Les enseignants vacataires de l’Institut national de la poste, des technologies de l’information et de la communication (INPTIC) ont décidé, le 15 juin dernier, du gel des cours pour une durée d’une semaine, afin de mieux faire entendre leurs revendications.

Gel les cours à l’Institut national de la poste des technologies de l’information et de la communication. © D.R.

 

Les membres du collectif des enseignants vacataires de l’Institut national de la poste, des technologies de l’information et de la communication (INPTIC) ont décidé de suspendre les cours du 15 au 22 juin. Cette décision a été prise au cours de l’assemblée générale tenue quelques jours plutôt.

Il s’agit pour ces enseignants de faire pression sur les autorités pour obtenir le paiement de cinq semestres de vacations, du 2e semestre 2015 au 2e semestre 2017. «Le dernier paiement remontant à décembre 2014. Nous avons initié et multiplié les revendications auprès de la direction générale qui sont restées sans suite», a indiqué le porte-parole du collectif, dans un courrier adressé au Secrétaire général du ministère de l’Économie numérique.

Selon ce dernier, le 11 février dernier, le directeur général de l’INPTIC avait assuré de payer l’intégralité des vacations dues, à la mi-février. «Il n’en est toujours rien», regrette-t-il. Devant cette impasse, le collectif des vacataires a décidé de déposer un préavis de grève de sept jours qui expirera le 22 juin prochain.

L’Institut national de la poste, des technologies de l’information et de la communication, ancienne école des postes et des télécommunications, compte quatre filières pour un effectif total de 500 étudiants et un corps professoral composé à 90% de vacataires.

 

 
GR
 

2 Commentaires

  1. Sameline dit :

    Au lieu d’envoyer des generaux d’operette à Paris, payez ces vacataires pour l’avenir du GABON que BOA vaut tuer

  2. Edou Assoumou dit :

    Comment expliquer que l’etablissement decide de lancer un concour sans donner les résultats 2016-2017. .. ni meme fair les examens de fin d’anné … ou irrons tous ses etudiants sans information precise de leur status!!?

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