Alors que l’IGIS est de plus en plus appelé à coordonner l’ensemble des activités cinéma, une réforme est actuellement à l’étude pour renforcer ses missions et ses prérogatives.

Résultats Google Images pour les mots-clés «Igis Gabon». © Gabonreview/Capture d’écran

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Dans quelques mois naîtra le Centre gabonais du cinéma (Cegaci) ou peut-être réapparaitra le Centre national du cinéma (Cenaci). Selon des sources proches du dossier au ministère chargé de la Communication, «à l’ordre du jour, il n’y a pas que la fusion ANINF-Télédiffusion du Gabon (TDG), annoncée par le Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet, comme mesures-phares de ses 100 premiers jours à la tête du Gouvernement. Il y a aussi la transformation de l’IGIS en Centre gabonais du cinéma (Cegaci)».

La réforme de l’ex-Centre national du Cinéma (Cénaci) est en branle depuis la tenue, à Libreville, de la première Quinzaine du film amateur gabonais (Quifilma), en février dernier. Conduite par des spécialistes du cinéma gabonais sous la houlette des responsables du ministère de la Communication, cette réforme devrait parvenir à son achèvement en début d’année prochaine.

L’ancien Cenaci verra ses missions et prérogatives renforcées. «Il s’agira entre autres, affirment nos sources, de coordonner l’ensemble des activités Cinéma aussi bien publiques que privées au Gabon, et de travailler encore plus profondément avec l’international pour donner un visage plus avenant au Cinéma gabonais. A cet effet, il est prévu aussi la mise en place d’un nouvel organigramme plus technique et plus pratique.» Le Cegaci devrait être mis en place entre janvier et février prochain.

 

 
GR
 

4 Commentaires

  1. JOLY dit :

    j’ose croir au coté salutaire de cette initiative de reforme! mais il reste un question à la quelle il faudra faire attention! le cinéma institutionnel ne peut coordonné les activités cinématographique du cinéma institutionnel! le cinéma privé reste une initiative privé et rendre dans les droit fondamentaux de chaque individu désireux d’embrasser ce domaine artistique et culturel. nous osons croir qu’il ne s’agit pas d’en faire une super structure championne pour toute sorte de baïonnette au profit des mêmes. dans tous les pays au monde il y’a toujours eu sous le couvercle de reglementations ; les lois statutaire et regulative d’une part le cinéma institutionel et de l’autre part le cinéma indépendant, le Gabon ne peut déroger à cette règle. alors attention a vos réforme à tout va avec vos super expert qui pensent réinventer la roue!

  2. JOLY dit :

    nous osons croir que les Gabonais vont véritablement en bénéficier pour une fois! vu que depuis ces nombreuse années les gabonais n’ont jamais su véritablement à quoi le CENACI devenu IGIS servait et à quoi sa nouvelle version IGIS à servi jusque là! que d’années de reformes sans repercution! le cinéma Gabonais à 50ans d’existance!

  3. JOLY dit :

    le dernier élément sur lequel je voulais faire un commentaire repose sur le soit-disant festival je pense son nom devrait changé et y mettre deux sections: Amateur et Professionnel les categories elle aussi devrait etre bien défini entre long métrage adapté et fiction etc! nous avons constaté qu’il était plus un évènement de campagne electoral qu’un festival cinématographique malgré le control par les dieux expert « IGIS »

  4. JOLY dit :

    Au Gabon seul les fonctionnaire de du CENACI/IGIS bénéficie de l’aide de l’état depuis des années! cependant l’ensemble des Gabonais contribue à cette argent publique qu’y est alloué! pourquoi l’IGIS la vie du cinema au Gabon cependant ce sont les meme employés qui émargent sur son registe! nous les connaissons nommément! les casting public n’existent que pour les journaux quand les choix sont faits dans des salon de thé entre les meme dans la boite fermé! il faudra nous dire sur la base de quoi les uns sont dit grand maitre cineaste sans production aucune, alors que les autre font vivre les salle privé et remportent des prix hors de l’exagone dans des festival professionnels respecté en Afrique et en europe? j’espere l’artisant central de ses choses sais qu’il ne peut pas définir l’existance des uns au gré de ses caprices! les droits inalienables à tous sont garanties meme dans les productions cinématogrohique! si je dois existé par ce que citoyen de ce pays je ne suis pas obligé de me faire imposé des dictat politique d’une personne caché derrière un réforme qui cache tout ce que nous savons! arrétez de nous fatiguez avec ces flans de mauvaises cuisine!

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