Au regard d’un bilan pas toujours à la hauteur des espoirs des uns et des autres, le président de la République est confronté à la sourde réprobation des forces avec lesquelles il a pris le pouvoir.

Marche de Franceville : débauche de moyens… sans Lemboumba, Sandoungout, Ngari, Pascaline Bongo ou Paul Toungui. © Gabonreview
Marche de Franceville : débauche de moyens… sans Lemboumba, Sandoungout, Ngari, Pascaline Bongo ou Paul Toungui. © Gabonreview

 
De prime abord, la majorité demeure fidèle au président de la République. Elle lui est même toute entière dévouée, totalement soudée derrière lui et prête à en découdre. Officiellement, elle fait bloc et prépare les échéances futures. A y regarder de près, la réalité est toute autre. La campagne de communication conçue en réponse au brûlot de Pierre Péan «Nouvelles affaires africaines – Mensonges et pillages au Gabon» a tourné court. Pire, elle s’est révélée contreproductive. La dégradation des conditions de vie des populations, les tensions de trésorerie, les dépenses somptuaires et errements du premier cercle présidentiel crachent leur venin tout et chaque jour. Ali Bongo est désormais confronté à une équation nouvelle, à inconnus multiples.
Les péripéties inhérentes à l’organisation de la marche de soutien de Franceville, notamment la débauche de moyens financiers et logistiques qu’elle a nécessité, ont mis en lumière des dissensions au sein de ce qui apparaissait jusque-là comme son bastion naturel, un donjon politique, une citadelle imprenable. Bien qu’elle ait finalement eu lieu, son annulation il y a deux semaines et surtout l’absence de ténors tels que Marcel Sandoungout, Idriss Ngari, Jean-Pierre Lemboumba, Pascaline Bongo et Paul Toungui laissent croire à une manifestation organisée aux forceps, à un refus d’entretenir des particularismes. Certes, le Haut-Ogooué n’a pas rejeté ou tourné le dos à celui qui fut, pendant près de 20 ans, député de la Djouori-Agnili. N’empêche, cette province envoie des signes d’une volonté de définir de nouvelles règles du jeu dans sa relation avec ce dernier. Autrement dit, elle entend imposer une nouvelle pratique politique. Certains de ses cadres sont même ouvertement entrés en dissidence alors que d’autres se complaisent dans une abstinence médiatique et politique qui laisse croire qu’une lame de fond est en passe de se lever.
Les incessantes jérémiades des puissances d’argent, notamment les communautés corse et libanaise ou les filiales de groupes français, témoignent aussi de ce que les relations entre le président de la République et les forces qui l’ont aidé à conquérir le pouvoir d’Etat s’écrivent de plus en plus en pointillés. Pour beaucoup d’entre elles, «l’avenir en confiance» n’est plus de saison. La peur du lendemain et une certaine lassitude les habitent désormais. Dans ce contexte, les incertitudes sur la situation des finances publiques et l’encours de la dette intérieure participent à couper Ali Bongo de sa base arrière.
Le lâchage en rase campagne de Serge Williams Akassaga Okinda n’est pas pour rassurer les institutions. Certes, le président de la République ne s’est toujours pas exprimé sur cette question. Mais, les déclarations tonitruantes du porte-parole de la présidence de la République sur le rôle et la responsabilité de l’ancien maire du 3ème arrondissement de Libreville dans la confection de l’acte de naissance querellé ont de quoi faire réfléchir voire doucher l’enthousiasme des fonctionnaires ou responsables d’administrations qui pourraient être invités à s’engager au-delà des limites légales. Jusque-là, ceux qui consentaient à user de leurs positions administratives ou institutionnelles pour soutenir la majorité se sentaient protégés. Maintenant, chacun sait qu’il n’est à l’abri de rien, qu’il peut être amené à répondre de ses actes voire à y être contraint par ceux au bénéfice de qui il a agi. «Quand on égorge le coq, le canard regarde», dit un adage populaire bien connu.
Bilan
Dans la mésaventure de Serge Williams Akassaga Okinda, il y a comme un message sous-jacent pour les forces de défense et sécurité. S’il avait toujours été éludé, le débat sur la responsabilité des actes commis dans l’exercice des fonctions fait maintenant rage dans les chaumières. Bien que le maintien de l’ordre soit une prérogative et une obligation régaliennes, il ne doit pas pour autant être confondu avec la répression. Les télévisions satellitaires nous abreuvent d’images de ces forces prétoriennes qui refusent de mater les populations voire organisent le départ de celui qu’elles sont censées servir quand elles ne tournent carrément pas casaque. De Tunis à Ouagadougou en passant par Le Caire, les gardes rapprochées ont soupé de ces ordres de fermeté qui les transforment en cerbères au service d’un clan, d’un camp et non d’une nation et d’une République. Ces exemples-là alimentent encore les débats, autant qu’ils défraient la chronique. Les idées qu’ils véhiculent ont, depuis, fait leur chemin. Ont-elles eu impact sous nos latitudes ? Dans un sens comme dans l’autre, rien n’est certain…
L’engagement résolu de ses soutiens traditionnels n’est pas la seule chose sur laquelle le président de la république peut désormais nourrir des doutes. Il peut aussi se poser des questions sur un bilan pas toujours à son avantage. Alors que ses proches et laudateurs n’ont, jusque-là, eu de cesse de se prévaloir d’un projet, accusant systématiquement l’opposition d’en manquer, ils pourraient bientôt être interrogés sur leurs réalisations. Déjà, le débat sur l’introduction, dans la charte de l’Union Africaine, d’une clause sur la limitation des mandats présidentiels indique que la réforme constitutionnelle de janvier 2011 fut un rendez-vous manqué, une opportunité gâchée. Et les retards de salaires accumulés dans de nombreux établissements publics créés à la va-vite, au mépris de l’esprit de nos institutions et de la loi dédiée, pourraient lui aliéner le soutien d’une partie de la classe moyenne. Si les déclarations d’Ali Bongo lors du Conseil national du PDG d’avril dernier ont laissé l’impression que les statistiques lui importent davantage que la réalité de terrain, son mutisme sur la question de son état-civil tend à accréditer l’idée d’un mépris pour les règles, les institutions et le peuple. L’opposition, particulièrement le Front de l’opposition pour l’alternance, n’a plus qu’à entretenir la veille. Une à une, les certitudes de la majorité se dessèchent et s’envolent sous l’effet de la météo politique. Progressivement, les soutiens du président de la République, expriment leurs doutes et craintes, s’éloignent ou baissent pavillon. Il est, peut-être, encore temps de se reprendre…
 

 
GR
 

51 Commentaires

  1. olivier dit :

    Ma sœur tu as tout dit, encore une fois bravo

  2. Mouthou dit :

    Eh oui, ma chère Roxane. Il est encore temps pour ces gens de se reprendre et de refuser la vérité qu’on veut distiller dans l’esprit des Gabonais, vérité selon laquelle Albert Bongo aurait été un « pédophile » quand il avait l’âge de 24 ans. On veut nous faire croire que Albert BONGO était de ceux qui se tournaient vers les fillettes de 12-13 ans. Encore mieux, il y en a une qui veut à tout prix effacer une partie de son histoire « sentimentale », en passant du blanco sur sa relation, connu de tous, avec le Poète Ndouna DEPENAUD……..!
    Franchement, ils soutiennent tous que Albert BONGO était un pédophile. Et aujourd’hui, il vont tous s’incliner sur sa tombe…Sacrilège…..!

    • imagine56 dit :

      Mouthou
      Tu parles d’un sacrilège …. Mon Dieu
      comment le vieux ANDJOUA peut laisser faire ça?
      je suis sure que Bongo n’est mème pas là, son corps doit se trouver dans un temple vaudou au Benin,du coté de OUIDA, combien de fois l’a t-on déterré?
      Pauvre BONGO, il ne peut mème pas reposer en paix….Il me vient une pensez, en ce moment….Où est le corps de Germain MBA?
      Ali, toi aussi, ton corps sera traité comme tu as traité celui qui a fait de toi un fils, un ministre, un multimilliardaire, c’est sur, on ne joue pas avec l’esprit de quelqu’un comme tu le fais avec celui de Bongo qui l’a fait avec celui de Germain Mba et d’autres?

  3. Bonito dit :

    Le silence du chef de l’executif est-il strategique (histoire de laisser passer l’orage) ou bien manque-t-il d’arguments de poids à opposer à ses contradicteurs?

  4. di papa dit :

    La personne qui te tue ne viens pas de loin

  5. Le Miroir de la petite émergence. dit :

    Pauvres gens… Ils se refusent d’accepter et de voir la vérité qui se manifeste de jour en jour. Mais je les comprends car sans le biaffrais, certains n’existeraient même pas à ce jour. On trouve de tout, des opportunistes en passant par ceux prêts à tuer pour préserver leur soit disant acquis. Mais, soyez en sûrs, il y a une justice immanente qui plane au-dehors de vos têtes et ne tardera pas à foudroyer tous ceux qui se seraient rendus coupables d’actes délictueux envers la nation.
    J’ai dit.

  6. Vert-jaune-bleu dit :

    malgré le silence l’orage ne passera pas c’est la fin du PDG

  7. Bill dit :

    pitié pitié mon Dieu pitié……

  8. agnes dit :

    bonjour messieurs les marcheurs, sil vous plait présentez nous l’acte de naissance de Monsieur ALI BONGO, pas celui d’AKASSAGA, mais celui établi au Congo. merci, c’est tout.

  9. la gaboma dépassée dit :

    Les PDGistes purs et durs ont perdu le sommeil. je le dis suite à l’aveu d’un des leurs… c’est FINI!!! AMANA!!!
    IL m’est arrivé dans l’ennui de consulter la page de l’UJPDG sur internet et là je me suis apercu qu’il a 85.000 fans mais qu’ achaque qu’il poste une actualité il n’a en general aucun commentaire au mieux 3 ou 4!!! les sujets qui ont suscité le plus de commentaires sont ceux de l’actualité Péan, et il s’est fait insulté par plusieurs de « ses fans » sur cette question. Depuis, grand juriste de formation de son état ( parait-il qu’il a abandonné un poste interressant en suisses pour s’activer au PDG), il ne nous dit pas ce qu’il pense du faux et usage de faux pour enfreindre la loi suprême de la république.
    En effet, je me rappelle de mes cours de droit constitutionnels de la 2 eme année à la fac, ma prof m’avait enseignée que la constitution était au sommet de la pyramide des lois et que ne pas la respecter était tres grave…
    Mais bon au PDG, seules les déclarations de YA Pasco et de Billié Bi Ze comptent pour démontrer qu’il n’y a pas faux et usage de faux de la part d’Ali…
    PS: regardez aussi du côté d’Accombressi si il a fait ce qu’il fallait, respecter ce qu’il devait respecter dans son dossier de naturalisation. Il y a peut être des choses louches de ce coté aussi
    Bonne journée!

  10. agnes dit :

    Il vaut mieux quitter les choses avant que les choses ne vous quittent, disait un imminent homme politique français.
    Visiblement, certains au PDG ne pas compris que la nouvelle histoire du Gabon est entrain de se dessiner, et ce ne sont pas des marches stupides et stériles qui vont arrêter l’arrêter
    La nouvelle page de l’histoire du Gabon est en train d’être dessiner par les gabonais.
    L’empressement du pouvoir à payer les salaires des enseignants membres de l’UN suspendu depuis des années montre que la peur à changer de camp. Mais la pression doit être maintenue.
    Il a seulement suffit que le SNEC annonce une grève pour que tout l’argumentaire ayant permis la suspension de ces salaires tombe comme un château de carte. Dans la situation actuelle, le pouvoir ne pouvait s’encombrer d’une grève à l’Université qui aurait eu des effets dévastateurs sur le climat socio- politique.
    Analysons bien les évènements et nous comprendront que ce régime ne tiens plus qu’à un fil.
    Des actions concertées de la société civile, des politiques et de la population suffiraient à le faire tomber plus vite que vous ne pouvez-vous en douter. Chacun doit jouer sa partition.

  11. agnes dit :

    Version corrigée
    Il vaut mieux quitter les choses avant que les choses ne vous quittent, disait un imminent homme politique français.
    Visiblement, certains au PDG n’ont pas compris que la nouvelle histoire du Gabon est entrain de se dessiner, et ce ne sont pas des marches stupides et stériles qui vont arrêter.
    L’empressement du pouvoir à payer les salaires des enseignants membres de l’UN suspendu depuis des années montre que la peur à changer de camp. Mais la pression doit être maintenue.
    Il a suffit seulement que le SNEC annonce une grève pour que l’argumentaire fallacieux ayant servi de prétexte pour suspendre ces salaires tombe comme un château de carte. Dans la situation actuelle, le pouvoir ne pouvait s’encombrer d’une grève à l’Université qui aurait eu des effets dévastateurs sur le climat socio- politique.
    Analysons bien les évènements et nous comprendront que ce régime ne tiens plus qu’à un fil.
    Des actions concertées de la société civile, des politiques et de la population suffiraient à le faire tomber plus vite que vous ne pouvez-vous en douter. Chacun doit jouer sa partition.

  12. moutou dit :

    Aujourd’hui l’orage ne passera plus,ALI nous montrera son acte de naissance. Il souffre, parcequ’il n’a aucun acte de naissance, aucun doctorat en droit, qu’il n’est pas né au congo, et que sa mère n’est pas gabonaise, c’est pour cette raison que Bongo le « PERE » ne lui a pas fait l’acte de naissance, et qu’il a mentionné l’article 10 de la constitution pour lui barré la route.

    • tara dit :

      Cher moutou vous dites  » Il souffre, parcequ’il n’a aucun acte de naissance » bon vous pouvez pas le démontrer
      Ensuite vous dites encore
      « c’est pour cette raison que Bongo le « PERE » ne lui a pas fait l’acte de naissance, et qu’il a mentionné l’article 10 de la constitution pour lui barré la route » la route n’a jamais été barré pour lui en 2011 la constitution du gabon a été modifiée s’il avait trouvé nécessaire il aurait pu changer l’article 10 dont tout le monde parle donc. De plus, contrairement à ce que disent souvent certains son père a voulu qu’il soit président pour défendre les intérêts de la famille BONGO accompagné de PASCALINE sinon il ne l’aurait pas laissé ministre de la défense et il n’y a pas que ça en plus donc …

  13. nnomdzi dit :

    Ne vendons pas la peau de la panthère avant de l’avoir tuée.Il faut continuer à lui mettre la pression,il va craquer tôt ou tard.

  14. le gabonais d'en bas dit :

    Ce qui est curieux de ce que revele l’auteur de l’article, est que meme la rtg ne fait pas remarquer l’absence des personnalités citées, c’est à croire que ces hommes et femmes sont passés en perte seche, ah oui c’est vrai qu’on ne fait pas du neuf avec du vieux excusez moi.

  15. La parole dit :

    Slt freres et soeurs bien comme vous aviez tout dit on comprend mais qui on pourra choisirparmi???

  16. Bouka Rabenkogo dit :

    Le problème posé par « lefilsdupauvre » est une vérité à laquelle en ce début du millénaire, l’Afrique tout entière et le Gabon en particulier doivent trouver en langage simple une réponse. Ayant pour ma part, eu la chance de fréquenter les grands maîtres maçons qui ont introduit cette fraternité au Gabon à l’aurore de leurs existences sur terre. Ces grands maîtres gabonais conclus: « Nous nous sommes trompés et nous avons fait du Mal à Notre Pays » et à l’Afrique. Tous nos enfants sont incapables de sortir le Gabon et l’Afrique de la situation où nous l’avons mis, car tous formater pour perpétuer l’ordre, esclave, coloniale, néocoloniale et l’auto colonisation (le chaos). La francophonie et les APE font parties des instruments modernes, subtiles pour la perpétuation de l’esclavage de l’Afrique et du Gabon.
    D’où la difficulté pour les leaders actuels de poser des actes contre le pouvoir inique actuel pas simple obéissance au serment (matière) de la fraternité maçonnique ou de la rose croix.
    Cher « lefilsdupauvre » Dieu ne se trompe jamais. C’est pourquoi, il t’a projeté au Gabon en non en France. Il s’agit pour toi de comprendre, d’apprendre et de perpétuer ton Gabon. Ses Us et ses Coutumes. La Japon et la Chine l’ont compris. Ils ont inventés le Quartz et le semi conducteur qui ont révolutionnés les technologies actuelles.
    Ne dit jamais comme certain : que « Dieu s’est trompé à mon sujet ». Que ce qui l’a donné à l’autre est meilleur que ce qu’il t’a donné. Confirmant ainsi, que Dieu se trompe.
    C’est pourquoi Bwete Conseil à chacun des enfants (Melane, Mbieri, Abandji, Elombo, Ibwouiri, Mbiri, Fouanganga, Djobi, Djobi Lumbu, Disumba, Missoko, Sengedia, Ngondet, Miyobè, Ndeya, Tao tao, Mboumba yi yano, Djembe, Gnembe, Ivanga, Okoukoue, Mouiri, Mangumba) et tout bandji (initié au bois sacré) qui a reçu une parcelle de sa divine conscience un Kombo (attribut Divin), une meilleur réorganisation et une participation sans complexes aux enjeux stratégiques et géostratégiques du troisième millénaire.
    Nous avons tout récupéré : les sciences et les technologies. Nous avons renforcé la compréhension et le partage spirituel de notre interaction avec la Divinité.
    Le « PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLÉNAIRE » est au dessus des enjeux et de la distraction de la politique politicienne voulu et entretenu à dessein exclusif, pour la satisfaction des besoins de la chaire et au bénéfice unique de l’occident.
    Ne nous laissons plus distraire par ses soient disant leaders « blancs à la peau noire », représentants (sujets) de l’occident.
    Maintenons nous dès aujourd’hui au travail.
    Il nous est interdit de rater ce millénaire au profit de l’occident et de l’orient.
    N’ayons plus peur. C’est fini, la tortue qui se replie dans sa carapace.
    L’Afrique est « LE BERCEAU DE L’HUMANITE, LE FLAMBEAU DES NATIONS ET LA LUMIERE DES CIVILISATIONS ».
    Ce millénaire est simplement Africain. L’occident et l’orient ont eu deux mille ans d’expression. Échec total sur tous les plants (rien qu’illusions).
    Le mouvement ‘’LES GARDIENS DU TEMPLE’’ vous invite à participer à l’établissement du « PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLENAIRE ».
    Rien ne se fera plus dans notre Pays sans la participation de ses véritables enfants.
    Dans nos proverbes gabonais nous disons ‘’C’est celui qui a attaché, qui sait détacher’’. C’est pourquoi, nous soutenons avec réserves, toutes les actions du Front uni de l’opposition ou tous autres mouvements allant dans le sens de sortir le Pays de la situation qu’ils l’ont mis.
    « lefilsdupauvre » n’ais plus d’inquiétudes. Plus personne ne nuira à ton existence et ne t’empêchera de bien te porter.
    Désormais, Le seul Coq qui chantera dans notre basse-cour est « BWETE » lui Seul. Ses enfants « BWITI » (Melane, Mbieri, Abandji, Elombo, Ibwouiri, Mbiri, Fouanganga, Djobi, Djobi Lumbu, Disumba, Missoko, Sengedia, Ngondet, Miyoba, Ndeya, Tao tao, Mboumba yi yano, Djembe, Gnembe, Ivanga, Okoukoue, Mouiri, Mangumba) auront la charge d’interpréter et de matérialiser son chant quotidien: « Le PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLÉNAIRE ».
    Je t’invite à rejoindre, dès aujourd’hui avec d’autres initiés à la première initiation masculine la « Circoncision », le mouvement politique charger d’établir « Le PROGRAMME DIVIN POUR LE MILLENAIRE » ‘’LES GARDIENS DU TEMPLE’’.
    Fraternellement

  17. terre est ronde dit :

    Il ne faut surtout pas que les gabonais en veuillent à nos frères altogovéens. Dans la grande majorité (environ 90%), ils sont pauvres comme tout les gabonais mais ils sont soumis à une forte pression (de ceux que vous voyez en première ligne) pour accepter de marcher comme ils l’ont fait. Il faut que l’opposition insiste à aller à leur rencontre pour dissiper la peur qui les habite encore.
    D’autre part, ces cadres du haut Ogooué continuent à être sectaires alors qu’ils se servent du pouvoir de tous les gabonais. En effet, comment peuvent-ils qualifier Myboto de « traitre » alors que le débat est politique et institutionnel et que depuis plus de 13 ans, Myboto n’est plus au PDG. Cà veut dire que ces cadres continuent à penser que le Haut ogooué doit être exclusivement pédégiste.
    Par ailleurs, comme la marche de soutien n’enlève rien au début sur l’article 10, il serait souhaitable que le Front uni communique sur les futures actions de masse à mener sur l’ensemble du territoire, notamment à Franceville et surtout à Libreville. Nous voulons une grande marche qui aillent du tribunal pour aller déposer la convocation du greffier chez ALI pour la suite. Le 15 décembre, le peuple gabonais veut connaitre la vérité et entrer sereinement dans la période des fêtes de fin d’année.

  18. le puant dit :

    Si ALI BONGO ne veut pas finir comme certains présidents (suivez mon regad ) qu’il demissionne maintenant .
    Nous osons croire , qu’il est entrain de faire déjà ces valises .
    François HOLLANDE le lui a dit , lors du sommet de la francophonie je cite : LA CONSTITUTION DOIT ETRE RESPECTEE .
    A moins qu’il refuse de comprendre français , et surtout qu’il plaide pour le multilinguisme .

  19. Le pauvre dit :

    Je dis c’est tres bien roxane fellicitation mais tu ne travail pas quelque avec votre sois disant frond des oportunistes priant le pouvoir dans des observations sincère des intérêts et trafiquants d’informations aux organisations de la nation appelée le front de l’opposition et ali bongo ondimba alias biafrat et ses amis ministres etc…de l’ancien régime de bongo ils sont des vieux boulons qui étaient indeboulonable au temps de leurs patron aujourd’hui ils se querellent la question reste pourquoi se battent ils ?depuis quand ils dirigeaient ce pays ensemble pourquoi ils n’avaient pas déclaré tout cela? Parce que en ce temps les poches étaient pleine aujourd’hui l’un de leurs appris le pouvoir et comme celui qui a pris le pouvoir connaît leurs systèmes de fonctionnements des poches pleine et tu te metiens au pouvoir l’accord ne marche plus voila le vrai problème de la bagarre qui se passe sous pretexe de légitimité , des gens qui mangeaient dans la même assiette hier quel honte pour nous les gabonais pauvre vous pouvez tout faire mais laissez notre pays tranquille ,je ne travail pas j’ai 31ans j’ai mes trois gosses on débrouille pour sur vivre attention ne faitespas du haut oguoue une tentions supérieur de votre débat politique. marcher mar marche mais tout cela vous frustre du calme .dites moi depuis deux mille tout ces milliers de personne qui savaient qu’ali bongo n’etait pas gabonais pourquoi n’avaientt’ils pas declerer cela c’est parce que lespoches étaient pleine maintenant que votre accord habituel ne marche vous voulez nous faire croire voilé derrière une mouche tsé-tsé a palabres de la france et des vieux serpents avec pleins de venin depuis que vous aviez cette vérité pourquoi l’aviez vous garde comme secret alors continuez a gardé votre on a plus besoin de l’entendre c’est qui nous avait que le gabon est un aujourd’hui vous dire encore que le gabon est deux non on est pas dedanssvp vous tous qui soutenez vos postes a gauche ou a droite allez ‘y au diable ils sont tous ls mêmes tous ls camps opposant comme majorité on veut rien de vous a part laissez notre pays tranquille vous discuter l’argent mais nous?la CNAMGS qui devrait être payé est ou? Pour finir un ventre creu ne peut jamais être content de celui qui est plein dis un ardage en langue obamba (moon an djala y ndjia moon a mâ youroi ni ) nous pauvre on souffre.

  20. Le pauvre dit :

    Mes freres de quel opposition parlez vous ? Je pense peut être c’est la phrase front unie qui trompe certains mais quand ouvre mes deux yeux je dans ce front andré MBA ping,eyegue NDONG etc… Mais non c’est les même voyez vous-même

  21. inocent dit :

    la marche des faussaires

  22. kevin dit :

    marchez bien, bientôt vous allez courir

  23. Le pauvre dit :

    Merci pour tous tes propos.bouka rabenkogo mais si ceux front unie c’est cette bande des vieux moucherons je suis désolé si on ne veux plus voir ali ce que tout l’ancien pouvoir en général toute cette bande des mafiosiste ils ne peuvent rien faire

  24. jean-jacques dit :

    ALI est Gabonais et ne se prononcera jamais sur ce sujet…attendez 2016 pour la prochaine élection

  25. Le pauvre dit :

    Mon freres kevin ne parle pas de bientôt vous allez courir c’est bientôt on va courir ensemble mais chacun sera de coté et pourquoi vous parlez de si vous êtes des républicain quoi vous êtes des gueriers non a ce mouvement vous n’etes pas démocrate?

  26. Okroiville_Mwana Da Ngoli dit :

    Au premier plan vous avez: Nina Abouna (Akiéni); Vivien Amos(Akiéni); Ngambia Magloire(Akiéni, Bongoville); Ali Akbar Onanga (Akiéni); Jean Pierre Oyiba (Ngounié); Ernest Mpouho(Bongoville); Mathias Otounga (Okondja); Léonard Andjembé (Ngouoni). Bienvenue à la République de l’axe Bongoville-Ngouoni-Akiéni-Okondja.
    Chers compatriotes, nous avons là la preuve que le pouvoir Bongo PDG puise sa source dans cet axe. Ils sont certes du Haut-Ogooué. Cpendant ils ont tous pour dénominateur commun: ces villes ou villages présidentiels qui forment l’axe susmentionné. Par cette précision, je voudrais que les uns et les autres comprennent une fois pour toute que ce ne sont pas tous les altogovéens qui ont bénéficié du pouvoir des Bongo.
    Revenant à leur fausse marche, je constate malheureusement qu’il y a encore certains de mes parents du Haut-Ogoouée, qui n’ont pas encore compris que le temps est venu où ils doivent refuser d’être des faire valoir d’une bande des sorciers de la République qui n’ont pour projet que la paupérisation du peuple qu’ils manipulent pour préserver leurs petits intérêts. Par leur obstinément à suivre, comme des moutons de Panurge, ces voleurs et faussaires de la République,ils creusent leur propre malheur car tôt ou tard, les comptes pourraient leur être demandé. Alors, qu’ils se ressaisissent dès à présent.

  27. cbienbo dit :

    Mes chers amis qui voulez voir partir l’usurpateur national,
    ses jours sont comptés à la position qu’il recelle dans notre pays. En effet, j’ai appris, de source sûre, que ces plus proches collaborateurs  »s’occupent » actuellement de son cas. Vous savez tous que des permis d’exploitation pétrolierer ont été cédés à des entreprises étrangères il ya quelques mois. Or il faut une situation politique  »apaisée » pour attirer des investissements sereins. Du coup, certains membres de la garde rapprochée de l’usurpateur national tissent actuellement des accords avec les  »vrais grands de ce monde » afin de ramener le calme au Gabon et ne pas aller en prison par la suite.
    Laisson courir le boeuf, la tabaski approche.

  28. le puant dit :

    Le pauvre ! ce n’est pas parce que on a été au coeur d’un probleme qu’ on ne peut pas etre au coeur de la solution !

  29. moutou dit :

    il faut qu’il est la force d’arrivée en 2016 Jean Jacques!! le feu est derrière lui sa chaufe!!! sa chauffe!!! sa chauffe kiakiakiakiakiakiakia!!!!!

  30. nnomdzi dit :

    Le PDG a vendu le Gabon oui,je me souviens des tractations qui ont eu cours lors de la désignation du candidat de ce parti à l’élection de 2009;il y avait bien des prétendants dont le PM actuel,l’ancien PM OYE MBA,M.MENGOUAZEP actuellement gouverneur, etc.et qu’ont-ils fait; ils ont tout simplement choisi M.ALI BONGO alors même qu’à l’époque le problème de ses origines était parfaitement connu de ceux qui avaient piloté cette affaire…donc moi je considère que le PDG a trahi le Gabon.

  31. murucocu dit :

    Il faut un jean ping pour bousculer ali car il navait plus peur de personne Ali et le pdg paniquent c’est parcequ’il connaissent la force de la personne en face d’eux

  32. Ongowou dit :

    @R. Bouenguidi, qu’est-il arrive a S. W. Akassaga ? Les soldes suspendus des enseignants de l’Uob sont-ils a nouveau retablies ?

  33. Ongowou dit :

    @R. Bouenguidi, pardonnez, Svp, ma sous-information. Votre papier, si bien articule, manqe de ces deux elements d’information que je viens de mentionner precedement.

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