Destinée à cultiver et renforcer l’esprit patriotique des populations gabonaises, la journée nationale du drapeau a été célébrée, le 9 août dernier à Libreville, en présence du chef de l’Etat.

Le président de la République, lors de la journée du drapeau, le 9 août 2015 à Libreville. © facebook.com/alibongoondimba

Le président de la République, lors de la journée du drapeau, le 9 août 2015 à Libreville. © facebook.com/alibongoondimba


 
Comme à l’accoutumée depuis cinq ans maintenant, la journée nationale du drapeau a été célébrée le 9 août dernier à Libreville sous le thème «Unité nationale et symboles de la République».
Quelques moments de la cérémonie, le 9 août à Libreville. © Gabonreview et facebook/alibongoondimba

Quelques moments de la cérémonie, le 9 août à Libreville. © Gabonreview et facebook/alibongoondimba


Quatre temps forts ont marqué la célébration de cette sixième édition qui s’est déroulée en présence du chef de l’Etat : l’accueil du président de la République par le gouverneur militaire de la place de Libreville, l’allégeance au drapeau de certains hauts responsables de l’administration gabonaise, l’allocution du ministre de la Culture et une parade des éléments du Prytanée militaire.
Le ministre de la Culture a notamment rappelé le rôle crucial du département en charge de l’Education civique : renforcer l’appropriation des citoyens des symboles de la République, en vue de renforcer l’impact de l’unité nationale ; rappeler que les six symboles de la République que sont l’hymne nationale, la devise, le sceau de la République, les trois pouvoirs républicains, les armoiries présidentielles et le drapeau.
Car, a souligné Rufin Moussavou, «les Etats modernes, dès leur création, ont tous recouru aux mythes et aux symboles pour se donner une légitimité», avant de dégager les valeurs dont chacun de ces symboles est porteur. Aussi le ministre de la Culture a-t-il rappelé que son département ministériel, sous les hautes instructions du chef de l’Etat, s’est engagé dans un vaste chantier consistant à amener les populations à se réapproprier les fondements d’une Nation unie et prospère. «En effet, face à la crise des valeurs citoyennes et des comportements inciviques qui en découlent, il nous revient de promouvoir une citoyenneté, véritable rampe de lancement pour la construction d’une Nation forte», a décliné, remerciant les plus hautes autorités du pays d’avoir eu cette «lumineuse vision d’instruire le gouvernement, de la nécessité de consacrer à notre emblème national, une journée de célébration officielle d’allégeance solennelle».
Ce discours a ainsi laissé place à l’allégeance au drapeau, rituel auquel se sont prêtés une dizaine de hauts cadres de l’administration. En tête desquels les secrétaires généraux adjoints 1 et 2 de présidence, les ministres de la Culture et de la Fonction publique, les ministres délégués à l’Intérieur, à l’Economie et à la Santé. La cérémonie a été quelque peu enjolivée par la parade du Prytanée militaire autour des figures de l’étoile, symbolisant le rayonnement national du Gabon ; le lotus bourgeonnant, qui renvoie à la jeunesse sacrée symbolisée, entre autres, par le Prytanée militaire ; le JND6, pour journée national du drapeau sixième édition. Par ailleurs, en matinée, les manifestations ont démarré par un défilé civil sur le boulevard Omar Bongo, rythmé par la fanfare du Prytanée militaire. L’on a également relevé une communication en rapport avec le thème de l’édition, une visite de stands d’objets d’art et de produits agricoles sur l’esplanade de l’Assemblée nationale. Mais aussi des manifestations culturelles assurées par des groupes folkloriques et des artistes gabonais.
Pour rappel, cette journée a été instituée le 2 décembre 2009 par le chef de l’Etat, dans le but de cultiver et renforcer l’esprit patriotique des populations gabonaises, ancrer en elles la culture citoyenne, le sentiment d’appartenance à une communauté de destin et pour les amener à respecter les symboles et valeurs de la République. Depuis 2010, l’évènement est célébré chaque 9 août sur un thème en rapport avec les objectifs poursuivis.
 

 
GR
 

11 Commentaires

  1. koumangoye dit :

    Ou est l’autre a panthère Pascaline, symbole vivant avec Ali des armoiries de ce pays ? Au moins on peut admirer les beaux uniformes militaires dont la commande causa a l’autre symbole de citoyenneté des sueurs froides.. Vive la bamboula !

  2. MINKO dit :

    Ah ! « IL » est de passage à Libreville?
    Moi Président, j’irai inaugurer des ouvrages que je ne pourrai réaliser,
    Moi Président , je serai également entrepreneur,
    Moi Président , j’engagerai une légion étrangère pour piller le Gabon,
    Moi Président , je conduirai des vedettes de Foot ,
    Moi Président , je ne paierai jamais mes dettes
    Moi Président ,je casserai vos habitations ,
    Moi Président , je me « sappe  » mauvais pour épater les diplomates ,
    Moi Président …….
    Moi Président ……..

  3. Agnour'nguila dit :

    Les populations gabonaises ne peuvent pas cultiver l’esprit patriotique quand les symboles de la République sont traînés dans la boue par Pascaline Mferri Bongo et le couple présidentiel Ali Bongo-Accrombessi ; et que les présidents des Institutions du pays restent indifférents face à tous ces scandales qui déshonorent le drapeau.
    Accrombessi vole l’argent du Gabon. Quand la justice française l’interpelle, le Gouvernement gabonais s’indigne.
    La fibre patriotique des Gabonais pour le drapeau se réveille seulement quand il y a match des Panthères.

  4. Sandrie. dit :

    Ensembles pour un meilleur patriotisme.

  5. AZOTH dit :

    https://youtu.be/SVQzXB4v2f8?t=112
    regadez cette video de la rtpdg a partir de la sequence , ensuite faire le ralenti a partir de 1:53 mn
    observez bien la prise de vue qui n’est pas anodine ; les mains du militaire , a quel endroit il va prendre le drapeau , ou sont les mains de la personne debout juste a coté .
    Quand l’arabie saoudite interdit le baisemain, au gabon, on tente de l’instituer tout doucement.
    « Baiser les mains est une chose étrangère à nos valeurs et à notre morale. C’est un acte que toute âme libre refuse. Je déclare mon refus catégorique de cette habitude et je vous appelle à n’embrasser que les mains des parents, pour marquer votre respect à leur égard”
    le roi Abdallah Ibn Abdelaziz…
    De quel drapeau on parle ici ?

  6. imagine56 dit :

    lepositif a raison, je ne supporte pas de voir Ali, même pas en peinture
    vraiment je ne le supporte pas, lui et ses élucubrations concernant le drapeau…Non Ali se prend vraiment pour un dieu vous ne trouvez pas?

  7. Blaise nicolas dit :

    Vive le vert -jaune -bleu

  8. TCHIBOUELE dit :

    @gabonreviews
    ou est mon commentaires?

  9. Mpeighè l'oiseau dit :

    Pour que cesse la destruction du Gabon, mon cher et unique pays!
    Ceci est un appel à sauver ce qui peut encore l’être dans notre Gabon, un appel à l’arrêt immédiat de l’hémorragie.
    Pour quiconque aime son pays,pour quiconque a le souci des générations futures ou simplement le souci du devenir de son pays, l’état du Gabon est plus que préoccupant. Quelle image notre pays dégage vis-à-vis du reste de la communauté internationale après tant de scandales? La question suivante, commence déjà à être posée avec insistance et ironie à tout Gabonais qui se déplace hors du pays: » Mais qu’aviez-vous fait avec l’argent de votre pétrole? ». Tous ceux qui découvrent le Gabon pour la première fois se disent qu’il n’est pas possible que ce Gabon-là ressemble à cette énorme décharge publique, bref à ce campement, tant les énormes revenus issus de notre sol, notre sous-sol laissent rêveurs les bâtisseurs et visionnaires du monde entier. Un tour de Libreville suffit à vous décourager et à vous faire pleurer tant la misère est visible à chaque coin de la rue, l’état largement dégradé lorsqu’elles existent des pistes qui servent de routes n’arrange rien à cette ambiance morose. Bref, le désespoir se lit chez une grande majorité des Gabonais, devenus au fil des années la risée d’une partie de l’Afrique et du reste du monde. Le sentiment de mépris à l’endroit de notre pays et de son Peuple n’est qu’à son début. L’avenir, peut-être pas pour nous, mais nos enfants s’annonce dur. Que s’est-il passé pour qu’on en arrive là? Comment avec autant de richesses et un nombre largement faible d’habitants le Gabon n’a pu se construire des infrastructures nécessaires pour envisager sereinement son avenir? Avec presque soixante ans d’exploitation pétrolière, et plus pour la forêt et les autres richesses, le Gabon est à l’image d’un pays lambda, sans envergure, englué dans une nuit et une torpeur sans fin. Où est alors parti l’argent? Qui sont les responsables d’une telle descente aux enfers de tout un peuple? Sommes-nous maudits? Faisons attention, ressaisissons-nous! Le risque est grand et plus que jamais probable qu’on se déchire entre nous. Trop de frustrations pour une grande majorité, trop de gâchis de nos ressources par un clan clairement identifié: le système Bongo-pdg avec tout ce qu’il comporte comme courtisans depuis un demi-siècle.
    Pour ceux qui aiment la facilité et la confusion, l’auteur de nos malheurs est directement l’ancienne puissance coloniale, la France pour ne pas la nommer. A travers les réseaux france-africains de Jacques Foccart, le pêché originel a été celui du choix de nos dirigeants post indépendance; notamment celui d’Albert Bernard Bongo comme successeur de Feu Léon M’ba, lui-même choisi pour sa malléabilité et sa docilité comme premier Président du Gabon indépendant. Je rappelle au passage que le choix d’Albert Bernard Bongo comme vice-président de Léon M’ba s’est fait sans l’enthousiasme et l’assentiment de ce dernier comme on tente de nous le vendre et faire croire depuis des années. C’est une hérésie intellectuelle. Léon M’ba était un homme jaloux de son pouvoir et n’entendait nullement le partager, de surcroît avec un ancien espion français. Mais affaibli par la maladie et la tentative de coup d’état de février 1964 qui l’éloigna brièvement du pouvoir, il a été forcé par Foccart d’accepter la forfaiture. La preuve, c’est à Paris qu’Albert Bernard Bongo a prêté serment, une première mondiale dans l’histoire d’un pays.
    Si la France porte sa part de responsabilité dans la misère que subit notre Peuple, qu’en est-il des élites gabonaises qui ont géré notre pays, d’abord au côté de Bongo-père, puis aujourd’hui au côté de son héritier, chauffeur du footballeur argentin Lionel Messi et ami du star système, Ali Bongo Ondimba? De toute part,où qu’ils se trouvent, qu’ils aient servi Bongo-père ou qu’ils servent actuellement Bongo-fils, un seul mot convient à les qualifier: « Opportunistes ». Ces gens, n’ont jamais eu pour souci de servir le Gabon, mais de se servir. Cet opportunisme est visible dans l’immense fortune qu’ils ont accumulée au détriment du Gabon. Ce sont des voleurs tout comme les maîtres qu’ils servent depuis.Ils sont dans l’Opposition pour ceux qui ont servi le Père et dans la majorité actuelle pour les serviteurs du fils. Aussi loin que l’on puisse remonter dans la mémoire du Gabon, nul ne peut se prévaloir d’un passé d’industriel de ses parents, et donc d’héritier comme on peut le voir ailleurs à travers le monde. Pour se servir avec les Bongo sur les richesses du Gabon, ils ont accepté de baisser la culotte, fermer les yeux sur tout ce qui desservait ou dessert les intérêts du Gabon pour devenir les thuriféraires du régime mafieux qui dirige notre pays depuis un demi siècle. Ils ont corrompu le système judiciaire qui n’existe que de nom, en plaçant les leurs à travers des pseudo concours publics d’entrée à l’école de la magistrature. La corruption atteint des sommets dans tous les secteurs, même ceux essentiels comme l’éducation et la santé. Leur point commun c’est l’adhésion à des pratiques occultes à travers la Grande loge du Gabon, Le Grand rite traditionnel du Gabon et bien d’autres funestes sectes où ils se retrouvent et s’enculent pour se soulager du mal fait au Gabon et à son vrai Peuple. Le mal fait au Gabon est immense comme vient de l’illustrer la récente et rocambolesque interpellation à Paris de monsieur Maixent Accrombessi N’kani, directeur de cabinet du Président de la République pour corruption d’agents publics étrangers, blanchiment des capitaux en bande organisée, faux et usage de faux sur un contrat signé entre l’état gabonais et la société française Marck pour la livraison d’uniformes militaires. Que les avocats du régime disent tout ce qu’ils veulent, mais ne prenez pas les Gabonais pour des cons.Quelle explication donnée aux virements d’une somme de 300 mille euros versée à une entreprise gérée par un proche de Maixent Accrombessi au Gabon et une autre d’environ 2 millions d’euros versée à une entreprise béninoise AIMK gérée directement par Accrombessi lui-même? Et toutes ces transactions sont effectuées par la société Marck depuis une banque de Monaco. Dieu seul sait ce que représente Monaco, un paradis fiscal. A l’époque où ces transactions ont eu lieu, Monsieur Accrombessi était un simple conseiller du Ministre de la défense du Gabon. Peut-il avoir agi ainsi sans que son chef ne soit au courant? La somme de 300 mille euros est versées selon Rfi et le journal le Monde à la société CITP Gabon gérée par Seydou Kane, citoyen sénégalais, lui-meme présenté à Ali Bongo par Maixent Accrombessi. On comprend mieux pourquoi CITP Gabon se présente aujourd’hui sur son site internet comme géant du BTP au Gabon. Qui connaissait CITP avant 2009 au Gabon? Il rafle tous les marchés du BTP au Gabon aujourd’hui, pour on ne sait quel résultat sur le terrain.Ce qui ne peut se faire au Sénégal et au Bénin, ils viennent le faire chez nous, ils s’enrichissent et font souffrir les Gabonais avec la complicité des soi-disant enfants du Gabon. Voilà une idée de ce qui se passe sur les richesses du Gabon, bref une ceratine idée du Gabon. Pendant ce temps, tout est paralysé dans le pays. Les nombreuses agences créées et gérées directement à la Présidence de la République depuis 2009 justifient bien leur rôle: le pillage de l’argent des Gabonais et le gâchis généralisé comme on peut l’observer à travers les dunes de sable qui ornent désormais le bord de mer pour l’érection d’une prétendue marina et un centre d’affaires. Des milliards jetés par la fenêtre. Bien d’autres scandales éclateront sous peu, je vous assure. Voici les agissements des patriotes pour un pays qui vous a tout donné. Bande d’ingrats. Et quand j’entends des prétendus universitaires gabonais au service d’un système démoniaque et dont le seul mérite est leur anonymat et leur médiocrité à l’international défendre un tel carnage par des papiers et des tribunes dont ils sont les seuls lecteurs, cela me donne de la nausée. Pauvres cons et imbéciles, taisez-vous! Comme on peut bien le voir, le mal du Gabon est dans certains de ses enfants clairement identifiés qui ont donné leur âme au diable pour peu, dénués de patriotisme et qui acceptent de baiser la main d’Ali Bongo lors d’une fumeuse journée nationale du drapeau.
    Le Gabon, dans toutes ses caractéristiques n’avait pas d’équivalent en Afrique avant l’avènement de la Guinée équatoriale dans le cercle des pays producteurs de pétrole. Pays riche, faible population. Donc toutes les conditions pour se lancer dans un développement tout azimut afin de s’assurer des lendemains calmes. Dans les années soixante, nous étions quasiment au même niveau que la Corée du sud, Dubaï, le Qatar… en matière de développement. Les autres se sont développés, le Gabon est entrain de se détruire du fait de la cupidité sans égal du système Bongo-pdg et ses courtisans qui se servent des étrangers pour étrangler leur population et s’enrichir sur l’extrême misère de tout un peuple sans avenir. La seule richesse du Gabon aujourd’hui c’est sa dette qui ne cesse de s’alourdir pour financer les dépenses de fonctionnement. Un comble!
    Monsieur Ali Bongo, n’est pas là pour développer notre pays, ni l’amener vers je ne sais quelle émergence. Il est arrivé par coup d’état électoral, il n’a jamais gagné une élection. En 2009, c’est Feu Pierre Mamboundou qui avait été élu. Au lendemain de son vol électoral, il s’est taillé la Constitution pour assurer la pérennité au pouvoir de son clan et de sa légion étrangère. Il a vérouillé toutes les institutions pour commettre les mêmes fraudes. Je ne parle même pas de son dossier de candidature qui présentait un faux acte de naissance. Je ne crois donc pas aux futures élections. De plus, la biométrie n’est toujours pas au rendez-vous, des élections à deux tours, il ne veut en entendre parler. Imaginons des milliards qui vont être jetés par la fenêtre pour organiser un simulacre d’élection. Je ne suis pas pour cet amusement. Je conclus ce qui suit et j’en assume toutes les conséquences:
    Considérant que le pouvoir d’état ne saurait être la propriété d’un clan mafieux. Considérant le manque de sincérité de la nouvelle Opposition, constituée globalement de l’ancienne baronnie qui a contribué au déshonneur du Gabon. Considérant que les deux camps continuent de se fréquenter dans leurs cercles d’enculés évoqués plus haut. Considérant enfin que la seule issue du Gabon est dans le renouvellement complet de cette classe politique corrompue et soumise au diable, je préconise un soulèvement populaire mené par des sans voix, des sans grades et des sans dents avant le simulacre d’élection de 2016. L’insurrection populaire aura pour but:
    1-Restaurer l’esprit gabonais et ses valeurs;
    2-Réecrire notre pacte républicain au moyen d’une nouvelle Constitution inviolable et qui garantit la réalité des chance;
    3-Saisir à travers le monde tout l’argent volé au Peuple gabonais;
    4-Chatier tous ceux et toutes celles qui se seraient rendus coupables de crimes économique,financier et rituel par prélèvement d’organes.
    Une transition de deux ans sera nécessaire pour tout mettre à plat et organiser des vraies élections dignes d’une démocratie aux normes internationales. La transition sera organisée ainsi qu’il suit:
    1- Un parlement de transition qui sera composé des représentants de la société civile réelle;des syndicats, des organisations estudiantines et scolaires…;
    2- Un gouvernement de transition composés des Gabonais réputés pour leurs états de services et leur probité morale;
    3- Un Président issu du choix du parlement de transition, choisi pour sa probité morale et son expérience dans la conduite de la chose publique. Il incarnera les organes de la transition et représentera le pays où besoin sera. Il nommera le Chef de son gouvernement qui devra être approuvé par le Parlement par un vote après débat.
    Le Président de la République et le gouvernement de transition ont pour mission l’application complète des objectifs de la transition voulue par le Révolution. Ils sont chargés d’organiser les élections historiques tant attendues par le Peuple. Historiques par leur transparence et leur caractère populaire démocratique.
    4- Sera construit et institué un agora où le Peuple souverain viendra débattre à bâton rompu sur les sujets de la cité une fois par mois. Les avis seront transmis au Parlement de transition pour la bonne marche de la transition.
    Mes chers compatriotes, quoi qu’il m’en coûte, j’ai la conviction que le salut du Gabon et de son Peuple est là. Il n’est pas dans une fausse élection qui verra le non respect de la voix du Peuple. Le Gabon doit être renouvelé sur tous les plans. Les solutions sparadraps, le saupoudrage et le mensonge ne fera que prolonger l’agonie de notre Peuple. Un dépassement, une catharsis s’impose! Peuple gabonais garde espoir, rien n’est éternel, bientôt la restauration de ta dignité et la fin de ta souffrance!
    Dieu bénisse le Gabon, ma patrie!

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