Si le président de la République impose sa vision, le climat actuel est loin de rassurer les siens et l’opinion. L’avenir du PDG voire du pays tout entier semble s’écrire en pointillés…

© D.R.
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Ali Bongo ne veut rien savoir. Il ne s’écartera pas de sa trajectoire. Il n’écartera pas ses amis, ceux que l’opinion désigne sous l’appellation «légion étrangère». Il ne renoncera pas non plus à la mise en œuvre du Plan stratégique Gabon émergent (PSGE). Sa stratégie est la seule qui vaille, la seule capable de déboucher sur une «transformation du Gabon». Des preuves ? «Dans le domaine des infrastructures (…), notre pays poursuit résolument sa transformation», a-t-il répété lors de son discours à la nation du 17-août dernier. Pour lui, la population gabonaise est «le fruit d’un peuplement issu des quatre coins du continent, par des hommes et des femmes qui fuyaient la guerre, la famine, les maladies, afin de trouver paix et sécurité en cette terre hospitalière», comme il l’avait si bien dit le 12 septembre 2012 devant les 2 chambres du Parlement réunies en congrès.
Peu lui importe si, ces assertions sont battues en brèche, combattues, dénoncées par une partie de l’opinion, y compris dans les rangs de l’actuelle majorité. L’essentiel est que les Gabonais gardent «foi en nos capacités à transformer notre environnement». Le président de l’Assemblée nationale a beau s’émouvoir de ce que «les gouvernants actuels pensent que le Gabon a commencé en 2009», rien n’y fait. Le président de la République poursuit son chemin. Et si le secrétaire général du PDG reconnaît que son parti rencontre «une forte adversité sur le terrain», que «(sa position actuelle réduit (sa) marge de manœuvre, dans ce sens (qu’il ne peut) plus agir qu’indirectement», allant jusqu’à conseiller à ses proches d’utiliser «toutes (leurs) connaissances, amis ou parents, capables de (les) avancer», il se mure ensuite dans un silence assourdissant, comme s’il avait subitement peur de la résonance de ses propos.
Dans L’avenir en confiance, Ali Bongo avait-il promis «poursuivre l’ancrage de notre système institutionnel sur des institutions solides et une gouvernance incontestable» ? C’est la loi du silence qui triomphe aujourd’hui. Avait-il annoncé devoir «restaurer le goût de l’effort, du travail bien fait, du mérite, de la rigueur et du professionnalisme» ? La politique des dons, les marchés de gré à gré, la «préférence partisane ou idéologique» sont plus que jamais de saison.
Climat délétère
Visiblement il a changé d’avis après être passé de L’avenir en confiance au Plan stratégique Gabon émergent. «Je vous ai entendu nous dire combien la corruption, l’absence d’engagement, l’irresponsabilité, le dilettantisme, en un mot notre rapport au travail, notre rapport à la chose publique doivent absolument changer», avait-il lancé le 26 avril 2014 lors de la clôture des Assises sociales. «Des réformes sont retardées par les pesanteurs diverses, par la bureaucratie ou la mauvaise volonté des personnes qui n’ont pas compris que nous avons changé d’époque», avait-il dit dans son discours à la nation du 16 août 2013. Les pesanteurs diverses et la bureaucratie sont, sans doute, les causes premières de cette fracture qui guette chaque jour davantage le Gabon. Or, les militants PDG de toujours, ne sont pas forcément ceux qui occupent les meilleurs bureaux. Tels des objets politiques non identifiés, une caste de nouveaux apparatchiks est apparue. C’est pourquoi, les ténors de la majorité soutiennent désormais du bout des lèvres quand ils ne s’engagent pas à reculons.
Bien qu’il soit mené sous cape, dans le confort douillet des salons feutrés, le débat sur le destin de l’actuelle majorité et le devenir du pays fait rage. Même s’il s’était empressé d’atténuer son propos en indexant de prétendus «commanditaires», Faustin Boukoubi l’a reconnu, de manière sibylline, lors du Conseil national du PDG en avril dernier : «Mon rôle m’amène parfois à relever tout ce que murmurent les militants et d’autres citoyens», avait-il lancé en référence à ses précédentes sorties, quand il laissait apparaître son malaise autant que son mal-être. «C’est parce que nous ne communiquons pas assez sur nos réussites que nous laissons certains esprits malveillants les dépeindre en échecs», avait semblé lui repondre Ali Bongo, reconnaissant implicitement que le doute s’est emparé de la troupe et surtout que l’adhésion de l’opinion est plus que jamais loin d’être garantie. Tant s’en faut…
Pour l’heure, cadres, militants, sympathisants regimbent, s’interrogeant sur la suite des événements. «L’on doit convenir que le climat actuel au Gabon n’est pas serein. Il est délétère, lourd », disait déjà Paul Biyoghé Mba en septembre 2012. «J’observe la montée réelle de nombreuses tensions politiques et sociales dans notre pays», renchérissait René Ndemezo’Obiang à la même époque. Des propos qui n’ont pas pris une ride. Bien au contraire, ils sont d’une actualité brûlante au regard de la passe d’armes à laquelle se livrent Jean Ping et Ali Bongo. «Nous constatons la mauvaise gouvernance politique avec à la tête du pays un président autocratique qui gouverne seul, entouré de ce que nous appelons la « légion étrangère« », a récemment accusé l’ancien président de la Commission de l’Union Africaine. «Jean Ping, (…) a un problème avec moi. Je constate (…) qu’il s’est joint à la cohorte d’un certain nombre de leaders politiques qui n’ont, vis-à-vis de ma personne et du parti que je représente, que de la haine », a rétorqué le président de la République.
Chiffres de la pauvreté
Un président de la République qui parle de «haine» à son endroit et vis-à-vis de son parti ? Il y a, dès lors, des raisons de s’interroger sur une éventuelle adhésion à son projet supposé et sur sa volonté de «consacrer toutes (ses) forces au bien du peuple Gabonais» dont Jean Ping et la «cohorte de leaders politiques» mise à l’index font partie. Mais, Ali Bongo continue de penser que le seul fait de brandir ou disposer d’éléments programmatiques suffit à hâter le développement du pays, à conduire les populations vers les prairies d’abondance. «Il n’y a pas de projet», assène-t-il comme pour éluder le débat sur le climat politique.
Reste une réalité qui ne relève ni d’une vision ni d’une lecture idéologique : les chiffres de la pauvreté au Gabon sont inquiétants. En clair, 95 000 foyers, soit 30% de la population gabonaise, perçoivent des revenus 7 fois inférieurs à la moyenne nationale. Or, la pauvreté est un terreau sur lequel prospèrent l’intolérance et toutes les formes d’extrémismes. Pour la combattre efficacement, un minimum de consensus national est nécessaire. Pour tout dire, une paix véritable est un préalable au développement. «Il faut qu’on décrispe d’abord l’atmosphère et à partir de ce moment on pourra instaurer un dialogue où chacun amènera ce qu’il voudra et le gouvernement devra alors quand même admettre les positions acceptables de l’opposition, pour qu’il y ait la paix», lançait déjà René Radembino-Coniquet en septembre 2012. «Tant que le gouvernement ne l’acceptera pas (…), on n’aura pas la paix», ajoutait-il, avant de conclure : «La paix ce n’est pas seulement l’absence de guerre, c’est aussi le fait que dans un pays les gens ne se regardent pas, ne se parlent pas et qu’un jour, on ne sait jamais même si on est un pays de paix, ça peut éclater». Bien qu’il ne fut pas écouté, le désormais regretté président du Sénat, livrait, sans doute là, son testament politique….
 

 
GR
 

33 Commentaires

  1. Tu finiras par te retrouver au village de si je savais ! ». Un président homme d’affaire qui prépare un coup d’état contre lui même .

  2. keller dit :

    Bonjour,je pense que la majorite gagnerait en associant les forces vives de la nation.Pourtant ils parlent tous de consensus.IL n’est pas trop tard pour bien faire.

  3. supernova dit :

    Roxanne Bouenguidi existe t’elle vraimenent? Quel talent!!! Des analyses tjrs poussèes Mme vous avez mon respect

    • albert dit :

      Mais voyez vous c’est la preuve que au gabonil y a de vrais journaliste et non des communicateurs (c’est pas la même chose). mais malheureusement ces talents ne peuvent pas être mis à la lumière du grand jour, si non le RTG meurt.
      Félicitation et bonne continuation Roxy!!!!

  4. noumba dit :

    Ali bongo doit partir c est tout !!!!l impunité c est lui il vole des éléctions!il sera battu en 2016 si il y a 2016!son départ est proche by bye bye nigerien!

  5. koumba dit :

    Frère tu as raison ce rat du partir avant 2016 il a montré c est lui limite par amour du béninois et la légion étrangers qui volent notre pays a cause d ali bongo voleur!l impunité ce que tu dois partir maintenant avant que ton cpors ne traine dans les rues de Libreville!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  6. Bibang bi ze dit :

    Roxane Bouenguidi, Je suis grandement surpris à la lecture de tes articles, seules Jonas Moulenda m’a autant surpris de par la manière d’analyser et de faire évoluer son lecteur dans sa  » storyline » pour l’emmener à comprendre. ce type journalistique est remarquable mais reste encore que les gens sachent te lire et en deduire une compréhension objective, sinon ma chère bientot tu seras taxée et attaquée par Bilié Bi Nzé, l’aboyant et tous ces personnes qui veulent montrer ou demontrer à l' »élue des Gabonais »/ « Héritier du trône Gabon » qu’il le défendent mieux que lui-même… je passe pardon mais encore félicitation et bonne continuation…

  7. Le vrai Gabonais dit :

    Ali BONGO, tout ce que tu manigances en ce moment va se retourner contre toi.
    Salut

  8. valet des Bongo dit :

    ALi Bongo « l’impunité » sera fini au Gabon lorsque toi et ta LEGION FAMILLIALE vous serrez arreté et partirez du pouvoir. tu n’est pas crédible ALI, ont te connait depuis, ont connais ton Histoire,ton parcours, et l’Histoire de l’Heritage volé au gabonais pendant 47ans que ton « pere » ta laissé. Tant que toi et ta famille serez au trone,l’impunité continuera. Tes propos incantatoires bernent les imbeciles, rassurent tes soutiens et renforcent la determination de ceux qui veulent vous chasser du trone toi et ta LEGION POLITICO-FAMILLIALE

  9. louba goyi dit :

    Il ne faut quand mm pas oublier ce que ce pays a été avant 2009 !
    On ne respirait pas avec tous ces roitelets et leurs affidés qui faisaient ce qu’ils voulaient comme ils voulaient …
    Ali nous en a débarrassé.
    Revenir dans ce climat ? Non merci !
    Maintenant, est ce qu’il fait bien ? Non, il peut mieux faire …

    • valet des Bongo dit :

      Ali ta debarassé de qui? de MARIE-MADO qui trone a la cour constitutionnelle depuis 20ans? de Ngoulakia qui est a la tête de la cour des comptes depuis 20ans? de Nzouba qui est a la tête de l’assemblée depuis plus de 15ans? ou bien tu veut nous faire croire que Ali Bongo nous a débarrassé de « sa famille » prédatrice? Tous les Bongo sont actionnaire dans toutes les entreprises du Gabon depuis 47ans,nous en a-t-il débarrassé? Alors trouve de vrai argument pour défendre ton champion. Il ne peu rien faire parce que c’est un Bongo et aucun Bongo n’aime ce pays,ils aiment juste son argent…..

  10. Don Corleone dit :

    Roxane Bouenguidi, chapeau bas!! vous faites la fierté des journalistes au Gabon rien avoir avec les vouvouzelateurs de Gabon Télévision, Radio Gabon, L’Union et autre Gabon Matin, vous faites du vrai journalisme vos analyses sont: « So Right »

  11. Bill Ngana dit :

    Ali Bongo Ondimba apparait chaque jour, ainsi que le dépeint cet article, comme un président ayant un double discours, l’un dirigé vers des compatriotes qui veulent l’entendre sur l’évolution de « ses » projets de société et de développement, sur l’accroissement de leur bien-être, sur la résolution de leurs difficultés quotidiennes, etc. Il sait faire ces discours sans que ceci lui coûte quoi que ce soit. Mais, malheureusement, il ne sait pas traduire en actes ces belles formules oratoires. Peut-être parce qu’il est toujours entre deux avions ou simplement, parce qu’il s’ennuie des Gabonais et de leurs problèmes ? Ce qui en fait de précieuses occasions perdues inutilement. De l’autre, ABO a un discours enflammé, orienté vers ses détracteurs supposés (dont il nous fait la démonstration qu’ils ne lui laissent pas le sommeil tranquille). Il tient assurément ce type de discours sous cape mais il sait les appliquer avec un soin méticuleux sur le terrain. Ce qui explique un certain nombre de phénomènes dans la vie publique gabonaise, comme par exemple la peur viscérale que certains hommes politiques ont de lui ; comme, par exemple, le fait que nombre de ses collaborateurs tiennent publiquement des propos largement condamnables contre l’unité nationale sans que la Justice de notre pays s’en émeuve, ou sans jamais non plus, rencontrer la désapprobation du président lui-même. Ou des autres membres de l’Exécutif.

  12. kenzo dit :

    en Homme averti, un bon manager voit venir le danger. mais comme celui que nous avons à la tête du pays n’en est pas un, c’est dommage car il tient mordicus à sa légion étrangère au détriment des gabonais. au moins vous l’auriez averti avec de textes intéressants comme celui que je viens de lire.

  13. manondzo dit :

    Racontez! Racontez! vous vous réveillerez au lendemain de la présidentielle de 2016 avec la gueule de bois comme en 2009, Parions!

    • La cigale dit :

      @manondzo. Contredis ce qui est écrit ? Les citations ne sont-elles de vos gens ? Continuez à compter sur les fusils…. Un jour ces fusils-là se retourneront contre vous… Vous avez oublié 1964, vous avez oublié 1990… Vous avez oublié 1994… Sachez que cette fois-ci, il n’ y aura pas de légionnaires français pour tuer les Gabonais et vous maintenir au pouvoir… Petit esprit va… !!!

    • valet des Bongo dit :

      Manondzo,j’admire ton honneteté, tu avoue donc que vous allez encore tricher en 2016 comme vous l’avez fait en 2009. Bravo chere gabonais qui legitime le detournement des votes des compatriotes comme toi. ton arrogance est à l’image de tes mentores. Cela etant dit, permet moi de te faire un peu sortir de ta bulle emergente:
      – 2016 ne sera pas 2009 parceque les elections de 2009 etaient précipités et le passage en force de ton champion a eu lieu.
      -Cette fois nous les 80% de gabonais qui detestons se regime, nous avons 2ans pour nous organiser et c’est ce qui est fait par le Front.
      -Enfin,pense tu vraiment que dans le monde d’aujourd’hui, Ali Bongo puisse faire aussi 42ans de pouvoir comme son pere?
      -Moi j’en doute fortement car ces methodes et son language ne sont pas ceux de son pere!
      -Pour conclure, cher defenseur des Bongos, un jour tu te reveillera surpris par le depart des Bongo parceque pour le moment ta bulle emergente t’aveugle, mais soit patient,les Bongo partirons….

  14. Akieni dit :

    @Manondzo
    Tu paries combien ? Le fait que tu passes ton temps a réagir sur la toile tout les jours prouve que tu es perturbé.
    Souviens toi de 1989/90 , les mêmes causes produisent les mêmes effets !

  15. Omar Bongo avait fait pipi dans sa culotte en 1990. Sans l’intervention des parachutistes français, il aurait fui le Gabon pour toujours. Ali lui fera caca dans son froc en 2016. Et cette fois la nébuleuse françafrique ne sera pas de son côté. Surtout que les centaines de milliards détournés depuis 2009 lui font tourner la tête et le rend arrogant et méprisant à l’égard même et de cette nébuleuse et de celles et ceux qui, au Gabon, l’ont aidé à faire son passage en force en 2009.Vous rajoutez à cela le contexte socio-économique et politique exécrable qui sévit au Gabon et vous comprendrez que les conditions d’un départ forcé d’Ali Bongo sont réunies. Sachant qu’il ( Ali Bongo) voudra gesticuler comme d’habitude dans zéro avec sa milice et ses bérets qui ne valent rien face à une autre force Armée, une force d’interposition internationale sera positionnée au Gabon en 2016. Que celles et ceux qui pensent que 2016 sera un 2009 bis se réveillent !!!

    • manondzo dit :

      Rêve toujours! C’est sûrement dans tes rêves que tu t’entretiens avec Obama et Hollande, pour ne citer qu’eux,quand tu te réveilleras tu comprendras ces messieurs n’ont pour seul intérêt que l’économie.

      • La cigale dit :

        manondzo. Et depuis que ton Ali est là il a fait quoi pour leurs économies ? Olam c’est eux ? Chasser BHP Billiton pour prendre des artisans indiens, c’est ça l’économie ? Interdire l’exportation des grumes et asphyxier Rougier c’est ça l’économie… Bougre, réveille-toi manondzo…. Ton inculture fait peur…

  16. valet des Bongo dit :

    Manondzo,j’admire ton honneteté, tu avoue donc que vous allez encore tricher en 2016 comme vous l’avez fait en 2009. Bravo chere gabonais qui legitime le detournement des votes des compatriotes comme toi. ton arrogance est à l’image de tes mentores. Cela etant dit, permet moi de te faire un peu sortir de ta bulle emergente:
    – 2016 ne sera pas 2009 parceque les elections de 2009 etaient précipités et le passage en force de ton champion a eu lieu.
    -Cette fois nous les 80% de gabonais qui detestons se regime, nous avons 2ans pour nous organiser et c’est ce qui est fait par le Front.
    -Enfin,pense tu vraiment que dans le monde d’aujourd’hui, Ali Bongo puisse faire aussi 42ans de pouvoir comme son pere?
    -Moi j’en doute fortement car ces methodes et son language ne sont pas ceux de son pere!
    -Pour conclure, cher defenseur des Bongos, un jour tu te reveillera surpris par le depart des Bongo parceque pour le moment ta bulle emergente t’aveugle, mais soit patient,les Bongo partirons….

  17. Marcel L dit :

    @Manondzo
    Après « Grogne d’Afrique « ,AKASSAGA dans les Akebe,les journeaux la Loupe et L’aube que vas tu encore inventer ?
    L’armée sur laquelle vous compter pour vous maintenir aux affaires semble avoir changée son fusil de direction !
    Tu mangeras le « Pain de la souffrance « !

  18. manondzo dit :

    Détrompez vous! Je persiste et signe: Ali remporte la présidentielle en 2016. Quelqu’un a parlé de 80% de citoyens acquis à l’opposition; Ces sondages sortent de son imagination hallucinante; et pour quelle opposition? Celle qui ira en marche dispersée? Les PDGistes vous attendent à ce moment pour un mémorable laminage!

  19. Ayo p dit :

    Aujourd’hui , c’est  » Manondzo » qui est  » responsable des réseaux sociaux « . de l’émergence !
    Tu es trop agité pour être confiant , ta boulimie traduit ton état d’esprit !
    On te laisse avancer pour quelle direction ? Le « Non événement  » est à NEW YORK en ce moment avec « les décideurs  » ! Qui vivra verra .

  20. Erreurs de frappe mais l’essentiel est dit…

  21. douckdouk dit :

    A lire Manonzo, il n’est pas gabonais, ce sont ces béninois cachés dans l’ombre et qui se font passer pour des gabonais- car un gabonais qui l’amour de sa patrie ne se risquerait pas à encourager un régime de 47 ans qui détruit les réves des vrais gabonais- et cela cela se trouve, il est l’un de ses personnages à qui on demande de ramasser les clés parterre. je suis très triste pour mon Pays et à la fois pitié pour ce genre de personnage qui vendent leurs ames. Le jour où se pays changera de système, il sera le premier à insulter les bongos,et se faire passer pour un opposant, car le fusil aura changé d’épaule. que Dieu l’aide…afin de sauver cette âme damnée.

  22. douckdouk dit :

    Erreurs de frappe, il aura néanmoins compris.

  23. doukdouk dit :

    malgré ton bagage, intellectuel, tu n’aimes pas ton pays- car pour un tel gachis par un telsysteme que tu continues à soutenir,tu es une equation à résoudre… c’est dommage

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