L’infrastructure qui accueille les matchs de la poule C dès le 16 janvier prochain est loin d’être totalement prête.

Le stade d’Oyem subit encore quelques travaux avant les matchs du 16 janvier 2017. © Le360 / Hajar Toufik

 

Jusqu’à ce samedi 14 janvier, jour du démarrage effectif de la Coupe d’Afrique des nations (Can), les travaux se poursuivent à Engong Stadium d’Oyem. Inauguré le 9 janvier par le président de la République. L’infrastructure qui accueillera, dès le lundi 16 janvier prochain les matchs de la poule C (Côte d’Ivoire, Togo, Maroc, RDC) n’est visiblement pas prête. Elle reste inachevée. «Les travaux sont toujours en cours et le centre des médias n’est pas encore prêt», a regretté un journaliste marocain Hajar Toufik du site Le360.ma.

Engong Stadium d’Oyem, en travaux jusqu’au 14 janvier 2017. © Le360 / Hajar Toufik

A un jour du premier match sur ce stade, les quatre sélections ne cachent pas leur inquiétude. Pourtant, du côté du comité d’organisation, on assure que les choses devraient rentrer dans l’ordre avant le coup d’envoi de lundi. L’aire de jeu, les vestiaires des joueurs ainsi que les sièges devant accueillir les spectateurs ont été testés, et sont parfaitement fonctionnelle. «L’entreprise chinoise adjudicataire du marché travaille de nuit et veille aux finitions», confie un membre du Cocan. Toutefois, selon des sources, le parking et certains bureaux sont jusqu’à lors en travaux. Des problèmes ont été signalés au niveau de l’hôtel, croient savoir certains. Or, si dans la nuit du 13 au 14 janvier les ouvriers de la Shanghai Construction General (SCG) ont permis de rattraper une partie du retard accumulé, les organisateurs promettent que d’ici à la fin de la semaine prochaine, Engong Stadium sera totalement prêt.

L’autre difficulté à laquelle disent être confrontés les journalistes à Oyem est celui de l’accès à Internet. «La ville était hors zone hier et il fallait courir pour se connecter», rapporte le journaliste marocain, qui estime que tout ceci «n’augure rien de bon».

 
GR
 

6 Commentaires

  1. Harvy dit :

     » Les stades d’Oyem et POG prêts pour accueillir la fête  » avons nous tous lu dans les journaux, en grands tires .
    Pourquoi on est comme ça au Gabon? C’est quoi réellement le problème chez nous? Qu’est ce que ça coûtait de solliciter le renvoie pour 1 mois,afin d’achever ces travaux !!
    Au passage, je voudrai rappeler que le beau stade de POG n’a toujours pas été testé. mais bon on va faire avec..
    Mon problème ici est que c’est tout un peuple qui va porter la HONTE toute la Nation.

  2. Proactif dit :

    Tout ce que le Biafrais Ali va entreprendre sera toujours voué à l’échec. Cette CAN « ensanglantée » ne nous fera pas oublier notre objectif: son départ.

  3. NYAMA dit :

    LE GABON n’avait pas besoin de cette CAN qui n’a aucune valeur ajoutée pour le peuple gabonais si ce n’est les caprices du pouvoir !

    Cette CAN va montrer au monde une fois de plus que le pouvoir usurpé du Gabon n’a aucun respect du peuple qu’il a volontairement massacré le 31 août ! La liberté de penser au Gabon est interdite, le vote pour l’alternance est floué ! La CAN au gabon ne soit pas cacher la privation des droits de l’homme et du bâillonnement de la démocratie – Il doit dégader

  4. fan dit :

    Vous êtes toujours comme ça le moindre manquement c’ la fatalité vous ne proposer rien ouf mouf! Nous n’avons que cela pour pays donc apporter votre goute d’eau ou quitter la le statut d’apatride est
    reconnu par l’onu

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