Repositionné à contre cœur dans le couloir droit de défense girondine, le milieu de terrain a réitéré sa préférence pour son poste de prédilection.

© i.vimeocdn.com

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Face au nombre de blessés dans son effectif, notamment en défense, les Girondins de Bordeaux (D1 française) ont parfois dû bricoler. Milieu de terrain de formation, André Biyogo-Poko a été poussé sur le couloir droit de la défense girondine, où il évolue la majeure partie du temps. Un poste qu’il n’aime pas trop. «Je suis fier de ma saison. J’ai évolué le plus souvent à un poste qui n’est pas le mien. J’ai été bon, pas bon certaines fois, mais je ne me jette pas la pierre. Ce n’est pas mon poste de prédilection, j’essaye de dépanner et d’aider le club du mieux que je peux», a-t-il confié à girondins4ever.com. «Personnellement, c’est un poste que je n’aime pas trop, mais le club a besoin de tout le monde et si j’arrive à faire ce sacrifice, d’autres joueurs le feront (…) Ça n’a pas été facile de jouer arrière droit. Au départ c’était pour dépanner et aujourd’hui on dirait que c’est mon nouveau poste (rires). Mais peu importe le poste où je joue, pour moi l’important est d’avoir du temps de jeu», a-t-il nuancé.

André Biyogo-Poko croit en une meilleure saison à titre personnel. «J’ai encore des choses à apprendre et j’en ai apprises beaucoup depuis que je suis ici. J’ai passé de bons moments et de mauvais. Cela fait partie de la vie. Je suis encore sous contrat. Peut-être que l’année prochaine sera encore meilleure. J’espère que l’avenir me réserve encore beaucoup de bonnes choses», a-t-il déclaré. En attendant, il souhaite une fin de saison tout aussi meilleure. «On vise les 18 points restants. C’est vrai que c’est un petit peu prétentieux mais il faut se fixer des objectifs. Après on peut ne pas tous les atteindre. Si on veut aller plus haut et avoir plus d’ambitions, on est un groupe aujourd’hui et pour gagner il faut être solidaires les uns, les autres. On en a pris conscience, on en parle tous les jours, on se voit même en dehors du centre, on essaye de passer du temps ensemble pour qu’on essaie d’avoir plus de cohésion sur le terrain», a-t-il conclu.

 

 
GR
 

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