A quelques semaines de la célébration de la fête des cultures à Libreville, le ministre de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze a décliné le 2 mai le programme et les différentes activités de l’évènement.

Les ministres de la Communication, Alain Claude Bilié-By-Nze et Noel Mboumba entourés de Vincenzo Fazzino, Antoine Manda Tchebwa et Marie-Evelyne Petrus-Barry Libreville le 2 mai 2017 © Gabonreview

 

Du 30 juin au 2 juillet aura lieu à Libreville, la fête des cultures sous le thème «la diversité culturelle et la cohésion nationale». Cet évènement sera précédé du 17 au 19 mai, de la semaine internationale des afrodescedants et de la journée des Nations unies de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement, le 21 mai.

 A l’occasion de ces manifestations, le ministre de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze, le représentant résident du Programme des Nations unies  pour le développement (Pnud), Marie-Evelyne Petrus-Barry et le représentant résident de l’Unesco, Vincenzo Fazzino et le directeur général du Centre de civilisations bantu, Antoine Manda Tchebwa, ont dévoilé  les axes majeurs des différentes activités de ces manifestations.

 En ce qui concerne la fête de la culture, elle  sera marquée, selon le ministre de la Communication, par un carnaval de la ville de Libreville en ouverture et l’implantation d’un village de la fête de la culture sur le boulevard Jean Paul II.

 Les préinscriptions se feront tout au long du mois de mai et la présélection interviendra le 1er juin. Les danses traditionnelles, tradi-modernes, modernes et des arts plastiques y sont prévus.

La semaine internationale d’afrodescedants quant à elle aura lieu à Libreville du 17 au 19 mai. Organisée sous le thème «Afrique ma terre première», elle regroupera selon le directeur général du Centre internationale des civilisations Bantu (Ciciba) près de 52 chercheurs de haut vol. « Cette occasion permettra au Ciciba et au Gabon d’affirmer leur engagement de fraternité », a déclaré Antoine Manda Tchebwa.

Pour sa part la journée des Nations unies de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement sera célébrée le 21 mai. Elle constituera selon le représentant de l’Organisation des nations unies pour l’éducation la science et la culture, «une occasion de mettre en valeur le rôle de la diversité culturelle pour renforcer la cohésion sociale», a expliqué Vincenzo  Fazzino.

Auteur : Jean-Thimothé Kanganga

 
GR
 

5 Commentaires

  1. Révérend pasteur Israël Nahum dit :

    Les bonnes intentions, les bonnes stratégies soient elles… Et tous les bons coups politiques n’enlèveront pas l’épée Damoclès sur ce gouvernement voyou d’émergence d’Ali Bongo. On peu donné de l’argent comme le font les pedegistes ; la colère des gabonaises et gabonais envers ce gouvernement criminel qui tue les gabonais, qui musèles les gabonais et les met en prison, alors que les vrais voleurs courent toujours restera la même. Quand quelqu’un est endeuillé, quand quelqu’un a faim, quand quelqu’un ne peut aller à l’école, quand quelqu’un n’a qu’un seul repas par jour, quand quelqu’un doit mourir du fait qu’il n’y a pas des hôpitaux publics, quand les syndicats sont muselés, les enfants sont pris en chasse par la police du fait qu’ils grèvent pour leurs conditions scolaires… Dites-moi l’intérêt de danser ?
    Révérend pasteur Israël Nahum

  2. MEYE dit :

    Pasteur, aucun intérêt à danser. Pourquoi aller danser alors que nous pleurons nos soeurs et frères tués le 31 août 2016. Nous ne voulons pas de la fête des cultures pour le moment. Nos espoirs sont fondés sur le départ d’ali bongo et son groupe de machiavèliques du pouvoir.

  3. AGORA dit :

    Bien parlez messieurs! Rien à rajouter!

  4. yann dit :

    Savez vous que le divertissement est une stratégie utilisé par les gouvernements mondiaux pour fair oublier a la population leur problèmes ? Malheureusement les gabonais sont devenus mature.

  5. yann dit :

    Comment avec une population d’a peine 1million d’habitant, les gabonais vivent mal ? Le Gabon est sous la malédiction que seul Jésus christ peut ôté. Il l’a déjà fait sur la croix en mourrant, alors les gabonais n’ont qu’a se tourner vers lui afin qu’il puisse nettoyer ce pays.

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