Le Premier ministre a effectué, le 7 octobre dernier, une visite de la zone économique spéciale (ZES) située à une trentaine de kilomètres de Libreville.

Le portique géant de la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok. © Michel Ogandaga
Le portique géant de la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok. © Michel Ogandaga

 

A la tête d’une délégation composée, outre des ministres, de ses collaborateurs et de certains techniciens de l’Agence nationale des grands travaux (ANGT), le Premier ministre s’est rendu, le 7 octobre dernier, à la Zone économique spéciale de Nkok.

Accueilli par le gouverneur de la province de l’Estuaire, Jacques Denis Tsanga, et les responsables de la société Olam, partenaire du Gabon dans ce projet, Daniel Ona Ondo en a profité pour interroger les protagonistes sur l’état d’avancement de ce chantier. Selon les explications du responsable de la communication à l’Agence nationale des grands travaux, la ZES est globalement fonctionnelle. A terme, elle comprendra une partie destinée aux industries de transformation et aux administrations avec une préférence pour les entreprises de services dont les banques, les espaces commerciales  et un guichet unique. A vocation résidentielle, l’autre partie sera destinée aux habitations. Il y est également prévu des parcs à camions, à bois et à conteneurs avec, en prime, un quai devant aboutir au port d’Owendo. Bien entendu, la ZES est autonome quant à son approvisionnement en eau et en électricité avec des installations. Elle dispose ainsi de forages et d’une connexion directe à la centrale électrique d’Alénakiri.

S’agissant des innovations, Djeny Mvou a relevé qu’une station fonctionnant à base des déchets de bois était en cours de réalisation afin de palier, en cas de besoin, la baisse de tension de l’électricité venant d’Alénakiri. Pour ce qui concerne les investisseurs déjà présents sur le site, le chef du gouvernement a appris que 40% sont dans la filière bois. Les entreprises qui s’implantent viennent d’Allemagne, d’Espagne, du Portugal, de France, du Cameroun, du Mali, du Benin, d’Inde, de Malaisie et maintenant de Chine. Au total, 78 investisseurs y sont déjà présents dont 32 dans la transformation et 16 dans la construction.

Après ces explications, le Premier ministre a touché du doigt les réalités. De la base énergétique en passant par les industries de bois, du fer et des métiers de l’espace, c’est un véritable tour du propriétaire que s’est offert Daniel Ona Ondo, qui a paru satisfait.

 

 
GR
 

10 Commentaires

  1. barcelonais dit :

    nimporte quoi,tout ça c’est du bipo,ya rien de serieux labà je vous l’assure.Pauvre Ona Ondo,il est obligé de faire tout ça alors qu’il sait très bien qu’il n a pas de pouvoir,pitié.

  2. Madouaka dit :

    Cette photo illustre malheureusement toutes les contradiction d’ali bongo lui démocrate il se fait construire une statue? lui qui sillonne le monde peut il nous dire où sont celle d’obama lula hollande sarko chirac

  3. Pas posssible dit :

    Il faut site internet pour permettre un plus grand nombre d’investisseur. Il faut s’ouvrir au monde ce n’est que comme ça que les autres viendront en masse investir chez nous…Wait and See

  4. padouck dit :

    en 2 ans, 10 ministres dont le porte parole ont visité la ZES de NKOK. Nous constatons que cette ZES va fermer d’ici 2 ans car les investisseurs sont toujours restés au même nombre, c’est à dire moins de 10 investisseurs.
    S’il y a avait une structure qui pilotait le développement de la ZES de ngok on aurait déjà eu beaucoup d’investisseurs intéressés.
    Je demande à la présidence de la république de mettre un fond pour piloter l’arrivée des sociétés dans la ZES de ngok.
    je pense que vu le potentiel boisier du Gabon, nous pouvons développer des usines suivantes dans cette zone :
    – usine de fabrication des pâtes à papiers afin de vendre les fournitures de la papiterie à la zone CEMAC, CEDEAO ou ailleurs (cahiers, ardoises, stylos, bloc notes, enveloppes, chemises,claseeurs, cartons d’emballages etc …).
    – usine de fabrication des meubles , identique à celle du défunt Edouard MBADOU, de façon à vendre des meubles sur la scène internationale (bureaux, lit bateaux, tables, chaises, armoires, chambres, living, coffrage, salon, armoires de cuisine) …
    – usine de fabrication des métaux (serrures, cuillères, assiettes, haches, matchettes, marteaux, tôles, ferails servant à la construction des maisons, etc …).

    Pour financer ces chantiers, je propose aux autorités gabonaises ou à l’APIEX de :
    – préléver 10 % sur le fond du PID/PIH
    – préléver 10 % sur le fond du FGIS
    – Mettre en place une taxe sur les maisons en location au Gabon, pour y arriver demander à chaque gabonais de déclarer la composition de sa maison à la mairie de son arrondissement et de justifier la nature de ses occupants. Toute fausse déclaration entrainera des amendes AU NOM DU PEUPLE GABONAIS.
    – sur les 3000 milliards du budget bon an mal de l’état gabonais,il faut consacrer 100 milliards de cfa pendants 3 ans pour financer l’implantation de ses sociétés dans la ZES de ngok.
    – Utiliser les 1000 milliards d’aide au gabon de la BAD, non utilisés entièrement utilisés jusque alors pour lancer ces chantiers.
    – solliciter un emprunt obligataire de 200 milliards de cfa sur le marché internationale afin de financer ses projets.

    s’il y avait suffisamment des intellos au gouvernement et dans les direction générales des ministères et des agences, nous ne devrions même pas attendre 7 ans (2016), pour voir ces projets se réaliser au gabon dans la ZES de ngok.

    Une usine de pattes à papiers rapporte un chiffre d’affaire de 200 milliards de cfa en moyenne.
    Une imprimerie nationale (carte d’identité, carte grise, passeport, formulaires de l’administration gabonaise, bulletins de vote, timbres, etc …), rapporterait facilement 50 milliards de chiffres d’affaire.
    Une usine de fabrication des meubles atteindrait un chiffre d’affaires de 150 milliards de cfa.
    Un opérateur de téléphonie fait en moyenne un chiffre d’affaire de 100 milliards.
    Une compagnie d’électricité et d’eau fait en moyenne un chiffre d’affaire de 100 milliards.
    Une industrie agroalimentaire (fabrication des yagourts, du lait, des bonbons, des conserves, etc …), fait en moyenne un chiffre d’affaire de 50 milliards etc …

    Le gouvernement Alain ONDO II tourne à rond sans idées, sans palper la couleur des 3000 milliards de budget du gabon qui ne sont que sur papier et aux mains des initiés (GRE) …
    Comment un premier ministre peut oser faire une tournée à la ZES de ngok, alors que le gouvernement n’arrive pas à injecter ne fusse que 100 milliards par an afin de créer de l’emploi pour les cadres gabonais qui sortent des grandes écoles! Arretez de gouverner avec des méthodes du moyen âge ? Le Gabon est au 21 ième siècle. Les directeurs des agences, les présidents des institutions de la république gabonaise, les directeurs de l’administration gabonaise, nesavent même pas écrire un mail sur un ordinateur. ils ne savent pas écire une lettre avec des zones de texte sous microsoft word. Vous pensez qu’en maintenant des gens comme eux le gabon va avancer vite dans ses projets ? pensez-vous qu’avec ses directeurs de la grande loge, le gabon va négocier d’égale à égale avec les bailleurs internationaux sortis de l’école Sup X ?
    Pour sortir de la léthargie au Gabon et de donner plus de chanceà l’avance des travaux inscrits au PSGE, je demande la nomination des gabonais sortis dans les garndes écoles occidentales aux postes de secrétaires généraux des ministères. Ceux-ci peuvent faire vibrer le gabon sur l’orbite du développement …

    • xz dit :

      c’est bien tout ça, comme les écoles qui sont sur place forme des idiots, nous devons prendre comme SG des gabonais sortis de grandes écoles occidentales!!!
      Autres choses, des directeurs qui ne manie pas l’outil informatique? il y en a peut être, mais pas tous!!

  5. celui-la dit :

    tu penses que n’est intelligent et capable de defendre les intérêts du gabon que celui-la qui est gabonais sorti dans les grandes écoles occidentales?????

    parfois tu évoque des vrai problemes dans ton texte mais tu reduis aussi à zéro les établissements des autres continent voir même ceux de ton pays tout en ignoron qu’avant d’allé en occident tu as eu la base qui n’a jamais été mis en cause par les occidentaux au gabon!!!!!!!!!!!!

    • padouck dit :

      @xz
      Pitié, tu penses que les gabonais de l’étranger ont le même niveau que ceux restés o pays. c’est discutable! sof que je n’ai pas le temps de discuter avec des gens qui n’ont rien à proposer à l’histoire. ce qui me choque dans tout ça c’est le fait de voir beaucoup de hautes personnalités gabonaises partir à NKOK juste pour faire du m’as tu vue ? il affirme que nkok est une invention du PSGE au gabon ? dépuis 2010 nkok a moins de 10 entreprises ! On ne connaît pas l’entité qui est chargée de gérer nkok afin d’attirer des investisseurs ? Au passage je vous ai donné si haut, les axes de reflexion avec les bailleurs pour le développement de cette zone ! (Usine de pattes à papiers, usine de fabrication des meubles made in Gabon, usine agroalimentaire etc …). Si le gabon était géré par des vrais gabonais, on devrait voir ses réalisations avant 2016! il suffit d’injecter 400 milliards de cfa d’ici 2016! c’est possible sof qu’il faut enlever la tête du gabon qui bloque tous les projets de « CONSTRUCTION DU GABON INDEPENDANT ». comment peut -t-on comprendre qu’un pays comme le gabon qui a engrangé 5600 milliards de recettes budgétaires en 2013, n’a même pas investi 500 milliards de cfa en 2013 au gabon ?
      Budget 2013 3999 milliards de cfa.
      emprunt obligataire de juillet 2013 508 milliards
      emprunt obligataire de novembre 2013, 750 milliards
      indemnité d’arbitrage avec Addax pétroleum 360 milliards
      emprunt de mai 2013 30 milliards.
      prouvez moi que les réalisations ont dépassé 500 milliards au gabon en 2013 ?
      qui vivra verra!

  6. manondzo dit :

    Ceux qui vivront verrons! Que n’a t-on pas dit sur Nkok? « n’importe quoi, ça ne commencera même pas, patati patata » aujourd’hui Nkok est une réalité qui n’a pas fini de se déployer; vous pensez que les investisseurs qui y sont déjà installé l’ont fait pour les beaux yeux d’Ali?

    • badaboum dit :

      @manondzo
      en fait vous vous assouvissez au petit peu! hors la réalité est phénoménal!! moi je veux l’éxécution des 5600 milliards de l’argent des gabonais. ce n’est pas parce que Foccart vous a donné le pouvoir que vous allez rouler tout le peuple gabonais dans la farine! sachez que nous sommes au 21 ième siècle. Les bongos ont déjà suffisamment formé pour ne plus accepter ce que ma mère ne comprendrait pas. Vous et le PDG vous eu en 2014 5600 milliards de cfa, dites nous les 100 réalisations que vous avez fait ? certes vous avez payez 550 milliards de masse salariale et tout le monde est content sauf moi. je ne vis pas des maquettes ni des promesses. ho ça fait 100 ans que les juifs sont à la recherche de la terre promise! cessez de traiter les gabonais des moins que rien! moi aussi je dine avec les mais de Foccart on verra ça! même pas 100 km de route bitumé depuis le 13 octobre 2009! ma mère va avaler vos mensonges mais quand je suis là on votera mieux sof PDG ! that is the question! nous vous jugerons bientôt!

  7. MADOUKOU dit :

    Chers camarades du PDG ne faisons pas comme si ce pays n’est pas le notre. Même si vous avez les capables au Benin et ailleurs pour mieux nous gérer. Arrêtons de prendre le peuple de ce pays pour des rien, c’est plutôt vous les rien parce que vous faites des promesses pour faire plaisir et vous pensez que ça marche comme y a pas de réactions. Ou sont aujourd’hui toutes ces promesses parmi lesquelles la PIP? quelle honte! nous sommes au 14 Octobre 2014. Permettez de vous dire que vous avez signé votre défaite en 2016. Souvenez vous que le père avait dit, Dieu nous regarde et quand il voudra nous sanctionner il le fera.

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