Si la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok a servi de cadre à la conférence de presse hebdomadaire du porte-parole de la présidence de la République, la teneur de son propos a laissé croire qu’il marchait sur les plates-bandes des responsables de l’Autorité administrative de Nkok, en charge de la gestion de cet espace à vocation industriel et commercial.

Alain Claude Bilie Bi Nze à l’issue de la conférence de presse.

Alain Claude Bilie Bi Nze à l’issue de la conférence de presse.

 

La traditionnelle conférence de presse du porte-parole de la présidence de la République s’est tenue le 10 juillet courant, à la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok à une vingtaine de kilomètres de Libreville. Se muant en porte-parole de l’Autorité administrative de Nkok (AAN), Alain Claude Bilie-by-Nze, a laissé entendre que cette visite visait à constater l’effectivité ou encore l’état d’avancement de ce projet lancé en 2010 et qui «vise à impulser un développement diversifié à partir d’un certain nombre d’actions». Et de rappeler qu’«une ZES est un espace industriel et commercial qui offre différentes possibilités de développement et qui bénéficie de lois avantageuses pour les entreprise. Le but d’une telle structure est d’accroitre les investissements directs étrangers». Comme pour anticiper d’éventuelles questions sur le nombre peu conséquent d’opérateurs sur le site, il a affirmé qu’en général, «les ZES nécessitent 4 à 5 ans de mise en place avant d’être parfaitement opérationnelles».

Driss Sabri (directeur technique Les Aciéries du Gabon) face à la presse ; le site de Gabon Wood Industries ; Anne Nkene Biyo’o Ep. Souguemam lors de la visite du guichet unique et une vue extérieur dudit site. © Gabonreview

Driss Sabri (directeur technique Les Aciéries du Gabon) face à la presse ; le site de Gabon Wood Industries ; Anne Nkene Biyo’o Ep. Souguemam lors de la visite du guichet unique et une vue extérieur dudit site. © Gabonreview

A en croire Alain Claude Billie By Nze, la ZES de Nkok poursuit trois objectifs : attirer les investisseurs dans la transformation secondaire et tertiaire de produits, avec des coûts de production compétitifs sur des marchés internationaux ; attirer des industries capables de fabriquer des produits et de transformer les ressources naturelles de façon raisonnée ; inciter des industries à alimenter des marchés domestiques régionaux pour remplacer ainsi les produits importés. «A cette date, la ZES de Nkok compte un total de 80 investisseurs. Parmi eux, plus de 40 sont issus du secteur industriel. Leurs projets devraient représenter un total de 1,7 milliard de dollars (environ 850 milliards de francs) en investissements directs étrangers (IDE)», a-t-il soutenu, insistant sur le chiffre de 1 500 emplois, prestataires inclus et projection en fonction des industries implantées. Bien entendu, il a mis en avant l’avant l’apport capital d’Olam dans ce projet dont la multinationale basée à Singapour en est le principal partenaire.

Cette excursion a pris tout son sens avec la visite de deux sociétés dont Gabon wood industries. Spécialisée dans le séchage du bois, l’entreprise malaisienne compte parmi les huit opérateurs en production partielle sur le site. Elle espère étendre ses activités à la construction de cadres et portes en bois. La deuxième entité visitée a été Les Aciéries du Gabon. Disant devoir lancer ses activités incessamment, cette entreprise fera dans la collecte et la transformation de scrap (déchets de ferraille). Elle fabriquera également du fer à béton, des tubes ronds acier, des tubes rectangulaires, des tubes carrés, des cornières à ailes égales, des poutrelles, des fers plats et des billettes.

Après ces deux sites, la délégation s’est déportée du côté du guichet unique de la ZES, où elle été édifiée par l’administrateur général adjoint. «Le guichet est chargé de l’accomplissement de toutes les formalités de délivrance des documents administratifs pour les entreprises désireuses de s’implanter à la Zone économique spéciale», a signifié Anne Nkene Biyo’o Souguemam. Le guichet unique comprend des antennes des administrations en charge des impôts, des douanes et droits directs, de la consommation et de la concurrence, du travail, du conseil gabonais des chargeurs, des infrastructures, de sécurité sociale, etc.

Cette excursion s’est achevée par la déclinaison de quelques dates de l’agenda du président de la République. On a ainsi appris que la pose de la première pierre du stade de Port-Gentil aura lieu le 18 juillet prochain ou encore alors que l’inauguration de la paroisse Notre-Dame de Lourdes se fera le 15 août prochain.

 

 
GR
 

17 Commentaires

  1. Franck dit :

    Des airs de futur Premier Ministre, même de Président de la République. Les mains en poche regard rassurant. Il fait vraiment son buzz.
    A quand la déclaration de candidature ?

  2. aramail dit :

    Il faut arrêter l hémorragie. Est ce le rôle des portes paroles. Il me semble qu’il y a une confusion des rôles….

  3. matho dit :

    Vite,faites de lui le premier ministre dont on se souviendra!

  4. rtg1 dit :

    #Gabon – On se fait payer très difficilement par l’état – MEDEF

    L’émergence moutiki d’Ali en prend pour son rhume. Le MEDEF (France) indique que la diplomatie économique est mise à mal avec des mauvais payeurs comme l’état gabonais. Ceci au cours du colloque sur la diplomatie économique co-organisé par le Sénat et l’Assemblée Nationale Française le 09 Juillet 2015.

    https://www.youtube.com/watch?v=VEE_ohHE6Y8

  5. rtg1 dit :

    Alain Claude Bille Bi ze à Raymond Ndong Sima : « On m’a demandé de te parler de cette façon ».Un arnaqueur de première classe au service de la mafia présidentielle.

    Lors de ta conférence de presse hebdomadaire qui te permet de soutirer un peu d’argent au Raïs, tu t’es encore illustré négativement comme un petit lapin toujours à la recherche de la carotte et en cachette tu viendras dire : grand frère(RNS) on m’a demandé de te parler de cette façon. Ça devient une sale habitude.

    A titre de rappel, Quelques jours après la formation du nouveau cabinet Eyéghé Ndong dit de « mission », précédemment ministre délégué auprès du Ministre d’Etat en charge des Transports, de l’Aviation civile et du Tourisme, vous aviez été incarcéré le mardi 8 janvier 2008 à la maison d’arrêt de Libreville pour émission de chèque sans provision..

    Mr Monsieur Bilié Bi Nzé, on vous présente comme étant un transhumant politique notoire, connu non seulement pour des faits pas reluisants mais aussi pour le vagabondage d’un camp à un autre, au gré de vos intérêts personnels et au bénéfice du plus offrant.

    Vous êtes prêt à tout pour consolider votre confort. Votre rôle de manipulateur de masse va conduire le pays dans le chao. Toujours l’invective et l’injure.

    En 2011, lorsque André Mba Obame prête serment au siège de l’Union Nationale vous qualifiez cet acte à notre grande étonnement d’epiphénomène (non évènement) alors que toute la république s’est mise en branle pour répondre à AMO.

    Ping à sa sortie du PDG a été qualifié de tous les noms d’oiseaux. Les membres de la branche PDG héritage et Modernité sont des singes selon vos propos.

    A Raymond Ndong Sima vous déclarez qu’il lui a été demandé de démissionner et il n’a pas voulu partir. De même qu’il a fait un passage à vide lors de son passage à la primature.

    Mr RNS dénonce effectivement ces entorses à notre constitution, à l’absence de l’état de droit. Etes-vous dans vos prérogatives pour vous substituer au PR ?

    Sur le passage à vide les fonctionnaires gabonais jugeront de vos propos. Et en cachette, vous irez dire à RNS qu’on vous a demandé de lui parler de cette façon.

    Tous les journaux et consort consacrent des heures à débattre sur la sortie du PDG de RNS. Les Ministres, les Maires des communes, les étudiants, les commerçants en parlent sans repos et voici le passage à vide à la gabonaise.

    Quand un porte-parole se fourvoie c’est purement et simplement de l’amateurisme et de l’ignorance politique. Mrs Ndong Sima soulève des questions de fond et vous évitez d’y répondre pour distraire encore une fois les gabonais . Mrs ndong sima est un homme de valeur et de principe qui se refuse de jouer sur ce terrain il vous le laisse naturellement .

    Maintenant que vous vous êtes lâchés . Penser aussi à venir répondre aux interrogations économiques que posent Mrs ndong Sima sur la situation financière du pays..Il vous attend, ayez le courage d’y répondre.

    Le Porte-parole d’un président doit savoir analyser la situation avant de parler au nom de ce dernier mais hélas l’excès de zèle, les petits calculs de la mangeoire font que ce dernier agisse sans réfléchir.

    Tes arnaques, ta distraction entraînent le pays chaque jour dans le chao. Aujourd’hui tes propos d’arnaqueur ressemblent à une chambre à gaz d’un volcan qui finira par exploser.

    Il faut arrêter ce genre d’idioties car il y a des têtes bien formées au PDG qui peuvent assumer ce rôle de porte-parole et non le va-t- en guerre. Il y a une chose d’avoir lu les gros bouquins , survoler le paysage politique et maîtriser la réale politique. On marche sur la tête, il faut arrêter ces plaisanteries de mauvais gout, la surenchère inutile. A ce niveau de responsabilité, on attend plus de sagesse.

    Comment un porte-parole peut dire à un Ex PM qu’il a fait un passage à vide tout simplement parce qu’il a décidé de quitter le parti. Que font les pdgistes devant ces idioties?

    A chaque fois qu’un citoyen se détache du pouvoir on l’accuse de tout: AMO était le vendeur de l’Ile Mbanié , le manager du repli indemnitaire et de la violence.

    Hier, PING était un grand homme d’Etat lorsqu’il cautionnait les actes du pouvoir, aujourd’hui il devient Vendeur du fer de Belinga et Voleur des fonds du pétrole.

    Hier RNS, était le Pompier National qui éteignait grèves et consorts, le messie des fonctionnaires, aujourd’hui son passage à la primature est un passage à vide, un falot.

    Ne faites pas de la mauvaise foi, Alain-Claude. Si nul n’est volontairement méchant, il faut éviter d’être volontairement nul. Même si tu es empégué par les friandises de la présidence de la République, reconnais qu’il y a un véritable malaise dans notre pays. Tôt ou tard, ce malaise, encore latent, se révélera au grand jour. L’autosatisfaction qui est ton crédo ne guérira pas le pays de ses maux, loin s’en faut. « Dorloter un enfant malade ne le guérit pas » t’a si bien suggéré Jonas Moulendas.

    Qui a géré le Gabon en 48 ans?

    Qui nomme les gens depuis 48 ans?

    Pourquoi as-tu fait la prison pour émission des chèques en bois?

    Quel est la famille la plus riche du Gabon?

    A combien s’évalue la richesse des bongos? et pour qu’elle justification?

    L’image d’un dirigeant est le reflet de ceux qui sont à ses côtés. si un paltoquet, un rat, un arnaqueur comme toi, se retrouve aujourd’hui au centre du pouvoir, il le doit au Raïs, Monsieur Ali Bongo qui s’entiche facilement d’éléments troubles et sans consistance. La faute à qui ?

    Avec cette façon de faire, Mrs Alain Claude répondra un jour de ses actes..Le monde évolue, les principes d’Etat de droit seront bientôt la clé de voute du Nouveau GABON.

    http://www.gabonlibre.com/Alain-Claude-Bille-Bi-ze-a-Raymond-Ndong-Sima-On-m-a-demande-de-te-parler-de-cette-facon-Un-arnaqueur-de-premiere-classe_a29377.html

  6. Sabrina dit :

    On souhaite que cela donne quelques choses de bon

  7. rtg1 dit :

    Gabon-Zone Economique Spéciale De Nkok : « Le compte n’y est pas »

    L’improvisation est mauvaise conseillère, vouloir à tout prix paraître pour ce qu’on n’est pas, conduit le plus souvent mettre la charrue avant les bœufs.

    Le modèle économique de la « Zone Economique Spéciale » de Nkok (ZES) voulu par le président de la république, Monsieur Ali Bongo est novateur, il faut être honnête et le reconnaîitre. Mais, les experts disent qu’un beau projet sur papier n’est pas forcement garantie de succès, encore fait-il savoir l’opérer, le mettre en œuvre et le faire fonctionner !!! – Malheureusement, en amont de ce projet, il y a eu beaucoup de précipitation, d’impréparation, etc…

    Rappel : Le projet Zone Spéciale Economique de Nkok, avait pour but de booster l’économie et fournir des milliers d’emplois à terme. Ce nouveau « Pôle économique » a été implanté à Nkok, à 27 km de Libreville, sur 1126 hectares.

    A l’arrivée aujourd’hui, on se rappelle juste de l’inauguration en grande pompe avec le chanteur Américain R. Kelly, qui avait été payé plus de 1 million de dollars pour un seul chant solitaire en playback de son succès « I believe I can fly », devant Ali Bongo et ses invités.

    Que d’espoirs suscités auprès des gabonais et des millions engloutis des contribuables gabonais, à la fin, quel ets résultat ?
    Hors des incantations et de la cécité des tenants du pouvoir, on se moque des gabonais simplement, le compte n’y est pas. La ZES de Nkok est moribonde ! – Il y a moins de 10% de l’activité attendue ! Personne ne veut y aller.

    Comme quoi n’est pas Deng Xiaoping, le père des réformes économiques chinoises, qui veut. Ce n’est pas fait pour les amateurs ……!

    Anne Marie DWORACZEK-BENDOME

    Publié, le 13 juillet 2015

    http://blogs.mediapart.fr/blog/amdb/130715/gabon-zone-economique-speciale-de-nkok-le-compte-n-y-est-pas

  8. rtg1 dit :

    Pouvoir/Opposition et Syndicats au Gabon : Le peuple, toujours en attente de satisfaction

    De plus en plus de Gabonais habités par le syndrome de la calomnie et de la haine que leur insufflent ceux de leurs compatriotes qui, soit sont demeurés dans l’opposition, soit l’ont rejoint pour diverses raisons, n’hésitent pas à voir dans le militant ou sympathisant du Parti démocratique gabonais, PDG, au pouvoir, rien de plus qu’un pécheur.

    L’argument sans cesse avancé pour justifier ce qualificatif est celui bateau de l’état du pays que la formation politique dirige depuis 1968. « Pédégiste », l’heure n’est plus au discours !

    est en effet difficile, voire très difficile aujourd’hui de rencontrer autant de satisfaits que d’insatisfaits lorsqu’il s’agit de passer au peigne fin la gouvernance d’Ali Bongo Ondimba. S’il est vrai que certains qui n’imputent pas totalement la responsabilité de la situation héritée du reste de son père et son système au chef de l’Etat gabonais, beaucoup s’interrogent sur la capacité de son équipe gouvernementale à mener la barque Gabon vers l’Emergence que le chef de l’Etat appelle de tous ses vœux, quand d’autres, s’appuyant sur le fait réel et sur des indicateurs tel le rapport McKinsey, accordent la mention « doit et peut mieux faire » à l’exécutif et au gouvernement qui achèvent un mandat de sept ans visiblement à bout de souffle.

    Certes, me direz- vous, le bâtiment semble reprendre ses droits, mais faut- il encore que l’on se demande à quel prix quand on sait parfois la faiblesse de l’implication de l’Etat dans ce secteur classé parmi ceux à travers lesquels l’on détermine la vitalité économique d’un pays. Il est une évidence : « la victoire a plusieurs pères, la défaite, elle, n’en n’a qu’un seul ». Lors de la prochaine élection présidentielle qui commencera bien entendu par une campagne- bilan au cours de laquelle le peuple voudra bien entendre le président de la République sur les mêmes questions sensibles de l’accès au logement, aux soins de santé, à l’emploi, au désenclavement pour les Gabonais de l’hinterland par exemple, à l’eau et l’électricité, à la scolarité, que sais- je encore ? Le comble, si l’on opte pour une certaine posture sera qu’il ait du mal à convaincre son compatriote le plus avisé qui devrait pourtant reconnaître que pendant presqu’un demi-siècle, le pays a été laissé à une génération de « prédateurs » qui se couvrent à présent du sceau d’une virginité acquise récemment quand ce n’est pas depuis 1990, année du basculement du Gabon vers le multipartisme.

    Effet de mode ou conviction politique et idéologique ?

    Seules des preuves tangibles et palpables pourraient s’offrir en réponse à cette interrogation. Dans d’autres pays africains, faire de la politique, certes garantit une probable popularité ou notoriété, mais ne vous prédispose pas à amasser des fortunes insolentes, surtout quand vous n’êtes pas en mesure d’ensuite les mettre en valeur du fait des débats internes à votre conscience qui vacillent entre votre probité dans l’acquisition de vos biens et la peur d’être un jour rattrapé par l’histoire et peut- être de tout perdre comme pour confirmer que bien mal acquis ne profite jamais. C’est dire que les passe d’armes épiques entre le camp au pouvoir et l’opposition au Gabon ont de quoi laisser indifférent pour qui, comme Léon Mba, pense « Gabon d’Abord ». Car, il aurait été intéressant que l’homme fortuné qu’est le politique gabonais prît effectivement en main le destin du peuple.

    En quoi faisant ? En soustrayant par exemple une partie de ses avoirs, les transformant en outils de production susceptibles d’être utilisés pour participer à la résorption du chômage ou dans le cadre de sa formation politique, à l’inculcation des valeurs citoyennes à ses zouaves de militants pour leur éviter d’être pris ou traités pour des gangsters ou pyromanes, prêts à mettre le feu au patrimoine si chèrement acquis parfois.

    Syndicalistes, ne vous trompez pas de rôle !

    De leur côté, les syndicats doivent pleinement jouer leur rôle consistant à défendre les intérêts corporatistes, apolitiques qu’ils devraient être, pour nous éviter d’avoir l’impression de tourner en rond quand, au lieu de remplir leurs missions, ils succombent aux prébendes et justifient de ce fait le mal- vivre qui assaille les Gabonais toujours en quête de l’homme providentiel, celui- là qui, comme Adolf Hitler juste après son accession à la tête du IIIème Reich en Allemagne, répondit favorablement aux attentes du grand nombre en lançant par exemple l’ère des grands travaux et la voiture du peuple « Volks Wagen ».

    Pour y arriver, faut-il encore que l’homme de pouvoir soit convaincu de la justesse de son combat et de ce qu’il doit s’appuyer non seulement sur des esprits altruistes, mais aussi et surtout sur le peuple, si tant est qu’il veut confirmer son ancrage dans la Démocratie.

    http://www.gaboneco.com/nouvelles_africaines_35286.html#

  9. Claude dit :

    Mr Bilie Bie est l’homme qu’il fallait a cette place; aucun journaliste n’a jusqu’à ce jour pu le coincer avec une question… Il maîtrise tous les contours de son sujet c’est ça un porte parole.

  10. rtg1 dit :

    Les médias américain critique l’acceuil du chef de l’état gabonais par le président Obama à la Maison Blanche :

    The conservative media’s soft spot for the Confederate flag doesn’t exist in a vacuum. It seems to spring from a dark, ugly well of race baiting. Recall that it was one of Fox’s most famous hosts who called Obama a « racist » with a « deep-seated hatred for white people, or the white culture. » Fox’s Eric Bolling once referred to the President of Gabon’s visit to the White House as Obama hosting a « hoodlum » in the « hizzouse » and suggested that President Obama was « chugging 40’s » during a state visit to Ireland. Geraldo Rivera placed blame on unarmed Trayvon Martin for his own death because he was wearing a hoodie.

    http://mediamatters.org/blog/2015/07/13/trump-the-confederate-flag-and-how-fox-news-cre/204371

  11. rtg1 dit :

    Avant de commencer la campagne pour 2016, faites d’abord le bilan des promesses (V. Mobiles)

    Lors du conseil des ministre du 17 novembre 2011, Mr J’AI DÉCIDÉ avait pris les mesures suivantes :
    Jeunesse
    Mr J’AI DÉCIDÉ avait décidé que dès 2012, son gouvernement lancerait la construction de plateaux sportifs dans chaque arrondissement de Libreville, afin de permettre à tous les jeunes de pouvoir avoir une activité sportive dans un lieu approprié mais aussi de relancer les compétitions scolaires et inter-quartiers. Depuis-là, swiiiiiiii, didiiiiiii !

    Eau et électricité

    Mr J’AI DÉCIDÉ avait également dit que les travaux concernant le renforcement en eau potable, qu’il avait déjà annoncé lors du conseil des ministres délocalisé de Franceville, étaient en voie d’achèvement.
    Que la conduite PK6-PK9 et le réservoir PK9 d’une capacité de 7500m3 seraient livrés fin décembre 2011 et le réservoir de 10000 m3 de la cité de la Caisse serait livré en juin 2012, tandis que la conduite entre Ntoum et Libreville serait livrée comme prévu en 2014.

    La construction d’un nouveau château d’eau à Angondjé ainsi qu’une conduite entre le camp de Gaulle et Angondjé avaient été confiés à SOBEA. Ces travaux qui devaient permettre de renforcer l’alimentation en eau de la zone Nord, s’acheveraient avant 2014.

    La centrale thermique d’Alénakiri, d’une puissance de 870MW, alimentée au gaz naturel devait permettre d’alimenter en électricité toute la ville de Libreville. A cette date-là, disait-il, la première phase de 35MW était achevée.

    L’énergie produite devait servir à alimenter la Zone économique Spéciale de Nkok et le surplus devait être déversé sur le réseau SEEG.
    Que les travaux de sécurisation du réseau électrique de Libreville avaient démarré sur l’axe Ambowé-Angondjé et devaient être achevés en janvier 2012 et ceux concernant la ligne Owendo-Bisseghe s’achèveraient avant septembre 2012.

    D’autres travaux devaient aussi être réalisés :
    – Relocalisation du marché eu PK8 à la sortie de la ville et agrandissement d’un marché moderne,
    C’est plutôt un siro-libanais qui a construit son marché au même endroit.

    Quant à l’état gabonais, Zéro marché à la sortie de la ville située désormais au PK 12.
    – Electrification et extension de l’eau potable dans les lotissements de Bikélé,
    – Extension du réseau électrique et d’eau potable de Bel Air,
    – Extension du réseau électrique à Montalier et d’eau potable à Alibandeng,
    – Achèvement des travaux d’extensions des réseaux électriques 20 KV sur les routes Cocobeach-Meba-Akock,
    – Construction des ouvrages d’eau potable au Cap Estérias,
    – Extension d’eau potable dans la commune de Ntoum,
    – Réhabilitation des ouvrages d’eau potable du village Four Place,
    – Adduction d’eau potable Oyane 1, 2, 3 et 4.

    Nous voici en 2015, mais on assiste toujours aux mêmes délestages et aux mêmes coupures intempestives d’électricité, tandis que l’eau est rationnée. Le dernier et unique conseil présidentiel de l’eau n’a absolument rien changé.

    Face à toutes ces promesses non tenues, Mr J’AI DÉCIDÉ n’a plus effectué la deuxième tournée de Conseils des Ministres délocalisés qu’il a promis organiser en 2012 afin de juger sur le terrain des avancements de toutes ces annonces.

    https://www.facebook.com/notes/marcel-djabioh/avant-de-commencer-la-campagne-pour-2016-faites-dabord-le-bilan-des-promesses-v-/632166933542789?pnref=story&utm_content=buffer51ac2&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

  12. rtg1 dit :

    Zone économique Spéciale de Luanda en Angola… 😉

    https://www.youtube.com/watch?v=rhrS04g8ZYM

  13. Gaboma power dit :

    En ce qui me concerne Billiè By Nze occupe la bonne place et il fait très bien sont boulot de porte parole

  14. Michaxe dit :

    Le porte parole maîtrise son boulot la preuve il fait toujours mieux comprendre tous ce qui semble flou

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