A la faveur d’une rencontre dite citoyenne organisée à Libreville le week-end écoulé, le mouvement cornaqué par Fabien Mbeng Ekorezock a accueilli ses nouveaux membres, non sans revenir sur sa détermination à œuvrer pour l’alternance politique au Gabon, tout en appelant au leadership des acteurs de l’opposition.

Des souverainistes, le 11 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview

Des souverainistes, le 11 juillet 2015 à Libreville. © Gabonreview


 
Au lendemain du partenariat établi avec Jean Ping, «Les souverainistes» sont très tôt apparus parmi les détracteurs les plus virulents du régime en place. Le mouvement que ses membres définissent comme «citoyen et transversal», est aussi incontestablement devenu l’un des plus constants contempteurs du pouvoir en place, avec un seul objectif : la chute du «PDG-Bongo», qui semble cristalliser toute leur énergie, au point de devenir lassant pour certains, avec lesquels une querelle à peine voilée n’a pu échapper aux observateurs. Pourtant, loin des pics et autres accusations adressées à leurs différents détracteurs, le 11 juillet dernier, l’heure semblait à la fête. A la faveur d’une rencontre dite citoyenne organisée à Libreville, le mouvement a officiellement présenté ses nouveaux membres.
Une vue des nouveaux adhérents...et vue du public. © Gabonreview

Une vue des nouveaux adhérents…et vue du public. © Gabonreview


Issus de divers groupes ou mouvements politiques, d’une localité du pays ou de manière individuelle, les nouveaux souverainistes, parmi lesquels on compte Philibert Andzembé, ont dit respecter, partager et soutenir la vision du mouvement, notamment sa conception de la souveraineté du peuple. Pour Charlotte Mensah, représentante des nouveaux adhérents, leur ralliement est «la conjonction d’une communion des esprits et une convergence des idées sur la conception et l’approche politique». «Il s’agit de redonner au peuple gabonais sa dignité, sa capacité et sa liberté de choisir ses propres dirigeants afin que, plus que jamais, la force du bulletin de vote soit restaurée dans notre pays, ceci pour éviter que se renouvelle les traumatismes tels que celui subi par le peuple gabonais lors des élections présidentielles d’août 2009, où il s’est vu voler sa victoire», a ajouté la porte-parole des néo-souverainistes pour justifier à nouveau leur adhésion.
Un discours qui n’a pas laissé indifférentes les personnalités présentes dans la salle, notamment René Ndemezo’Obiang ou Jean-Marc Ekoh. Le coordonnateur national du mouvement «Les souverainistes», Fabien Mbeng Ekorezock, outre la satisfaction de compter de nouveaux membres, s’est dit plus que jamais déterminé à œuvrer pour le départ d’Ali Bongo du pouvoir au plus vite. «L’élargissement de notre mouvement exprime notre ambition, qui veut que nous dépassions nos égos», a-t-il déclaré, avant d’ajouter : «Notre mouvement reste ouvert à tous ceux et celles qui pensent que le peuple doit être écouté. Aucune force ne sera de trop pour arriver à la victoire finale. (…) Nous vivons sur un volcan au bord de l’irruption, et le peuple crie «trop c’est trop». Il faut mettre fin aux souffrances infligées par le PDG-Bongo.» Pourtant si la détermination des souverainiste paraît intacte et ne semble souffrir d’aucun doute, d’aucune hésitation, pour Fabien Mbeng Ekorezock, il est loin d’en être de même pour tous. «Le sentiment de tourner en rond nous envahit tous, faute d’un visage pour incarner le leadership au sein de l’opposition», a-t-il lancé, y voyant «un immobilisme inquiétant». Or, a-t-il dit, «il y a urgence». Et de s’interroger : «Les leaders de l’opposition souhaitent-ils en réalité la fin urgente du régime PDG-Bongo ? Si nous répondons «oui», que nous disent les Gabonais, les collaborateurs d’Ali Bongo, qui ont le courage de nous aborder ?» Pour les souverainistes, il s’agit désormais de confier dès maintenant le leadership à un individu courageux, capable de l’assumer, qui ne tergiverse pas. Qui ? Tout le monde aura compris qu’il s’agit de Jean Ping.
 

 
GR
 

0 Commentaires

  1. YOVE dit :

    Je note avec satisfaction le soutien que les Souverainistes viennent de renouveler à Jean PING.
    Je salue notamment l’argument selon lequel l’opposition a besoin, dès maintenant, d’un visage qui soit à la fois un porte-flambeau et une locomotive. C’est le même argument que d’éminentes personnalités comme Jean EYEGHE NDONG (JEN)ou Pierre AMOUGHE MBA (PAM) et bien d’autres encore, avaient avancé pour marquer leur soutien à PING, en appelant ce leader reconnu comme étant le mieux placé à faire acte de candidature à la prochaine présidentielle; quel que soit le moment où celle-ci pourra avoir lieu, et quel que soit l’adversaire éligible que désignera le pouvoir pour pour prendre part à cette compétition.
    L’opposition a, en effet, besoin d’un leadership affirmé pour pouvoir mener, d’ores et déjà, le grand combat consistant à mettre au point les conditions d’un scrutin incontestable parce que absolument transparent, aussi bien du point de vue des institutions impliquées dans la tenue des élections politiques que des personnes appelées à animer lesdites institutions. Il faut que, le plus tôt possible, l’opposition parle uniment et ne tire pas à hue et à dia, mais plutôt dans la même direction, avec courage et détermination.
    L’argument que les contradicteurs de PING ont commencé à semer, selon lequel ce leader serait en train de monnayer les soutiens qui lui sont accordés, tiennent difficilement la route. Ce serait faire injure à des gens comme Jean-Marc EKOH dont la probité ne souffre d’aucune ombre et dont le patriotisme est reconnu par tous que de prêter à son engagement des ressorts trempés dans le baquet de la vénalité. De même, des personnalités comme JEN ou Philibert ANDZEMBE et bien d’autres me semblent à l’abri du besoin; ce qui leur permet de s’engager en âme et conscience.
    C’est ce que font de nombreux citoyens lambda comme moi, qui n’attendent de l’opposition de deux choses:
    1. Chasser du pouvoir le système BONGO/PDG
    2. Asseoir une nouvelle gouvernance politique, économique et sociale fondée sur le droit, garantissant la justice et l’égalité de tous devant la loi.
    De ces deux choses résulteront nécessairement la vraie paix, une véritable culture démocratique ainsi que le développement tant attendus.

  2. jean - Jacques dit :

    J’ai une question seulement à tous ceux qui s’expriment sur cette palteforme.
    Pour quoi les fang sont toujours au premier plan quand il s’agit des mouvements? est ce que le Gabon vous appartien seul?
    Votre soutien changera quoi? l’idée que MANGANGA , MYBOTO , CASIMIR OU MOUBAMBA ne seront pas les candidats, preparer bien votre échec est en route…c’est juste une question d’heures, jours, semaines et mois.
    les gens qui pensent que la politique DOBO doit continuer ou les individus faisaient le bruit pour avoir des postes c’est fini ce temps.

    • Elé-Ayong dit :

      Jean-Jacques, votre texte est truffé de fautes de toute nature. On ne peut même plus s’attarder à vouloir analyser le fonds de votre pensée, tellement vous êtes rongés par le tribalisme exacerbé.
      A beau édulcorer nos remarques sur vos écrits, cela ne change malheureusement pas grand chose chez vous. En termes simples, retenez que vous écrivez mal et vous pensez comme un animal.

    • Dago dit :

      Mais jean-jacques,tu es comment? Ce n’est pas une histoire de fang ou autre ethnie ici,il s’agit du Gabon.Les fangs ne sont pas gabonais? Je te signale que je suis pas fang,mais je n’accepte pas tes propos! C’est leur faute si ils sont pro-actifs dans tout ce qui concerne la vie politique du pays? Les gens qui tiennent ce langage ethnique n’ont pas leur place dans ce pays! Et toi,si on vérifie bien tes origines,tu dois être un gabonais d’adoption. Saches que vous qui pensez que ce pays ne peut être dirigé que par une seule ethnie ou un groupe de bandits,vous vous mettez le doigt à l’œil. Si tu es vraiment gabonais, tu devrais savoir savoir que ce pays a été délivré et dirigé par un fang. Et c’est lui qui a donné, au nom de l’unité nationale, le pouvoir à OBO, et non à un fang comme lui,car il a regardé la compétence et non l’origine ethnique. Si un fang revient au pouvoir, ça le fait mal où? Les batéké ont géré pendant près d’un demi-siècle pour quels résultats? Pour nous faire diriger par des étrangers!? Un fang ne l’aurait jamais toléré. Vas au woleu voir que les non gabonais connaissent leur place et savent se tenir au risque de recevoir les foudres des enfants du pays!!!

    • l'ombre qui marche dit :

      Ah!ah!ah! décidément ces jeanjacqueries sont ubuesques Eyéghé Ndong et Amoughé Mba des fang ne soutiennent ils pas Ping un omyéné? tiens jean-jacques je suis du sud j’ai voté en 2005 et 2008 Pierre le Grand car quand j’ai humé le vent j’ai senti de quelle direction soufflait le vent d’ailleurs Me Agondjo Okawé n’avait il pas demandé à voter pour PMM? en 2009 j’ai voté pour AMO par rapport au temps de 2009 en 2016 ce qui est sûr je ne voterai pas pour MAGANGA MOUSSAVOU tu vois c’est pour dire que 7 ans plus tard par rapport à 2016 certains gabonais la GRANDE MAJORITE comprend de plus en plus l’essence de « GABON D’ABORD » EN REALITE LES COLLABOS ONT LE TOURNIS DE CONSTATER QUE LA MAYONNAISE DU PATRIOTISME PREND MIEUX AU FUR A MESURE QUE S’EGRENE LE TEMPS

    • Le citoyen libre dit :

      Jean-Jacques,
      Ceux ne sont pas des Fangs mais des gabonais qui se battent pour le bien de notre pays. La stratégie de division par la appartenance ethnique est révolu, le peuple gabonais sait que si nous voulons bâtir une nation forte c’est ensemble que devons le faire. S’il te plait n’entraine pas notre pas dans cette direction. Défend to champion sur son bilan, apporte-nous son acte de naissance valide pour le bien du Gabon.

    • imagine56 dit :

      j-Jacques,
      j’ai juste à te dire, je suis fang et fière de l’être
      je crois que les autres ont dit en d’autres mots ce que je ressens du plus profond de moi, et maintenant si nos bouilles ne te reviennent pas, VAS TE FAIRE FOUTRE

    • YOVE dit :

      Jean-Jacques, j’avais décidé, depuis quelque temps, de te mettre en quarantaine, en ne lisant plus tes balivernes. Mais ce que tu viens de scribouiller ici est si énorme que je ne peux pas ne pas réagir, tant tes propos sont une incitation à la haine ethnique et à la guerre civile.
      Voici donc ce que je tiens à te dire:
      1. Je ne suis ni Fang, ni Myénè, mais Gabonais véritable aimant mon cher et unique pays. Je n’en n’ai pas d’autre en rechange. Je ferai donc tout ce qui est en mon pouvoir pour remettre à leur place des énergumènes de ton acabit, qui veulent semer le feu et la désolation dans mon pays, pour pouvoir se repaître des dépouilles, quitter ensuite le champ de ruines et aller jouir de la paix qu’offre leur pays d’origine, qui, pour eux (pour toi), est manifestement la vraie patrie; le Gabon n’étant à tes yeux qu’un chantier destiné à enrichir des aventuriers et saccageurs de ton espèce.
      2. Il est vrai que je ne cherche plus à comprendre ce qui chez toi tient lieu de raisonnement, mais qu’on m’explique tout de même comment il se fait que chez toi et tes amis émergents, tout et le contraire de tout, c’est du pareil au même.
      AMO se porte-t-il candidat à l’élection présidentielle de 2009? Vous criez à un appétit du pouvoir qui rongerait non pas seulement ce candidat mais tous les Fang, considérés comme une essence, comme un seul homme cloné en centaines de milliers d’exemplaires.
      De nombreuses et éminentes personnalités gabonaises poussent-elles Jean PING à se porter candidat à la présidentielle de 2016, parce qu’elles ont discerné en cet homme la solution pour sortir notre pays du bourbier où l’ont enfoncé les prédateurs nommés Bongo/PDG ? Vos cris se font encore plus véhéments: « Pourquoi les Fang sont-ils toujours au premier plan quand il s’agit des mouvements? Est-ce que le Gabon vous appartient seul? » Voilà ce que le cerveau boueux de Jean-jaques vient d’engendrer ci-dessus.
      Mais dis-moi, Jean-Jacques, quand Léon MBA MINKO mi EDANG cède le pouvoir au Téké Albert BONGO, est-il toujours un Fang ou est-il devenu un extraterrestre? Réponds à cette question, si tu es quelqu’un avec qui on peut parler!

  3. La Fille de la Veuve dit :

    Comme Omar Bongo en son temps, comme Ali Bongo en ce moment, Jean Ping s’est lancé sans retenu dans la campagne d’appel à sa candidature… Avec à la Manœuvre Réné Ndémezo’o.
    Jean Marc Eko appelle à la candidature de Jean Ping !
    Jean Eyeghe Ndong appelle à la candidature de Jean Ping!
    Amoughe Mba fonde l’UPL et appelle à la candidature de Jean Ping!
    Les Souverainistes appellent à la candidature de Jean Ping!
    Demain ce seront les jeunes machins, les femmes associés à, etc…. Et ca se veut une nouvelle manière de faire de la politique…
    Mais ni Pierre Mamboundou, ni André Mba Obame n’ont jamais envoyé quelqu’un d’autre appeler à leur candidature. Ils se sont présentés au suffrages des Gabonais et ont obtenu de lui suffrages et Leadership.
    Alors ! Que celles et ceux qui se réclament du Peuple souverain apprennent d’abord à le respecter plutôt que de tenter de le manipuler dans son dos pour son propre destin…..
    A Bon entendeur…

    • mouthou dit :

      Et Ali Bongo Ondimba, n’y a t-il pas d’appels à candidature?
      Pourquoi avez vous créer le MOGABO, Renaissance et tous les groupements qui gravitent autour de la galaxie présidentielle?
      N’est-ce pas pour mettre dans la tête du Gabonais aveugle, que Ali Bongo Ondimba veut sont bien être?

      • maureen dit :

        Mouthou, La Fille de la Veuve appelle ceux qui appellent à la candidature de Mr Ping de ne pas faire comme les mouvements ou personnalités soutenant Ali, elle invite, conseille à faire autrement que comme les pdgistes, il faut rompre avec les pratiques du passé, qu’est ce qu’elle a pu dire qui vous agace? elle n’a rien contre Ping. Décidément, on va finir par croire que Ping est un dieu et qu’il ne faut pas l’offenser, ça augure de se qui peut se passer si ce dernier devenait président, pensée unique , pas de critiques, tout le monde doit se mettre au pas, charmant programme en perspective!

    • imagine56 dit :

      HO HO HO, Fille de la Veuve quand tu fais cette analyse là, les supporters de Ping te sautent à la gorge et diront que tu n’es pas avec l’opposition, parce pour eux l’opposition se résume à la reconnaissance du seul Ping.
      je suis intervenue uniquement parce que comme moi, tu n’apprécies pas cette stratégie, effaçons nous et laissons les faire, l’avenir nous dira qui avait raison, parce que si pour certains il faut se presser parce que 2016 est proche, je suis de ceux qui pensent  » rien ne sert de courir il faut partir à point », petite consolation la fille de la veuve, beaucoup pensent comme nous!

  4. Bouka Rabenkogo dit :

    « APPEL A SOLDAT »
    Soldat gabonais, le Drapeau est par terre. Tu prêtes et jures serment de fidélité au Drapeau. De défendre et de protéger la Nation. La violation de « La Loi Fondamentale » (Constitution) par Ali Bongo et sa bande d’apatrides mafieux est une atteinte grave à la souveraineté de la République Gabonaise. Ali Bongo est en guerre institutionnelle contre « Le Gabon ». La déclaration de madame la procureur de la république contre Jean Ping avant hier et la diffusion hier des propos d’un présumé jeune complice pendant quinze (15) minutes à la RTG est un appel à la révolte et au bain de sang des innocents. Les politiciens toutes tendances confondues ont échoué. Le « Soldat » doit et a le devoir de prévenir. Ali Bongo veut entraîner les gabonais vers une guerre civile qui ne dit pas son nom, appuyé par sa garde prétorienne lourdement armée. Aucun gabonais ou citoyen du monde ayant choisi notre pays comme terre d’accueil ne doit perdre sa vie par faute de médiocrité politicienne. L’heure est arrivée pour toi « Soldat », de « Rétablir l’Ordre Républicain » car les politiciens ont vraiment échoué. Il te revient « Soldat », de prendre « Le Pouvoir » pour assurer temporairement la transition. Convoquer et organiser dans les plus brefs délais: «Une Constituante». Une « CONFÉRENCE NATIONALE SOUVERAINE INCLUSIVE » qui permettra à notre peuple, de former à nouveau, comme les cinq doigts de la main, tous ensemble, dans la Liberté, le Respect et l’Amour du prochain: une « POIGNE », dont la puissance nous extraira de la médiocrité institutionnalisée par un système mafieux, qui persiste depuis plus de cinquante ans. Le Gabonais a le devoir, d’assumer lucidement, sa part de responsabilité du millénaire, hors des turpitudes et des politiques limités rien qu’aux solutions « du ventre et bas ventre », pour enfin ce projeter, dans le « Merveilleux Avenir » en perspectif qu’offre le « Nouveau Millénaire », pour nous, nos enfants et petits enfants.
    « Vaillant Soldat, Il est de Ton Devoir de Relever Le Drapeau. »

  5. maureen dit :

    Mr Ping a toujours dit que se sont les souverainistes qui sont allés le chercher, alors il est tout à fait normal qu’il soit leur candidat.
    Par contre , je ne m’explique pas pourquoi, les souverainistes ne le déclarent pas ouvertement, les autres mouvements l’ont fait, des personnalités ont emboité le pas, pourquoi ne pas dire tout haut ce que tout le monde sait? Ping est le candidat des souverainistes, c’est pas interdit, alors Mr Mbeng Fabien, dites le haut et fort, il n’y a aucun suspense que je sache.

  6. femme noir dit :

    Jean Jacques, avant de parler, STP, va encore apprendre tes règles de grammaire et même d’orthographe. Tu risques d’abrutir les enfants qui te lisent. Merci. Et quant à ta question sur les fang, ma réponse est: tu es simplement nul.

  7. Mamboudouiste authentique dit :

    Bonjour Jean Jacques. j’apprécie tes sons de clche dissonants. c’est ça la démocratie

  8. rtg1 dit :

    L’opposition gabonaise se rend-t-elle à la source du Vrai pouvoir ? Les grande manœuvre commencent-elles maintenant…? 😉
    #Gabon Les leaders du Front, de l’UFA, de l’UFC et de l’UN depuis ce matin au Département d’Etat à Washington
    https://twitter.com/agueminia/status/620588856505704448/photo/1

  9. rtg1 dit :

    Gabon: Naissance du mouvement « Les Souverainistes »
    https://www.youtube.com/watch?v=7VRnhXvgG6U

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