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Bambino Village : 20 ans au service de la jeunesse du Gabon
Créé en 1997 à Libreville, le groupe scolaire qui a formé des milliers de jeunes gabonais a célébré le week-end écoulé son 20e anniversaire au cours duquel plusieurs dizaines d’enseignants et membres du personnel ATOS ont reçu des médailles de la part de l’Inspection générale du Travail.
Le Groupe scolaire Bambino Village a célébré, le 5 mai à Libreville, son 20e anniversaire. © Gabonreview
L’ambition était grande, le pari fou. Pourtant, Pascale Milan y avait cru dès le début, lors de la création de cette école maternelle en septembre 1997. Située à Nzeng-Ayong dans le 6e arrondissement de Libreville, elle est destinée à l’épanouissement des enfants, y compris ceux issus de familles modestes.
Moments de la célébration, avec Pascale Milan et les employés honorés. © Gabonreview
«Sans fausse modestie, en toute humilité et sans aucune arrogance, une analyse honnête du parcours et de la position de notre institution aujourd’hui nous permet de dire haut et fort : mission accomplie», a clamé la fondatrice de Bambino Village, samedi 5 mai, à l’occasion de la célébration du 20e anniversaire de ce qui est devenu un groupe scolaire de 4 établissements et 2 extensions à Libreville, Owendo et à Akanda. Le groupe revendique la formation de «plus de 15 000 élèves» depuis sa création.
Si Pascale Milan et les siens ont cru en leur projet, c’est qu’ils estiment que le développement d’un pays passe nécessairement par l’éducation de sa jeunesse. «L’éducation qui est notre secteur d’activité, n’est pas un domaine ordinaire. Il représente le socle sur lequel reposent la construction et la prospérité des nations. Il n’y a pas de nation forte sans une école forte», a soutenu Mme Milan, rappelant que l’idée de doter le Gabon d’un groupe scolaire lui est venue plusieurs années plus tôt, alors qu’elle était directrice de l’école Bambino en Guadeloupe. D’où le nom Bambino Village donné à son groupe scolaire au Gabon.
20 ans après sa création, le groupe scolaire aujourd’hui dirigé par Ambre El Hajj n’a pas fini de se lancer des défis, mais reconnaît aussi des «menaces immenses sur le chemin de la pérennité». D’autant que «chaque jour la concurrence s’intensifie et devient de plus en plus rude». Aussi, la fondatrice a-t-elle exhorté enseignants et personnels ATOS à ne pas dormir sur leurs lauriers. «J’exhorte les uns et les autres à demeurer professionnels, combattre la routine et à se recycler pour garder intacte notre force de travail», a adressé Pascale Milan à ses collaborateurs.
La célébration des 20 ans d’existence de Bambino Village a également été l’occasion d’honorer les employés comptabilisant entre 10 et 21 ans d’expérience, dont 18 pour certains au sein du groupe scolaire. 64 employés, dont la directrice générale, ont reçu des mains de l’Inspectrice générale du travail la médaille de bronze et 7 la médaille d’argent.
10 Commentaires
Pascale Milan… A-t-elle fini la traite des nègres dans laquelle elle vautre depuis tant d’années? Dans la jouissance des grandes combines orchestrées par son défunt Cuisinier de mari, et aujourd’hui avec sa file devenue bras séculier de toutes combines, les enseignant(es) gabonais(es) de son école croupissent dans les bas salaires, des retenues injustifiées et un mépris qui n’a d’égal que la confiance et le soutien dont elle jouit dans ce système pourri. Je citerai les noms (des parents gabonais)qu’ils se sont trouvés et qui leur ont offert la nationalité gabonaise comme de la pistache. I est vrai que dans un système du crime économique et de la corruption généralisée, la valeur de l’identité nationale est jetée aux orties. Donc vingt ans de richesse pour elle sa famille en France et celle préfabriquée du Gabon (Ils se reconnaîtront).
Au fait, elle n’a jamais rien dit de son court séjour aux Antilles…Nous y reviendrons.
Si elle lit ceci ou le fait lire, elle saura que je suis fin connaisseur de ce dossier Bambino Village.Peut-être aura-t-elle le courage de me persuader du contraire. Et là, avec plaisir, nous reviendrons en détail, point par point.
Chère Axelle,
C’est au gré de mes pérégrinations sur la toile que je suis tombé sur vos propos que je pourrais surnommés « la violence des mots ». Alors je me permets de réagir. Naturellement nous pouvons en debattre point par point, mais hélas, à quoi cela servira-t-il si vous êtes sur la ligne des attaques personnelles. Dans vos simagrées, vous pensez sembler avoir la maîtrise du dossier « Bambino Village », mais détrempez-vous, tout ce qui ressort dans vos propos ne sont que haine et jalousie dont peut seulement avoir un individu qui n’a Jamais rien fait pour les gabonais. Si cette dame Pascale Milan, qui après avoir quitté à plus de 6000 km pour venir promouvoir l’éducation au Gabon, il est où votre problème ? Elle a perçu une opportunité comme tout être humain dans ce monde, elle a fait d’énormes sacrifices pour en arriver là. Elle a eu besoin des ressources telles des compétences et des gabonais sont venus de partout pour poser chacun sa pierre.Vous parlez de « racisme », mais laissez moi vous dire que vous confondez discipline et racisme. Comme tout promoteur, redemandez de la rigueur et de la discipline pour la bonne marche de son institution ne doit pas être perçu comme étant du racisme. Et puis c’est un groupe privé. Pascale Milan n’a jamais attaché personne. Celui ou celle qui se sent mal, la porte est grande ouverte. Ensuite Je vous rappelle que lorsqu’on a la chance d’ouvrir une PME, n’est ce pas pour en tirer des bénéfices et en jouir? Par ailleurs, savez vous combien de gabonais et de gabonaises sont employés au sein du groupe ? Pas sûr ! Car en insultant la valeur cardinale de cette institution, vous portez évidement atteinte à ces employés. Votre haine à l’endroit de sa file est injustifiée. Comme toute oeuvre humaine, il y a peut être des imperfections, mais cela se corrigeront sans nul doute. Que voulez vous à la fin ? Êtes vous le représentant d’un groupuscule ? Changez de paradigme ! Diantre ! Voilà POURQUOI l’Afrique n’avance pas. Attaquer un groupe qui s’investit à occtroyer un système éducatif performant à la jeunesse gabonaise est une honte. Il est trop facile de porter des critiques ou un jugement négatif sur les autres. Commencez par ouvrir une activité et employez des gabonais ensuite nous verrons en quoi vous êtes capables.
Grand bravo à Bambino Village: 20 ans et 15000 enfants formés, c’est juste énorme…. Mon fils y est depuis 8 ans et votre travail est vraiment magnifique.
Merci pour ces programmes et ces valeurs enseignées à nos enfants et encore bravo à ces enseignants qui ont donné 18 ans de leurs vies à vos côtés…
Allez y de l’avant.
Je reprends cette belle phrase de la fondatrice madame Milan.P.
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L’éducation, et la bonne est essentiellement l’origine de toute réussite étatiques. Lorsqu’une population, depuis son bas âge est très bien formée, il est plus évident que le développement soit. L’éducation est alors la base de tout développement étatiques. Aussi, comme elle a pu le souligner, les enseignants se doivent de subir un recyclage car, le monde actuel évolu chaque instant, et le groupe Bambino se doit d’emboiter le pas dans cet univers où la diversité des connaissances est plus en plus naissante.
Particulièrement, j’aime ce groupe, pas parce-que j’ai des neveux et nièces qui y sont, mais parce-que c’est un des établissements scolaires qui répond aux normes que devrait avoir une école.
Quoiqu’il n’y a pas tout ce qu’il faut mais l’essentiel y est et je dis chapeau à la fondatrice.
Enfin, c’est sur et certain, quand j’aurai mon bambin bah, il aura son village pour apprendre tout ce qui élémentaires mais essentiels pour la vie des enfants.
Chapeau au groupe et félicitations pour les enseignants et leurs décorations du mérite.
maternelle 60mil / mois ( no cantine , no transport, no fourniture……) même pour une famille modeste , c’est cher !
alors le CP est a combien ???? CM ????? c’est énorme !
Il y a des écoles ici à Libreville qui sont à 100 mille francs cfa de la maternelle au primaire, je tairai les noms par discrétion.En plus,la cantine, le transport et les fournitures ne sont pas « cadeaux ». B.V. n’est pas une école publique mais une entreprise privée.Si vous ne voulez pas de la qualité, rien ne vous empêche de demeurer dans les « matitis ».
Je suis Gabonais, par ailleurs parent d’élève à Bambino village depuis un certain nombre d’années. Trois de mes enfants, dont un actuellement à l’université et deux autres qui sont au lycée sont passés par cet établissement. Un autre plus jeune y est encore actuellement en formation. Grâce à leurs solides bases, ils poursuivent leur scolarité avec brio. Tout le temps qu’a duré leurs parcours à Bambino, jamais je n’ai observé de la part du staff une attitude assimilable ou proche de l’arrogance. Cette structure scolaire est un bel exemple de réussite, même si cela peut gêner certains esprits. Son staff et toute l’équipe éducative méritent toute la reconnaissance du peuple gabonais. Personnellement, j’entretiens des relations très proches avec les différents enseignants de mes élèves. Tous autant qu’ils sont m’ont toujours parlé d’un bon témoignage de leur staff dirigeant. Faisons du succès des autres une source de motivation pour tous. Ainsi va la vie !
Cultiver les valeurs morales (le respect, la compétence, l’égalité, l’amour, le partage) et assurer un enseignement de qualité ainsi qu’accomplir un épanouissement psychologique des élèves et du corps enseignant, tels sont les objectifs permanents de Bambino Village, surtout de la personne qui l’incarne.
Pour ceux qui ne le savent pas, ce groupe scolaire scolarise plus d’une cinquantaine d’enfants défavorisés gratuitement et ceux depuis des années, sans parler des orphelins et divers aides qui font la réputation de Bambino Village.
Aujourd’hui Bambino Village m’offre une vie sociale et financière depuis plus de 10 ans, Mme Milan n’est rien d’autre qu’une femme au grand cœur qui ne compte pas ses heures pour nous offrir des conditions de travail appréciables ainsi qu’un travail pédagogique incomparable à la concurrence.
Nous sommes plus de 150 employés (à majorité gabonaise) qui ont passé plus de quinze ans de leur vie professionnelle dans la même institution. Il est inadmissible de faire croire à l’opinion que les conditions offertes à ces derniers ne soient pas les meilleures. Vous pensez savoir mais finalement à part avancer des propos haineux vous ne savez pas grand chose.
Cette institution s’est toujours conformée aux décisions et mesures visant à l’amélioration des conditions de vie des travailleurs dans notre pays, aucun employé de Bambino Village n’est payé en dessous du Smig , si vous maîtrisez si bien le dossier « Bambino Village » !
Il est malheureux de voir que quand une personne brille il faille la salir.
Propos d’un enseignant ayant passé plus d’une décennie de carrière au sein de ce groupe scolaire.
Accuser Mme Milan d’exploiter les gabonais???? Du grand n’importe quoi. 5 ans que mes enfants sont à Bambino et je vois TOUJOURS les même professeurs, le sourire aux lèvres, disponibles et adorables avec les enfants. Le niveau est excellent, l’ambiance chaleureuse. Mme Milan et Ambre ont su créer un esprit de famille sans égal. Bravo à vous Mesdames.
Bonjours à tous étant employée depuis plusieurs années au sein du groupe Bambino Village et y ayant mes enfants scolarisés, je suis outrée, choquée des propos de Mr MBALLA quo de dit Fin connaisseur… Étant au cœur du système je peux vous dire que Mme MILAN et sa fille sont des personnes droites, honnêtes au grand cœur que ce soit auprès de leurs employés ou auprès des œuvres caritatives. Pourquoi autant de mépris ? Ou serait ce de la jalousie ? Nous venons de fêter nos 20 ans, tous les employés étaient heureux et certains ont même fêté leur 20 ans de boîte. Beaucoup pour des employés exploités ? Je pense que ce genre de commentaires polluent notre société car de 1 établissement nous sommes passés à 4 plus 2 annexes et que plus de 15 000 enfants ce sont assis sur les bancs de BAmbino VIllage c’est que notre réputation n’est plus à faire .