Ils sont trois, deux hommes et une femme, à agacer les acteurs du nouveau Front de l’opposition pour l’alternance qui les tiennent pour des antirépublicains.

Jacques Adiahénot lors de son sévère réquisitoire, le 19 juillet 2014 à Libreville. © facebook.com/djabioh
Jacques Adiahénot lors de son sévère réquisitoire, le 19 juillet 2014 à Libreville. © facebook.com/djabioh

 
Régulièrement accusé de «dilettantisme», d’«amateurisme» voire d’«incompétence», le pouvoir d’Ali Bongo ne semble toujours pas trouver grâce aux yeux de l’opposition. C’est, du moins ce qui se dégage du propos, aux allures de sévère réquisitoire, prononcé lors de la signature de l’acte constitutif du Front de l’opposition pour l’alternance par Jacques Adiahénot, porte-parole de circonstance. Au hit-parade des personnalités décriées par l’opposition figurent le couple présidentiel et le directeur de cabinet du président de la République.
En effet, considérées, à tort ou à raison, comme les gestionnaires attitrés des finances publiques, directement placées sous la coupe de la présidence de la République à travers le Conseil supérieur des finances publiques (CSFP), le président de la République et son directeur de cabinet sont accusés de se livrer à une campagne de «pillage des finances publiques» ayant débouché sur «d’énormes tensions de trésorerie». Tout ceci sous le regard impuissant du Parlement et du gouvernement. Pis, mettant en cause, la loyauté de Maixent Accrombessi vis-à-vis du Gabon, l’opposition considère qu’il s’agit, de la part d’Ali Bongo, d’un signe de «mépris pour le peuple gabonais». Visiblement le Front de l’opposition pour l’alternance a encore du mal à comprendre qu’un « individu (…) dont le seul lien avec le Gabon est une naturalisation acquise récemment, (soit) propulsé à des fonctions de directeur de cabinet, pour lesquelles il ne donne aucune garantie de compétence et de fidélité à la République gabonaise, et se répand ici et là pour affirmer son pouvoir et même sa prééminence sur le gouvernement !»
Ironisant sur les manquements des différents gouvernements qui se sont succédés depuis le début du mandat d’Ali Bongo Ondimba, Jacques Adiahénot a laissé entendre que, «le pouvoir au Gabon a une vision fictive de la réalité et fait preuve d’amateurisme, de mystification. Il souffre d’une incapacité à apprécier les réelles priorités de l’économie, et il a une approche des questions d’investissement qui tient plus de la parade que de l’efficacité. Il se livre, avec les fonds publics, à des dépenses de prestige et inutiles, évaluées à plusieurs centaines de milliards de francs CFA, pour satisfaire les caprices d’un homme et de son entourage immédiat (…). Autant d’éléments qui invitent aujourd’hui les investisseurs à la plus grande prudence».
Autre personne à susciter l’ire du Front de l’opposition pour l’alternance : Sylvia Bongo Ondimba. S’interrogeant sur le statut de première dame, le Front de l’opposition pour l’alternance l’accuse d’immixtion dans la vie publique. «Au nom de quoi, une dame qui ne bénéficie d’aucun mandat politique et qui n’a aucune existence institutionnelle, peut-elle, avec l’argent du contribuable, mener des actions inscrites dans les politiques publiques qui relèvent de la compétence du gouvernement» , a lancé Jacques Adiahénot, ajoutant : «La violation permanente des principes de la République et des règles de l’État de droit se manifeste, une fois de plus, aujourd’hui par l’irruption dans l’action publique, et avec les ressources de l’État, de Madame Sylvia Bongo Ondimba». «En tant que Gabonais, nous disons « non » à cet état de faits, à ces ignobles impostures ! Le Gabon est une République et doit le demeurer. Et nous invitons le peuple Gabonais à se mobiliser pour mettre un terme à ces situations inacceptables», a-t-il conclut.
 

 
GR
 

24 Commentaires

  1. la vision dit :

    C’est une grosse boulette notre  » pseudo » opposition.
    Normal, elle est constituée d’anciens BARONS de la république. Pourtant, de son vivant je n’ai jamais,je dis bien jamais lu quelque part qu’un quelconque ancien « héritier » d’OBO remettait en cause les actes posés par feu Edith Lucie Bongo soit disant qu’elle le faisait sous quel statut? ou même ceux menés par feu Président OBO, qui rappelons-le, n’étaient pas exempt de dépenses farfelues, surtout quant au finish nos désormais « ex Barons » pouvaient bénéficier des miettes et venir scander à l’approche de chaque élection de voter pour le « CANDIDAT NATUREL ». Non, messieurs, dites-vous bien ceci, si Notre Gabon est aujourd’hui ce qu’il est c’est en parti à cause de vous. Vous n’allez pas, comme MBA OBAME, venir nous dire qu’étant dans les Gouvernements sous l’ère OBO vous ne saviez pas que les gabonais souffraient pour attendre qu’on vous boute hors de course pour vous en rendre compte? Vous êtes tellement ridicules avec vos discours d’appel à la mobilisation générale et j’en passe…Alors dites-nous,qu’Est-ce que ça fait quand on est prit pour un moins que rien? ha ha ha ha j’en ri pcq hier encore, lorsque vous étiez en haut vous nous jetiez les morceaux d’os du haut de vos tables, les ventres suffisament ronds et bideux, pensant que vous serez éternellement « Barons »…aujourd’hui, non seulement nous vous accueillons parmis nous, mais par dessus tout nous vous souhaitons la  » Bienvenue au Gabon, le vrai Gabon! » Pour l’heure, je continu de rire de vos discours, un jour peut être, qui sait, vs allez revenir à la raison et on parlera enfin le même langage mais pour l’instant on dit « NEEEEEEEEEXT! » 😉

    • lestat dit :

      je suis en partis d’accord avec toi au sujet des attaques visant Sylvia Bongo, personne a l’époque n’avais crier au scandale quand feue Edith Bongo menait les mêmes actions! mais bon comme a l’époque ils étaient aux affaires , et bénéficiais des largesse du pouvoir ils ne pouvais pas parler. Comme on dis ,  » la bouche plaine ne parle pas »

    • tat'mboum dit :

      Monsieur la Vision, si l’idiotie était nègre, elle se rapporte à votre type de personne car vous lire serait un scandale sphycologique.C’est la preuve que vous devez de ceux dont le derrière est regulèrement sollicité au point que vous n’avez la raison qui nous différencie des animaux.Ce qui m’attriste, c’est que le Gabon a dépensé de l’argent pour former des mendiants intellectuels: Pauvre gabon, mais priez beaucoup DIEU afin que sa colère ne s’abbatte sur vous d’ici 2016 car si vous pensez que 2009 va se repéter, on verra surtout que vous ne saurez pas où cela viendra.A bon entendeur, salues!

    • Mwana mboka dit :

      Lestat, Lorsque Edith Lucie Bongo se déplaçais et posait des actes publics, c’était au nom de l’OPDAS et de la Fondation Horizon Nouveaux et non avec les fonds du Trésor public.

  2. Dr Jacques Janvier Rop's Okoué Edou dit :

    À un moment donné avec l’avènement d’une nouvelle république débarrassée de l’imposteur, inculte et voleur A. Bongo 9% en 2016 voire avant, il faudra faire voter une loi à l’Assemblée nationale qui retirera la citoyenneté à tout(e) gabonais(e) d’adoption se livrant à des actes criminels comme A. Bongo et M. Accrombessi. La même loi permettra aussi de les expulser manu militari du territoire national après avoir purgé une peine sévère d’emprisonnement et remboursé les deniers publics
    détournés. Par ailleurs, il faudra mettre en place une vraie politique d’immigration sélective permettant de séparer le bon grain de l’ivraie ce, sur tous les plans (judiciaire, professionnel, sanitaire, financier…).
    Dr Jacques Okoué

  3. maganga dit :

    bien parlé jacques nous sommes ensemble

  4. Nza Fe dit :

    La Vision, je fais comme vous le même constat déplorable. Sauf qu’il faut tempérer un tout petit peu s’agissant de la similitude des faits ayant été accomplis par Édith Lucie Bongo et par Sylvia Bongo. La première n’avait jamais présidée à une réunion à laquelle prenait part un bon nombre de ministres de la République. Elle n’avait non plus confondu les fonds provenant du trésor public à ceux de sa fondation, car la constitution gabonaise eu égard à son statut de première Dame, ne lui en conférait pas ce droit, pour ne pas dire cette déviance ou violation de l’esprit de la loi fondamentale. Or, si vous suivez bien l’actualité, Sylvia et son mari se prennent pour un couple monarchique où les pauvres Gabonais sont considérés comme leurs sujets et non comme des citoyens libres. Dans quelle vraie République avez vous vu que l’Etat distribuait encore des dons au nom de la première Dame? Quel est alors le rôle de l’État dans ce cas? Si c’est un acte de bienfaisance, pourquoi a-t-elle attendu qu’elle soit la première Dame pour le faire? Ces actes ponctuels à l’endroit des Gabonais économiquement faibles, ne constituent-t-ils pas une grossière insulte quand on sait que c’est avec l’argent du pays qu’elle fait ce cirque? Ne digressons pas et ne faisons pas dans la diversion inutile. Même si ces ex barrons ont basculé dans l’opposition pour des raisons diverses alors qu’ils font partis du malaise que subit notre pays, il faut tout de même reconnaître qu’à leur époque, on était encore dans un semblant de République. Aujourd’hui, qu’est-ce qui se passe? tous les leviers du pouvoir sont confisqués par Ali à tel point que les membres du gouvernement se contentent seulement de signer des documents ni plus ni moins. la Démocratie à connu un dangereux recul depuis 2009 où on a plus droit d’exercer nos prérogatives pourtant consignées dans la loi fondamentale. Les meurtres à caractère sorcellaire sont légion, voire devenus normaux, etc. Ce que nous tous nous désirons actuellement, c’est un pays doté d’institutions fortes au lieu des hommes forts. ça s’appelle proprement une République! On s’en fout de qui a d’abord appartenu à tel clique, pourquoi a-t-il retourné sa veste, tous ça nous mène à rien sauf, à patauger et à demeurer des éternels esclaves d’une bande. Et pour l’instant, de celle qui est maintenant aux affaires. Il est question de libérez notre pays par tous les moyens et pour proclamer en définitive que  »plus jamais ça ».

  5. Le premier de sa génération dit :

    Bien dit la VISION, je suis tout de meme ok avec toi. Ce que le pays connait aujourd’hui, est la resultante des actes de vole organisé depuis 42 ans. En ce temps Adiayinot était secretaire General du PDG, minister de l’habitat: il a construit combine de maisons pour les Gabonais? Myboto minister de TP et beau pere de O.B: Il a groudronné combine de route? Ping ministre des A.E et beau fils de O.B: Il a fait quoi pour les Gabonais? pour les autre vous meme vous en savez. Donc arretez de prendre le people Gabonais pour des idiots svp.Vous avez mis le pays à terre et aujourd’hui vous étes OPPOSANTS!!! Repentez vous, rendez l’argent des Gabonais que vous avez vole et produisez du fruit digne de repentance.

  6. Le Gabonais dit :

    Vous parlez de république débarrassée de corrupteur et d’imposteurs incultes? Jacques Adiahénot a quel diplôme?Il est l’un des incultes de cette république qu’il a ruinée. Essayez d’aller voir là où il habite. Avec quel moyens légaux a-t-il pu s’offrir une telle propriété en pleine ville? Et ses appartements en France, d’où lui sont venus les moyens pour se les offrir?
    Chers compatriotes, l’opposition gabonaise est constituée pour l’essentiel de vieillards qui ont ruiné ce pays. Ping est propriétaire d’appartements et d’hôtels particuliers dans le triangle d’or parisien dont l’un pas loin du Georges V. Tôt ou tard, ils vont rendre gorge. Qu’ils ne croient surtout pas qu’ils vont s’en sortir à bon compte lorsque les vrais patriotes de sang gabonais pur, sans aucun apport russe, chinois, camerounais, congolais… vont prendre les rênes de cette nation. Le blablabla de ces vieillards schizophrènes, et pour certains souffrant d’alzheimer, qui ont conduit ce pays à la ruine économique et financière, participé au tricotage de la Constitution de 1991 en compagnie d’Omar Bongo,dans le seul objectif de se perpétuer au pouvoir et de s’empiffrer de milliards de francs cfa ne sert à rien.
    Monsieur Ping a couru à Chambrier lorsque le professeur Ondo Ossa a été attaqué. Mais où était-il lorsque son frère avait été tué en 1990? Adiahénot devrait aussi répondre à cette question. La blague selon laquelle le Gabon était un paradis lorsqu’ils étaient aux affaires est de très mauvais goût. Avec plus de 20 milliards annuels de budget pendant de longues années au titre de l’habitat social, Adiahénot nous dira où est passé toute cette manne. Cette opposition nous dira aussi à quels postes étaient Oye Mba et Paulette Missambo lorsque Martine Oulabou avait été abattue. Lorsque je regarde la photo du 19 juillet représentant les leader de la fameuse opposition gabonaise, on croit être à la Place Rouge durant le défilé du 1er mai, avec à la tribune les membres du Parti Communiste d’Union Soviétique, où le plus jeune avait 57 ans. Ils ne perdent rien à attendre 2016, pour ceux d’entre eux qui y arriveraient. Ils comprendront que la jeunesse gabonaise ne peut suivre de vieux croulants intellectuellement « ménopausées », physiquement inaptes et moralement pourris.

    • Mwana mboka dit :

      En te focalisant sur les ex barons, tu restes borné sur le passé. Nous sommes au présent et il faut maintenant préparer l’avenir en évitant les erreurs du passé. Pour toi l’avenir du Gabon, c’est qu’Ali et Accrombessi continuent l’hémorragie de nos finances publiques comme ils le font actuellement, n’est-ce pas ?

  7. Boussamba Ismael dit :

    Amateurisme c’est un joli mot qui perd de sa saveur dans la bouche de Jacques l’un des disciples du tout nouveau messie.
    Ainsi apres avoir ete ejecte de la table, les anciens gloutons se rendent compte des tares de l’elite gabonaise?
    En fait, l’amateurisme est un mal generalise de la population gabonaise car ces bouffons qui denoncent leurs actes d’hier (commis par les vampires actuels) ne feront surement pas mieux demain.

  8. sm dit :

    Ah bon? je me mobiliserais (enfin, peut être) quand tes enfants seront au front!
    Sinon passe ton chemin.

  9. sm dit :

    Ca me fatigue toutes ces conneries politiciennes! Chers frères gabonais, laissons ces cons se battre entre eux, mettons nous au travail, allons y faire la chasse et la pèche dans le noir, du commerce dans le noir, on paie aucun impot, etc…
    Quittons les entreprises pour nous mettre a nos propres comptes, trop c’est trop.

  10. petitpap dit :

    finalement que voulez vous? garder ABO et son type là?
    mes ami(es) ne vous laissez pas distraire par certaines personnes. Le FRONT est né, ok 90% reviennent du PDG et alors ?
    Nous perdons trop notre temps à nous disputé ou pire…,
    il est temps d’agir, aidons le front. cherchons des idées pour lancer notre coalition notre machine de guerre !. Pour une fois, on vous demande de proposer des idées, au lieu de critiquer !

  11. Le vrai Gabonais et non le faux dit :

    J’ai juste des simple questions à vous poser, vous Gabonais. Que vous soyez de la majorité ou de l’opposition. Pourquoi c’est uniquement les BONGO qui doivent présider les destinées de notre pays à tous. Pourquoi eux seulement et non d’autres? Cela revient à dire que si un jourle malheur s’abat sur toute cette famille, le Gabon aussi va disparaitre, n’est ce pas?
    Vous P.D.Giste, vous qui avez les doctorats en ceci ou en cela, n’aviez vous pas le profil requit pour occuper le poste de directeur de cabinet à la présidence de la république? N’y a t-il pas les vrai gabonais au sein du P.D.G qui peuvent occuper les postes qui sont aujourd’hui au main des étrangers? Chers P.D.Gistes ne me dites pas que vous n’êtes pas capable.
    Chers Gabonais, un Bongo ne sera plus au pouvoir le 01/01/2017. Car en 2017, ils auront 50 ans de règne. ils perdront le pouvoir par tous les moyens.

  12. Nza Fe dit :

    @Maboule-stop, malheureusement tous les Gabonais ne peuvent penser comme vous.On n’appelle ça la démocratie qui consacre notamment la libre opinion, expression et option. Je crois que certains de nos compatriotes victimes de tant d’abus occasionnés par les ex-pédégistes, reconvertis aujourd’hui à l’opposition, sont en droit soit de leur pardonner, soit de ne pas le faire car le mal enduré n’a pas, on peut l’imaginer, été senti de la même manière. AMO, lors de la campagne présidentielle de 2009, s’était incliné en demandant pardon au peuple pour tout le mal qu’il avait contribué à lui infliger. Certains l’avaient alors pardonné et d’autres ne l’ont pas fait, c’est ça la vie. Je pense que c’est la même démarche que devraient entreprendre ces ex barrons du PDG car tous sont redevables à la nation Gabonaise pour leur gestion du passé. Toutefois, il faut savoir aussi avoir de la hauteur, pour comprendre que conformément au fonctionnement du Monde, tout est en mouvement et ne reste jamais statique. Il faut bien qu’on avance un jour et qu’on enterre cette triste épisode du Gabon, du moins pardonner mais pas oublier d’autant que l’histoire le leur rappellera même à leur progéniture. Ce qui importe plus aujourd’hui de mon point de vue, c’est de parvenir à réparer cet accident de l’histoire politique de notre pays. Le Gabon a et aura toujours besoin de tous ses fils pour la construction d’un pays où tout le monde trouvera son compte. Nous ne sommes pas des ennemis, mais des adversaires en idées. Même ceux qui sont actuellement au PDG sont des Gabonais. On peut aisément imaginer pourquoi ils y sont toujours: assurément pour des privilèges. C’est à nous de leur faire comprendre désormais que ces privilèges sont à la fois distributifs et méritocratiques au nom de la République Gabonaise… l’intérêt général au lieu de l’intérêt particulier.

  13. wa makebe dit :

    êtes vs sur que Mrs adiahénot et ping sont connus dans le Gabon ?
    qu ils rendent de l argent qu’ils ont volé pendant qu’ils étaient ministre ,super ministre,sont des gros menteurs ,ils n’ont plus de places.merci.

  14. Donguila dit :

    @wa makebe
    Ping a rendu des services à son pays à l’ONU, à l’OPEP, à la Commision de l’UA. Il est à la fois connu au Gabon et à travers le monde. Ali Bongo en arrivant au pouvoir a fait dans les règlements de compte en virant des centaines de gabonais qui travaillaient au ministère de l’habitat au motif qu’ils étaient trop proche d’Adiahénot qui avait été le 1er a crier au scandale lors du passage en force d’Ali en 2009 en complicité avec la carpe de Lambaréné, Rogombé. Il n’a que le retour du bâton, et laissez-moi vous dire que ces 2 là ont une capacité de nuisance et de frappe immenses! Adia est très proche de Sassou du Congo, donc si c’est affaire armes, on verra en cas de triche.Je ne souhaite pas le chaos pour le Gabon mais je crains qu’Ali et sa clique sous-estiment la capacité de frappe de l’opposition qui se met en place. Nous on a besoin de gens comme Amo, Jabo, Jen, Adia, Ping etc, non pas spécialement pour devenir président mais surtout pour nous aider à donner un gros coup de pied dans le derrière de monsieur j’ai décidé que.La suite, on verra.

  15. Mwana mboka dit :

    Adiahénot et sa clique du Front de l’Opposition nous fatiguent avec leurs dénonciations. Ce n’est pas les moyens ou la capacité qui leur manque pour chasser Accrombessi de la Présidence et hors du Gabon. S’il jusque là ils ne l’ont pas fait c’est parce qu’ils ne sont pas  »Garçons ». Ils ont peur d’Accrombessi qui les a embouteillés dans son vaudou, ils ne leur reste que la grande gueule pour crier au voleur sur place au lieu de se saisir du voleur avant qu’il ne s’enfuit avec le butin amassé au Gabon.
    Messieurs les hiérarques du PDG et ceux de l’opposition, Vénérables et Honorables parlementaires, comment pouvez vous laisser les petits Ali et Accrombessi vous niquer à ce point ?

  16. Le vrai Gabonais et non le faux dit :

    MWANA MBOKA toi tu n’as encore rien compris. Il me semble que tu es encore en 1960. Pitié de toi

  17. migo dit :

    frère mwana mboka soyons sérieux la situation est grave ne viens pas blaguer de la souffrance des gabonais

    • MWANA Y TCHE dit :

      mes chers migo et le vrai Gabonais, vous n’avez donc pas compris le fond de ma pensée. C’est justement parce je réalise que la situation est grave dans le pays que j’interpelle toutes ces personnalités à mettre fin dès maintenant à l’hégémonie que Ali et son Accrombessi ont installée au Gabon. Nous savons maintenant tous (grâce au documentaire de France2) que Mba Obame a remporté la présidentielle de 2009. Mais, est-ce que le PDG a reconnu cette victoire ? Jacques Chirac l’avait si bien dit : « la démocratie est un luxe pour l’Afrique ». Croyez vous vraiment qu’en 2016, le candidat de l’opposition qui remportera la victoire par les urnes sera reconnu comme tel par cette même Cour Constitutionnelle ? Si moi je ne suis pas sérieux, vous, soyez réalistes !
      Moi je m’inquiète surtout du pillage de nos finances publiques qui se fait depuis qu’Ali est au pouvoir. Avant d’arriver à la présidentielle de 2016, la Gabon sera comme la Grèce : la banqueroute. Ali Baba et les 40 voleurs auront quitté le pays et nous seront là à pleurer le mains sur la tête. C’est pourquoi je demande à ces personnalités d’agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard. Habib Bourguiba a été écarté du pouvoir sans effusion de sang. ça peut très bien se passer au Gabon s’il n’y avait pas les liens Maçonniques qui les réunit la nuit (le PDG et l’Opposition).

  18. wine ayane dit :

    Ok, la constitution Gabonaise est bien definis, elle est la loi fondamentale d’un pays

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