposition » ne veut pas de dialogue, car elle redoute qu’on lui rappelle son passé; elle veut le changement par la force, mais quel gabonais va se risquer à ça? En tous cas pas moi et des milliers comme moi!

  16. doukdouk dit :

    Mr Jean Charles MBA, vous dites, dans les traditions africaines il existe la palabre. C’est une discussion qui vise à établir un consensus entre diverses positions.Une question simple, Monsieur ALI, a violé la constitution avec sa belle mère Mburantsuo, admettons qu’on lui dise de vider le plancher, va t-il l’accepter ? Lors des débats on lui dira, faites les teste d’ADN, va t-il l’accepter ? Ensuite je vous pose la question, qui sera sera le Médiateur ? Pas Basile MVE en tout cas. Les hommes d’eglises ont prouvé quils sont avec le POUVOIR- QUI sera le MEDIATEUR ? Ceux qui participent aux crimes rituels ? Si c’est l’ONU ou bien l’Union Européenne oui- mais pas ceux qui soutiennent son action. Monseigneur BONET a été brutalisé a St Michel de NKEMBO, Basile MVE est où ?

  17. Raphael Paco Reteno dit :

    Pourquoi mélanger la réligions dans cela? Pourquoi demander où est Basile MVE quand tel ou tel se fait brutaliser ? Vous monsieur Doukdouk apportez nous les preuves que le pouvoir en place ne fait rien pour améliorer les conditions de vie ! Vous monsieur Doukdouk pourquoi ne pas aussi vous mettre dans les jeux politique et nous montrer des projets que vous menerez a bien. La palabre existe et il faut l’utiliser avant d’aller chercher de l’aide ailleurs!

  18. Raphael Paco Reteno dit :

    Il faut vraiment un appel à la paix , on ne veut pas de violence gratuite ! Vous voulez qu’il s’en aille mais qu’allez vous proposer de mieux? Il fait de son mieux pour le bien être de tous et essaye de préserver l’unité nationale et notre paix.

    • imagine56 dit :

      Raphael Paco Reteno
      C’est une blague de mauvais gout, je n’ai pas le même train de vie que ceux qui traversent le Ntem pour aller déposer des milliards au Cameroun ou en Guinée Équatoriale, je ne vis pas dans les mêmes conditions de vie que Manf10 qui peut trimbaler 500.000e euros dans une voiture en plein Paris.
      Ce qui est triste c’est que vous les émergents pensez que les gens se plaisent à inventer leurs souffrances, leurs frustrations
      personne ne se plait à se plaindre, sauf si mentalement on est
      déséquilibré, alors s’il vous plait allez dans les familles et vous verrez combien celles-ci sont confrontées à de nombreuses difficultés…
      il devient de plus en plus difficile de tenir de nos jours, nous avons au contraire des occidentaux, des familles élargies, tentaculaires. Nous qui venons des provinces
      avons l’impression que nous travaillons à cotiser pour les dépouilles de parents qui doivent être ramenés au « village »
      Nous en sommes à tressauter quand tôt le matin vous êtes réveillés par un coup de fil, il y a toujours un parent qui est malade, qui a besoin d’aide. Quand vous arrivez au bureau, vous trouvez devant votre porte un parent qui attend…Les hommes sont obligés de trainer dehors pcq l’on fuit non pas la maison mais les appels à l’aide que l’on ne peut satisfaire.
      La vieille voiture de vingt ans achetée en Belgique qui vous lâche aux heures de pointe, devant un feu rouge…La liste de frustrations est longue, alors ne nous dites pas que Ali fait tout pour nous rendre la vie agréable, la votre l’est peut-être, mais ce n’est pas le cas de plus de la moitié de vos compatriotes, souffrez dès lors que ces populations puissent crier leur désespoir!

      • Iboundji dit :

        meme la leur ne l’est pas la queue pour avoir du gaz ou du carburant est pénible pour tous meme lorsque vous avez les moyens de shunter la queue il faut les sortir ce qui revient au meme.Mais l’estomac étant devenu leur boussole on va vous sortir toute une lithanie dont le seul but est de vous imposer le statut quo comme si c’était une fatalité ce qui est complètement faux et intellectuellement malhonnète.Il ne s’agit en rien de demander à qui que se soit d’aller tuer personne mais arreter pendant qu’on se fait dépecer comme du gibier de nous dire qu’on va parler avec quelqu’un qui ne le veut pas.
        Son objectif n’a jamais été le bonheur d’un Gabonais juste la jouissance et en la matière il a un grand appetit au propre comme au figuré comme on le constate.Objectivement meme hors opposition vous pensez qu’il manque des gens valables pour redresser ce pays???Arretez vous aussi…
        Ndjègo ayane ezimba [1 panthère n’enfante pas de termitière]Proverbe M’pongwè

        • Hope dit :

          « Son objectif n’a jamais été le bonheur d’un Gabonais juste la jouissance et en la matière il a un grand appetit au propre comme au figuré comme on le constate »
          la preuve Sylvia porte des robes de 5 millions de F CFA!!! lui même a des voitures à 200 millions l’unité!!! Par décence, est ce que je peut porter une robe de 5 millions alors que mon voisin pas celui de la sablière mais celui du fin fond d’Okala, de Kinguélé, éprouve des difficultés pour acheter un kilo de riz? Heureusement que la vie ne s’achète pas!!

  19. Jean Charles Mba dit :

    Cher Doukdouk, La proposition d’une démocratie consensuelle est une proposition qui vise à dépasser les problèmes politiques et constitutionnels actuels par une concertation entre acteurs politiques dans le respect mutuel et le respect du peuple. Pourquoi pensez vous que les problèmes que rencontrent le Gabon nécessite le départ de l’actuel président ? Est-a dire que tout le long de son mandat, il n’a fait aucun effort, aucune réalisation ? N’exagérons pas trop. il y a des personnes qui soutiennent l’opposition. il y a sans doute des personnes intelligentes dans l’opposition. Pourquoi ne pas changer de stratégie, être moins radical et aller au fond au cœur des problèmes des Gabonais et fonder une force de proposition plutôt qu’une force de contestation, qui met en danger la vie des uns et des autres. Par des propositions pertinentes le dialogue sera nécessairement ouvert…le consensus viendrait alors comme la capacité de chacun à prendre en compte les critiques lorsque celles ci porte sur l’action appropriée à mettre en œuvre pour le bien des Gabonais. A vrai dire, la querelle sur la nationalité n’apporte rien qui puisse apporter des solutions aux problèmes sociaux et économiques. A la limite c’est une perte de temps…

    • l'ombre qui marche dit :

      Monsieur MBA tous les peuples ont quelque chose de sacré sur lequel pn ne transige pas je me rends compte que pour certains gabonais n’importe qui même peut être président du gabon même acrombessi en bafouant en piétinant la constitution du gabon qui dans son article 10 est clair mais pour vous évidemment la constitution est un vulgaire chiffon justement les états-unis cités par mr ali ont dits que si on est pas américain au moins d’un parent on ne peut pas être président des usa le plus haut poste politique aux non américains est gouverneur mr MBA et quand ali prends pour exemple les usa alors comme barack obama qu’il prouve qu’il est gabonais d’origine je suis d’accord que l’on utilise la palabre africaine mais que tout le monde jure de respecter le consensus y émanant

  20. Iboundji dit :

    Enfin on pourra expliquer comment sur le/la meme terrain/table on peut en meme temps faire un match normal et jouer à qui perd gagne le tout en trouvant un gagnant.

Poster un commentaire