Plaçant l’année 2017 sous le sceau de la consolidation, le président de la République a reconnu que l’année 2016 a été «très difficile», aussi bien à cause d’une crise économique mondiale ayant impacté le Gabon qu’en raison d’un climat électoral et postélectoral marqué par la haine de l’autre. S’il a feint d’omettre les pertes en vies humaines ayant suivi la contestation de sa réélection, Ali Bongo n’a pas moins espéré que la Can qu’accueille son pays et le dialogue politique qu’il entend organiser après cet évènement permettront de consolider les liens fraternels entre Gabonais. Dans l’adresse à la Nation publiée intégralement ci-après, il promet d’ores et déjà de grands changements dans la gestion des institutions républicaines, dont le modèle, a-t-il estimé, date d’un autre temps.

Ali Bongo Ondimba, président de la République gabonaise. © DCP-Gabon


 

VŒUX 2017 A LA NATION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L’ETAT

Gabonaises, Gabonais,

Mes chers compatriotes,

A l’heure des traditionnels vœux de nouvel an, c’est avec émotion que je m’adresse à vous à l’occasion de cette tradition devenue tant familiale que républicaine.

A chacune et à chacun, je voudrais souhaiter que l’année 2017 apporte le meilleur.

Qu’elle soit une année de paix, de bonheur, de prospérité pour chacun et pour notre pays le Gabon.

Mes chers compatriotes,

L’année 2016 qui s’achève a été une année très difficile, marquée au niveau international par une crise économique qui n’a épargné aucun pays, mais aussi par des violences et des conflits de toutes natures qui ont endeuillé de nombreuses familles de par le monde.

Le terrorisme, drapé du sceau de la haine et du fanatisme religieux, a frappé toutes les régions du monde et marqué de manière durable les esprits tant son action est apparue aveugle et barbare.

Au plan intérieur, malgré les efforts engagés par le Gouvernement pour soutenir les ménages et diversifier l’économie, nombre de nos compatriotes ont ressenti très durement les contres-coups de la crise économique mondiale. De nombreux emplois ont été perdus dans le secteur du pétrole notamment.

Mais l’année 2016 a également été difficile du fait d’une campagne électorale marquée par des discours de haine, et par une situation postélectorale qui a atteint des niveaux de tension inacceptables pour notre peuple.

Les mots de haine, lâchés sans tabous et sans limites, ont laissé des blessures profondes au sein de nos familles et dans la société gabonaise.

Il nous faut à présent, en toute responsabilité, panser nos plaies et reconstruire ensemble, le lien social et le vivre ensemble qui le sous-tend.

Mes chers compatriotes,

Comme je l’ai déjà dit en d’autres temps, l’entreprise démocratique n’est ni un long fleuve tranquille, ni une œuvre facile. Il s’agit plutôt d’un édifice en perpétuelle construction et reconstruction.

En effet, aucune Nation au monde ne peut prétendre en avoir atteint l’achèvement. Dans cette matière, il n’y a ni modèle définitif, ni bon point à distribuer. C’est au génie de chaque peuple de trouver sa propre Voie.

C’est pourquoi, j’ai instruit le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, de réunir très rapidement les conditions d’un dialogue politique, rendu indispensable par la volonté générale d’écrire un nouveau chapitre de notre histoire commune.

Ce dialogue politique, qui s’ouvrira au lendemain de la Coupe d’Afrique des Nations 2017, devra aborder toutes les questions relatives à la vie institutionnelle de notre Pays, à son développement et au renforcement de sa place dans le concert des Nations.

Pour ce faire, je souhaite la participation de tous et la contribution de chacun, afin que cette rencontre soit l’occasion du raffermissement de nos institutions, de la consolidation de notre démocratie, de la paix et de l’unité nationale.

 Par notre aptitude au dépassement, nous devrons prouver à la face du monde la maturité du peuple gabonais, et sa capacité à résoudre par lui-même ses difficultés.

Mes chers compatriotes,

Je voudrais ainsi placer l’année 2017 sous le sceau de la Consolidation.

Consolider le lien social si durement attaqué par la rancune, l’invective, la haine et la calomnie.

Consolider également la solidarité nationale mise à rude épreuve par l’égoïsme, l’égocentrisme et le tribalisme.

En effet, plutôt que de penser «Gabon d’abord», certains compatriotes, à des niveaux d’éducation et de responsabilité parfois très élevés, continuent de penser «moi d’abord», ma famille, mon ethnie sans jamais penser au Gabon.

Ces comportements antipatriotiques doivent être dénoncés, condamnés et réprimés, car leur persistance met à mal la solidarité nationale.

Il nous faut ensuite consolider notre pluralisme par le dialogue et l’inclusion.

C’est pourquoi, pour nos familles et pour notre pays, faisons le choix de la concorde et rejetons la discorde.

Faisons le choix du respect de l’autre et de l’amour fraternel et rejetons la haine et la violence. En effet, nulle part au monde, la violence n’a accouché d’un paradis. Elle ne peut donc être un mode de règlement des différends sociaux et politiques.

Mes chers compatriotes,

Il nous faut donc consolider notre Démocratie qui doit être plus en phase avec nos réalités, notre environnement, notre sociologie et nos valeurs traditionnelles profondes.

Cela passe notamment par l’amélioration de notre système électoral qui comporte, en effet, trop de risques de divisions et d’affrontements, et dont il nous faut absolument sortir.

Il nous faut également consolider notre système institutionnel, car, héritées de la Conférence nationale et des Accords de Paris et d’Arambo, certaines institutions méritent des évolutions et des adaptations aux nouvelles réalités de notre pays.

Il nous faudra enfin consolider notre économie pour la rendre plus robuste et plus compétitive, et par là même, assurer notre indépendance.

En effet, la diversification de notre économie et la transformation locale de nos matières premières sont devenues des impératifs absolus si nous voulons créer plus de richesses et plus d’emplois, en particulier, pour les jeunes et les femmes.

Mes chers compatriotes,

Des forces rétrogrades, ici et ailleurs, veulent nous empêcher de parvenir à cette indépendance, car elles tirent profit des rentes de l’ancien système économique au détriment de notre pays et des Gabonais.

Mais, je le dis et je le répète, la crise économique actuelle, aussi dure qu’elle soit, n’est pas une fatalité. Elle doit, bien au contraire, nous offrir l’opportunité de nous réapproprier notre économie et de libérer le génie créateur de notre Peuple.

Elle doit aussi nous donner l’occasion de mettre en valeur la terre gabonaise, sa culture, son art, son artisanat, sa gastronomie, sa musique, ses rites et ses danses, dont nous devons sans complexe être fiers.

Autant d’éléments décidés par Dieu et la nature, façonnés avec passion par nos ancêtres et que nous avons le devoir d’exploiter et de valoriser.

Mes chers compatriotes,

Je voudrais par conséquent vous parler de la Responsabilité.

Oui, mes chers compatriotes, je voudrais appeler chacun à plus de responsabilité en cette année nouvelle.

Responsabilité de faire correctement le travail pour lequel on reçoit une rémunération. D’autres, nombreux, aimeraient être à notre place.

Responsabilité de rendre compte de son action et d’assumer l’entièreté des actes que l’on pose. Ceci concerne autant l’infirmier que le médecin, l’instituteur que le proviseur, le planton que le directeur général d’administration ou le Ministre. En effet, la reddition des comptes est une nécessité absolue de l’action publique, et j’y veillerai.

Accéder aux responsabilités ou assumer une responsabilité ne doit pas comporter que des avantages, encore moins des avantages indus. Quoi qu’il nous en coûte, l’heure est plus que jamais à la fin des privilèges.

Chacun doit pleinement avoir conscience d’assumer les contraintes liées aux professions qu’il a choisies ou aux fonctions qu’il a librement acceptées.

Mes chers compatriotes,

Si nous voulons continuer à compter dans le monde d’aujourd’hui, nous devons changer nos idées, changer nos mentalités, changer nos comportements.

Nous ne pouvons pas être immobiles dans ce 21 ème siècle où tout va si vite.

 Soyons ouverts aux idées nouvelles, au flux du monde tout en demeurant vigilants et profondément ancrés dans nos valeurs traditionnelles bantu faites, dois-je le rappeler, de respect, de tolérance, de solidarité et d’abnégation au travail.

Ce sont ces valeurs que les Pères fondateurs ont inscrites, en lettres d’or, au fronton de la République gabonaise : Union-Travail- Justice.

Mes Chers Compatriotes,

Au moment où notre pays s’apprête à accueillir l’Afrique à travers l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations, je voudrais rappeler que cet honneur nous impose le devoir d’accueillir nos hôtes en manifestant notre traditionnelle hospitalité, pour que ces moments soient des occasions de joie, de cohésion et de bonheur partagés.

Au-delà de la dimension festive, il convient de souligner que cette CAN aura aussi permis aux villes qui abriteront la compétition de se doter d’infrastructures modernes.

Notre équipe nationale, les Panthères du Gabon, portera et défendra les couleurs de notre pays. A ces jeunes qui démontrent chaque jour que la compétition exige sacrifice, effort et constance dans le travail, nous devons apporter tout notre soutien.

 Mes chers compatriotes,

En ce début d’année 2017, j’ai une pensée toute particulière pour les forces de défense et de sécurité qui œuvrent, en tout temps et en tous lieux, à préserver l’intégrité du territoire et garantir la sécurité des personnes et des biens.

De même que j’éprouve affection et tendresse pour les malades et les personnes isolées. Que 2017 leur apporte plus de santé et de bonheur.

Enfin, Mes chers compatriotes,

J’implore le Très Haut pour qu’il nous inonde de Sa paix et nous aide à raffermir l’Unité et la Cohésion de notre très cher Pays.

Vive le Gabon. Vive la République. Je vous remercie.

 
GR
 

36 Commentaires

  1. Emeno dit :

    Tu peux toujours rêver Mr Ali Bongo.si tu penses que c’est la CAN qui va apaiser certains gabonais tu te trompes.Viens d’abord nous expliquer pourquoi tu as tiré sur des innocents, pourquoi les gens sont arrêtés arbitrairement et pourquoi tu t’imposes en tant que chef d’État dans notre pays.Le véritable changement est que tu acceptes ta défaite.

  2. gabon d abord dit :

    CHERS compatriotes, pour etre bref , je VEUX juste vous dire de faire une retrospective….
    A part les sorciers , les anciens prisonniers deshabilleurs des recteurs, OU les etrangers qui n etaient pas encore venus au Gabon avant le debut des annees 90….. ne peuvent pas croire a ce qui suit
    1— Apres la 1ere election presidentielle democratique et multipartisme–meme si la fraude etait visible mais le gabonais etait fier de son pays et meme de son president OMAR BONGO.
    2— libreville etait la meileur destination de tous les africains et beaucoup d europeens.
    3— les gabonais travaillaient sans greves et etaient obediants et se respectaient et s aimaient les uns les autres et encore plus leur president PAPA BONGO.
    4— libreville etait beau et l ambiance existait dans tous les coins de la capitale… exemple la creation de TV+ qui diffusait les nouvelles emissions musicales televisees comme le CARIOKE AU CAFE DEMAR , les grandes zones de rencontres – LA FOIRE, CHEZ JANOT , CARREFOUR SNI , CARREFOUR NZENG AYONG , AU PAVILLON DU PK12…….
    5— LES MORTS D OMAR ET EDITH BONGO d ou on a vu pour la toute derniere fois les GABONAIS AYANT UN EXPRIT COMMUN ET MANISFESTANT LE VIVRE ENSEMBLE……….
    AU FAIT JE SUIS JUSTE ENTRAIN DE DIRE QUE COMME DOUG SAGA AVAIT APPORTE LA JOIE EN COTE D IVOIR PENDANT LA GUERRE , ALI BONGO LUI A SON TOUR APPORTE LA COLERE , LE HAINE , LES CRIS , LES PLEURS ET LES GRISSEMENTS DE DENTS AU GABONAIS
    MAUVAISE ET MALHEUREUSE ANNEE 2017 MR LE PRESIDENT ALI

    • diogene dit :

      Je vois que vous vivez dans le bongoland, pays de mensonges, bêtises et brutalités.
      Le pire c’est que vous y croyez aux énormités de la propagande omarienne.
      Omar : assassin multi récidiviste, voleur invétéré…
      Sa politique : tout pour moi. Pas de social, les allocations familiales n’ont pas augmenté pendant plus de vingt ans, les salaires des fonctionnaires bloqués, pas de couverture maladie efficace…
      Education en faillite jusqu’à 200 élèves dans une seule classe en primaires, les étudiants assis par terre…
      L’agriculture, la pêche qui disparaissent…
      Papa bongo , c’est à dire le paternalisme comme crédo, les citoyens sont des enfants donc irresponsables, incapables de prendre la moindre décision ou initiative.
      Interdiction de remettre en doute la parole du paternel.
      En un mot : esclavagisme.
      En deux mots : néo colonialisme.
      Émancipez vous devenez Gabonais.

  3. Ré-Nimah dit :

    Il ne s’est pas emeut des morts causees par ses milices sous ses ordres,quel cynisme .Il a deploré les morts djihadiste à travers le monde.
    Il declare qu’il va readapter les institutions mais sans toucher à ses privilèges,ce qui l’arrange/Y A QUE Les idiots pour prendre part à son dialogue ou messe des sorciers/Le peuple Gabonais est malade,meurtri dans sa chair.L’avenir du Gabon et de son peuple ne se decidera plus jamais dans les temples de franc maçons/

  4. ma vie, ma terre, ma patrie, le Gabon dit :

    Certaines personnes penseraient « moi d’abord, ma famille d’abord, mon ethnie d’abord…. » et cela ne doit pas vous échapper si votre famille se retrouve aujourd’hui à contrôler des pans entiers de notre économie, c’est sûrement par le fait de ces compatriotes au comportement rétrograde…les Institutions ne fonctionnent pas bien? celles-la même qui font de vous le PR contre la volonté du peuple gabonais? vous pourriez les aider en reconnaissant simplement que vous n’avez pas été élu et donc en vous retirant simplement du Palais…vous même criez ourbi orbi, sur tous les toits que les Institutions de la République fonctionnent bien et qu’il faut leur faire confiance, confiance qui se justifie puisqu’elles penchent toujours de votre coté; au mépris de la Loi, cela n’a jamais semblé vous gêner jusqu’à présent. NON monsieur le Président, vous n’êtes pas sincère, et vos actes montrent presque que vous n’aimez pas vos concitoyens, mais plutôt, les richesses de ce pays. ce qui vous intéresse c’est la réjouissance , vous avez sacrifié le pays pour votre CAN ,ces rejouissances auxquelles vous êtes tan attachées.mais voyez-vous, monsieur le Président, nous citoyens sommes inquiets, très inquiet pour notre avenir et celui de nos enfants.le droits à la vie qui est un droit élémentaire ne nous est même pas reconnu; tout le monde peut être enlevé, séquestré, torturé, disparaître sans que le Gouvernement ne daigne donner des explications….comment aller faire la fête avec vous au stade dans des telles conditions? comment vivre dans des telles conditions?quel vivre ensemble peut-on promouvoir alors que les vôtres, ceux de votre camp traquent par tous les moyens ceux des compatriotes qui ne partagent pas vos opinions? NON NON et NON vous n’inspirez aucune confiance et cela est vraiment regrettable.

  5. paysane dit :

    Ma réponse a lui
    Gabonaises, Gabonais,
    Mes chers compatriotes (à mes sujets),
    A l’heure des traditionnels vœux de nouvel an, c’est avec émotion (quelle émotion tu peux avoir après avoir foutu des familles entière dehors ?) que je m’adresse à vous à l’occasion de cette tradition devenue tant familiale que républicaine.
    A chacune et à chacun, je voudrais souhaiter que l’année 2017 apporte le meilleur. (le meilleur c’est quoi pour toi Monsieur le président ?)
    Qu’elle soit une année de paix,(année de paix tu dis ? que pense tu de ce qui s’est passé pendant le mois d’aout 2016 ? ou de nombreuses personnes ont payé de leurs vie ?) de bonheur(tu parle de bonheur alors qu’il y a jusqu’à ce jour des familles qui cherche encore les leurs), de prospérité(alors que l’ont ne fait que viré dans les entreprises de la place) pour chacun et pour notre pays le Gabon(notre pays est en faite ton pays et celui de tes potes nous, nous ne sommes que des sujets et des figurants).
    Mes chers compatriotes (a mes sujets),
    L’année 2016 qui s’achève a été une année très difficile (là t’as raison), marquée au niveau international par une crise économique qui n’a épargné aucun pays, mais aussi par des violences et des conflits de toutes natures qui ont endeuillé de nombreuses familles de par le monde (donc tu te préoccupe des familles endeuillé de par le monde et non celle endeuillé dans ton propre pays, t’es fort).
    Au plan intérieur, malgré les efforts engagés par le Gouvernement pour soutenir les ménages et diversifier l’économie (ton gouvernement a fourni quels efforts pour ce pays ?ton premier septennat était un calvaire pour les ménages), nombre de nos compatriotes ont ressenti très durement les contres-coups de la crise économique mondiale. De nombreux emplois ont été perdus dans le secteur du pétrole notamment (perdu serte et que fait ton ministre de l’emploi dans tout sa ?il laisse les entreprise traité tes sujets comme bon leurs semble).
    Mais l’année 2016 a également été difficile du fait d’une campagne électorale marquée par des discours de haine (qui à pratiquer la haine dans ton pays ? qui a passé des messages de propagande à caractère génocidaire dans les chaines de télé que tu sponsorise ? certes, l’autre vous a traité de cafard, et vous, vous aviez parlé de caravane qui écrase et j’en passe) et par une situation postélectorale qui a atteint des niveaux de tension inacceptables pour notre peuple (tu as refusé d’accepter ta défaite ? alors t’es a l’origine de ce qui arrive dans ce pays).
    Les mots de haine, lâchés sans tabous et sans limites, ont laissé des blessures profondes au sein de nos familles et dans la société gabonaise (là tu fais ton mea-culpa mais ça ne marche pas, t’as jamais présenté ou faire part de compassion pour toutes les familles endeuillé).
    Il nous faut à présent, en toute responsabilité, panser nos plaies et reconstruire ensemble, le lien social et le vivre ensemble qui le sous-tend.
    En effet, aucune Nation au monde ne peut prétendre en avoir atteint l’achèvement. Dans cette matière, il n’y a ni modèle définitif, ni bon point à distribuer. C’est au génie de chaque peuple de trouver sa propre Voie (donc pour toi, une fois qu’il ya un problème, la solution doit être trouvé par les génies de nos différentes ethnies ?tu es là pour quoi alors ?).
    Mes chers compatriotes (à mes sujets),
    Je voudrais ainsi placer l’année 2017 sous le sceau de la Consolidation.
    Consolider le lien social si durement attaqué par la rancune (ton gouvernement a calomnié le peuple enfin tes sujets), l’invective, la haine et la calomnie.
    Consolider également la solidarité nationale mise à rude épreuve par l’égoïsme, l’égocentrisme et le tribalisme(le tribalisme, l’égoïsme tous ce dont tu fais allusion sont activé par qui ? si ce n’est ton gouvernement).
    En effet, plutôt que de penser « Gabon d’abord », certains compatriotes, à des niveaux d’éducation et de responsabilité parfois très élevés, continuent de penser « moi d’abord », ma famille, mon ethnie sans jamais penser au Gabon ( ton clan, Bongo pense t-il comme tu parle là ? ce que tu oublie c’est que l’ont à des échos et des infos de ce qui s’est passé dans ton fief afin que la cours de pise penche en ta faveur.si tu pense un seul instant au GABON, je crois que tu vas finir par faire un grand ménage dans ton gouvernement et au tours de toi. Trouve autre choses).
    Faisons le choix du respect de l’autre et de l’amour fraternel et rejetons la haine et la violence. En effet, nulle part au monde, la violence n’a accouché d’un paradis (ben tu te trompe encore une fois, la violence a accouché un paradis dans ton pays, la loi c’est pour être appliqué à tes sujets et non à ton entourage ou ton clan). Elle ne peut donc être un mode de règlement des différends sociaux et politiques.
    Il nous faut donc consolider notre Démocratie qui doit être plus en phase avec nos réalités (c’est vrai que ta vision de la démocratie est en phase avec ta réalité et non celle de tes sujets), notre environnement, notre sociologie et nos valeurs traditionnelles profondes.
    Cela passe notamment par l’amélioration de notre système électoral qui comporte, en effet, trop de risques de divisions et d’affrontements (c’est pas le système électoral qui divise, mais les gens qui le constituent et qui ne font allégeance qu’en ta personne. La division et l’affrontement n’est que le résultat de son impartialité) et dont il nous faut absolument sortir (tu fais plus confiance à ce système car malgré le fait que le peuple t’ai vomi, tu t’es couvert derrière ce système).
    Il nous faut également consolider notre système institutionnel, car, héritées de la Conférence nationale et des Accords de Paris et d’Arambo, certaines institutions méritent des évolutions et des adaptations aux nouvelles réalités de notre pays (encore une fois c’est qui est allé te caché derrière des institutions qui ont forcé ta victoire).
    Il nous faudra enfin consolider notre économie pour la rendre plus robuste et plus compétitive, et par là même, assurer notre indépendance (rendre une économie forte c’est la mettre en compétition)
    En effet, la diversification de notre économie et la transformation locale de nos matières premières sont devenues des impératifs absolus si nous voulons créer plus de richesses et plus d’emplois ( tu nous l’a dit en 2010, change de registre), en particulier, pour les jeunes et les femmes.
    Mes chers compatriotes,
    Des forces rétrogrades, ici et ailleurs, veulent nous empêcher de parvenir à cette indépendance, car elles tirent profit des rentes de l’ancien système économique au détriment de notre pays et des Gabonais (encore une fois les sujet ne voient pas de quoi tu parle.tes sujets ne profitent en rien des richesses de ton pays, qui ne profitent qu’a toi, tes potes et tes proches).
    Mais, je le dis et je le répète, la crise économique actuelle, aussi dure qu’elle soit, n’est pas une fatalité (tu nous l’as dit l’année passé, mais l’ont s’est rendu compte que la crise n’était pas une fatalité pour tes proches et toi qui ont détourné les dénies de l’état, mais pour nous). Elle doit, bien au contraire, nous offrir l’opportunité de nous réapproprier notre économie et de libérer le génie créateur de notre Peuple (génie créateur de quoi ? quelle opportunité a tu donné à tes sujets pour luter contre la crise ?).
    Elle doit aussi nous donner l’occasion de mettre en valeur la terre gabonaise, sa culture, son art, son artisanat, sa gastronomie, sa musique, ses rites et ses danses, dont nous devons sans complexe être fiers (projet graines et rien d’autres).
    Autant d’éléments décidés par Dieu et la nature (décidé par toi et non Dieu et la nature), façonnés avec passion par nos ancêtres et que nous avons le devoir d’exploiter et de valoriser(exploité tu le fais bien).
    Mes chers compatriotes(à mes sujets),
    Je voudrais par conséquent vous parler de la Responsabilité.
    Oui, mes chers compatriotes, je voudrais appeler chacun à plus de responsabilité en cette année nouvelle.
    Responsabilité de faire correctement le travail pour lequel on reçoit une rémunération. D’autres, nombreux, aimeraient être à notre place (qui t’as dis que l’ont n’aime pas notre taf ?).
    Responsabilité de rendre compte de son action et d’assumer l’entièreté des actes que l’on pose (j’aimerais bien que tu demande à ton gouvernement de te rendre compte enfin de faire de te faire un bilan de l’exercice 2015-2016). Ceci concerne autant l’infirmier que le médecin, l’instituteur que le proviseur, le planton que le directeur général d’administration ou le Ministre. En effet, la reddition des comptes est une nécessité absolue de l’action publique, et j’y veillerai (à voire pour le croire. Mais chaque année c’est pareille avec toi, tu ne l’as jamais fait).
    Accéder aux responsabilités ou assumer une responsabilité ne doit pas comporter que des avantages, encore moins des avantages indus. Quoi qu’il nous en coûte, l’heure est plus que jamais à la fin des privilèges (depuis 2009 tu nous fais passé ce même disque, l’heure n’est plus au privilège)..
    Chacun doit pleinement avoir conscience d’assumer les contraintes liées aux professions qu’il a choisies ou aux fonctions qu’il a librement acceptées (là t’as raison, mais avec toi ce n’est pas la peine).
    Mes chers compatriotes,
    Si nous voulons continuer à compter dans le monde d’aujourd’hui, nous devons changer nos idées, changer nos mentalités, changer nos comportements ( mais le peuple veux te changer, il ne veux plus de toi. Part en respectant ce que tu viens de dire là, t’as également du changement à faire dans ta personne)
    Nous ne pouvons pas être immobiles dans ce 21 ème siècle où tout va si vite.
    Soyons ouverts aux idées nouvelles(les sujets ton donné des idées nouvelle sur le changement que tu as refusé alors revois ton discourt), au flux du monde tout en demeurant vigilants et profondément ancrés dans nos valeurs traditionnelles bantu faites, dois-je le rappeler, de respect, de tolérance (tu tue sans impunité), de solidarité et d’abnégation au travail.
    Ce sont ces valeurs que les Pères fondateurs ont inscrites, en lettres d’or, au fronton de la République gabonaise : Union-Travail- Justice.
    Mes Chers Compatriotes,
    Au moment où notre pays s’apprête à accueillir l’Afrique à travers l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations, je voudrais rappeler que cet honneur nous impose le devoir d’accueillir nos hôtes en manifestant notre traditionnelle hospitalité, pour que ces moments soient des occasions de joie, de cohésion et de bonheur partagés ( sur la can, t’es dans ton élément, la fête. Ton septennat n’as été que festif)
    Au-delà de la dimension festive, il convient de souligner que cette CAN aura aussi permis aux villes qui abriteront la compétition de se doter d’infrastructures modernes (moderne c’est quoi ? les stades ? ou sont les logement ? ou est le bien être pour ton peuple).
    Notre équipe nationale, les Panthères du Gabon, portera et défendra les couleurs de notre pays. A ces jeunes qui démontrent chaque jour que la compétition exige sacrifice, effort et constance dans le travail, nous devons apporter tout notre soutien(ou était cette équipes pendant la période trouble de ce pays, alors que les sujets avaient également besoin de leurs soutient).
    Mes chers compatriotes,
    En ce début d’année 2017, j’ai une pensée toute particulière pour les forces de défense et de sécurité qui œuvrent, en tout temps et en tous lieux, à préserver l’intégrité du territoire et garantir la sécurité des personnes et des biens (c’est normal ils ont contribué à te mettre au pouvoir).
    De même que j’éprouve affection et tendresse pour les malades et les personnes isolées. Que 2017 leur apporte plus de santé et de bonheur (et les sans logement d’hiertu ne parle pas d’eux ? Ah je vois ce ne sont pas des gens pour toi).
    Enfin, Mes chers compatriotes,
    J’implore le Très Haut pour qu’il nous inonde de Sa paix et nous aide à raffermir l’Unité et la Cohésion de notre très cher Pays.
    Vive le Gabon. Vive ma République. Je vous remercie

  6. marcel Guisir dit :

    « En effet, plutôt que de penser «Gabon d’abord», certains compatriotes, à des niveaux d’éducation et de responsabilité parfois très élevés, continuent de penser «moi d’abord», ma famille, mon ethnie sans jamais penser au Gabon »
    Tu nous prends pour des stupides. Tu parles de toi et de ton clan et Delta Synergie? Pourquoi vous moquer autant de nous????
    Union-Travail-Justice, lequel de ces mots tu comprends et tu mets en application?
    Bref du flan, tout ce discours que du flan!!!

  7. bavanga dit :

    alain bernard tu sais que tu usurpes un fauteuil qui ne t appartient pas les gabonais se porteront mieux quand tu nous auras colle la paix…degages!!!!! bamboula biafrais d illetre!!!

  8. Jean . jacques dit :

    Il ne faut pas raconter les conneries ceux qui sont morts n’etaient pas chez eux ils ont choisis le chemin de la violence d’affronter les forces de l’ordre et de securité.ce sont des bandits.

    • SSamuel dit :

      1967 – 2017: 50 ans. 87,6% de la population Gabonaise n’a jamais connu que les Bongo au pouvoir. NORMAL OU PAS NORMAL?

    • Libra21 dit :

      Écoutez Mr Jean jacques, un moment il faut savoir avoir des limites. Vous insultez la mémoire de nos martyrs? Des bandits dites vous? Mais vous êtes ignoble…
      En votre âme et conscience vous savez qu’ils ont mené le vrai combat face à la barbarie, au mensonge, la corruption, le meurtre, etc. Ces Hommes courageux ont donné leur vie pour leur pays…sacrifice suprême.
      Vous et votre club de lâches venez ici insultez leur mémoire? Je n’ai pas eu de proches tombés lors de ces massacres mais je me sens outré par de tels propos. Le régime Bongo fait donc naître des personnages de votre acabit dans notre société? Des politiques cela ne me surprendrais guère, mais de quelqu’un du peuple? quelle honte!
      Vous êtes dénué de tout sens moral Monsieur. Le respect qui est l’une des valeurs transmise par une bonne éducation vous obligerait au respect de la mémoire de ces courageux compatriotes tombés devant la puissance de lâcheté poussée à son paroxysme.
      Puisse la Lumière du christ éclairée votre esprit englué dans les profondeurs de votre cynisme…

      • PMM dit :

        Mon frère Libra21, ne te fatigue pas à répondre à ce dernier. Je crois que dans la langue française on qualifie ça d’IGNARE.
        je suis arrivé, tout bien réfléchi à la conclusion que ce dernier n’est pas un Gabonais./ Dans la culture gabonaise on sait  » pleurer » nos morts,s’en réjouir est une preuve que ce dernier n’a d’humain que son pseudo prénom.. Mais le Gabon sortira de ce trou, chaque chose a son temps.
        « Quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement. »
        Jean-Luc Dion

    • Axelle MBALLA dit :

      @ Jean Jacques… Tu seras toujours le roi des cancres quand il s’agit du Gabon.

  9. COMPRENDRE dit :

    Ali colle nous la paix, tu n’es pas notre président, notre president c’est Ping. Va te faire voir ailleurs, avec ton discours qui ne concerne pas les gabonais.Nous ne te voulons plus comme président. Pour cette année 2017, je demande à la terre de mes ancêtres qui est le Gabon de te vomir.

  10. le peuple dit :

    Jean . jacques
    bonsoir.! est ce que tu vis au gabon? est ce qu’ il t est arrivé de te mettre à la place des autres un jours ou même pour cette nouvelle année? qu’est ce que tu autant pour défendre stupidement et avec force ce système ce partie ce gars là (suit mon regard )? ?? pourquoi tu es aussi fanatique de ce gars là? est ce qu’il est ton dieu? Tu es déjà arrivé un jour à venez voir (pour ne parler que de ce quartier et c’est un quartier de libreville je t informe si tu l’ignorais)? tu pense a tes petits frères a la génération qui arrive? est ce tu as peur du vrai Dieu créateur du ciel et de la terre(je ne parle pas de ton petit dieu que tu idolatre vénère sans partage)?
    je ne préfère pas te dire ce que je pense de toi et de notre president (parce qu’il gère, malheureusement, le budget de l’état) mais ouvrer les yeux ,quant même, regader ce que vous faites de la nation notre pays le Gabon c’est pas beau c’est pas bon c’est pas encourageant!!!!!
    BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2017 À TOUS MES FRÈRES GABONAIS ET MALHEURS aux perfides sorciers

  11. Akoma Mba dit :

    LE RIDICULE NE TUE PAS. PAUVRE GABON!

  12. gabonais dit :

    Ce démagogue a de belles expressions qu’on a envie parfois de croire mais ils sont complètement vides, sans conviction, sans engagement. Je pense que celui qui écrit ces discours à sa place à peut-être plus de conscience que lui. Y-a-t-il encore des gens qui peuvent croire ce menteur, ce tricheur?

  13. Michel Obame dit :

    Un ramassi de balivernes
    Je ne suis pas un adepte des discours d’Ali. J’ai decoivert ses talents de piètre orateur et non moins piètre democrate sur vox africa et africa 24 durant la derniere élection presidentielle. ses prestations en disenr long sur la mediocrité du personnage et sa propensiin à ne pas supporter la contradixtion ou toute forme de restistance, voire de contrariété.
    Il m’a fallu beaucoup de motivation pour lire son discours de voeux. Et là je me dis : il aurait au moins du avoir parmi ses conseillers un jean gaspars Ntountoume Ayi ou un Serge Maurice Mabiala pour lui rediger des discours. Dans le fonds, le texte est nul. il faut simplement tirer la chasse et l’évacuer dans les fausses sceptiques des prestations alibabaènnes: texte insipide, sans profondeur, sciniques, dans le deni sur ce qui se passe dans son pays et rendant resposnable de la situation le contexte internationnal…
    Bon Dieu si Ali ne sait pas ecrire ou ne peut pas ecrire lui-meme ses discours, ce texte en dit surtout long sur la mediocrité de ses conseillers! son père savait au moins bien s’entourer au point que sans avoir le bac il a fini par donner l’impression d’etre un génie. Le fils est soit-disant docteur mais à le lire on se demande s’il a le bac.
    a l’image d’obame Eyang il verse une goute de larme pour les victimes du terrorisme dans le monde et les morts de l’étranger et pas un semblant de larme pour les morts de son pays que ses milices ont lâchement assassiné. Ali sous-estime le fait d’apparaitre desormais dans l’inconscient collectif et de manière definitive comme un président-assassin.
    ensuite il nous explique que tout va mal au gabon parce que tout va mal au niveau mondial. or tous les classement qu’il s´agisse du classement ecofin sur les pays les plus prospere ou meme les classemenf ibrahim Mo sur la bonne gouvernance classe notre pays dans les bafonds là où d’autres pays africains, parfois 30 ou 40 devant le nôtre, ont de meilleurs resultats, dans le même contexte economique mondial. le problème du gabon est avant tout un problème de gouvernance. Gouverner c’est prevoir : Durant les 7 annees où il a exercé le pouvoir volé à Mba Obame il aurait pu épargner pour nous permettre de mieux affronter les moment difficiles. Or ils ont dilapidé ou on épargné aux panamas et dans les iles vierges pour leurs descendances.
    Enfin il nous parlent de CAN et nous demande de travailler pour mériter notre salaire. il nous parle de reddition de comptes….
    Ali décidémment ne cessera pas d’etre un blagueur. il semble ignorer que les gens ne travaillent pas non pas par paraisse mais parce qu’ils ne se reconnaissent pas dans ce pouvoir illegitime. ils ont un problème avec ce gouvernement dans lequel ils ne se reconnaissent pas. ils attendent que le pouvoir sans rendu à qui de droit pour commencer à travailler. Ali parle de CAN, cela confirme qu’il est veritablement dans une bulle. les gouvernant doivent repondre aux preoccupations de leurs peuples. la CAN n´est ni la première ni la dernière des preoccupations des gabonais. c’est une lubie d’Ali bongo et c’est comme cela que les gabonais percoivent cela. Enfin il parle de reddition des comptes. Montrez l’exemple, faites les comptes des 7 annees desastreuses que nous venons de perdre en terme de gestion publique et de gouvernance. Les gabonais ont fait les comptes à votre place et vous ont demandé de vous barrer. vous persister tel un violeur sur sa vicfime. vous serez traitez en violeur.

  14. gabonais dit :

    1 – « continuent de penser «moi d’abord», ma famille, mon ethnie sans jamais penser au Gabon ». Pourtant de « la légion étrangère » il est passé à « la légion altogovéenne ».
    2 – Les forces de sécurité tu en a fait des voyous plus soucieux de racketter les conducteurs de véhicules (tu laisses faire parce que ton pouvoir se repose sur le vole et le partage des butins) et terroriser le peuple que d’assurer la sécurité.
    3 – « la rancune, l’invective, la haine et la calomnie » ne sont que les fruits de 50 ans de gouvernance chaotique et d’injustice que le symbole que tu représentes continue de perpétuer. Toi, ta famille, Delta Synergie sont désormais les principaux symboles de notre désunion. Dégagez et alors l’union, le travail et la justice seront de retour.
    4 – « l’heure est plus que jamais à la fin des privilèges » pourtant ça devrait commencer par le départ de la famille Bongo et à l’audit de Delta Synergie. Tu n’a jamais rien mérité. Raté à l’école, raté dans la musique, raté dans la gestion de notre pays. Un voleur, qui tue et assassine pour un poste. Peut-il inspirer qui? Tu es incapable même de discipliner tes accolytes.
    4 –

  15. Samuel dit :

    1967 – 2017: 50 ans. Une éternité
    87,6% de la population Gabonaise n’a jamais connu que les Bongo au pouvoir. Et ces gens osent dire qu’ils aiment le Gabon.

  16. yombibi dit :

    Bonjour, gerer 200 milles bouffecado c est pas facile !

  17. diogene dit :

    Je ne suis pas de la famille de ce monstre, et la république est bafouée, violée, trahie. le préambule est donc faux.
    La paix avec des militaires dans les rues à chaque fois qu’une réaction populaire se dessine. Avec la misère qui progresse, la précarité qui frappe à tous les coins de rue; les assassinats, les tortures, les viols, les brimades quotidiennes, la corruption systématique et son organisation étatique, la médiocrité érigée en vertu, l’intelligence suspectée…
    Le pompier pyromane veut soigner les blessures qu’il nous inflige.
    Renforcer la démocratie, d’accord, commence par accepter ta défaite cuisante aux élections et nous ferons le reste…
    Pas d’immobilité grâce à la dynastie éternelle du bongoland ?
    Des forces rétrogrades veulent nous empêcher de parvenir à notre indépendance, c’est un auto portrait !
    Une conclusion en forme d’appel aux dieux alors que sa seule présence dans le fauteuil présidentiel démontre leur absence.
    Dire que ce discours a été écrit par un diplomé qui a vendu son âme et son intelligence aux forces obscures.
    Un tel concentré des mensonges et bêtises va sans doute aller dans le livre des records planétaires et surtout il attise la haine en déclarant l’éteindre.
    Chers concitoyens, je vous souhaite de construire vous même votre année 2017. Vous méritez mieux, faites tout pour l’obtenir. Je vous précède et vous accompagne.

  18. J&B dit :

    Ali, vraiment! De qui te moques-tu? Il n’y a pas plus fou que toi! Tu tues les gabonais et tu viens nous débiter des conneries! Penses-tu un seul instant que nous aller à ta CAN maudite et après aller à ta grande messe? Non Ali! Tu ferais mieux de faire tes valises et te constituer prisonnier! Le fait de te voir, cela donne la nausée à tous les vrais gabonais! Toi et tes sodomites qui t’accompagnent depuis 7 ans, avez apporté la discorde dans tout le Gabon! Un conseil, quittez les choses avant qu’il ne soit trop tard! Au passage, rendez nous l’argent que vous avez détourné en 7 ans!

  19. Libra21 dit :

    Monsieur,
    Vos vœux ne sont qu’une litanie de mensonges. Sept ans durant vous avez montré au monde entier que vous n’êtes pas un homme de parole.
    Chaque année, vous venez sur la chaine nationale débiter des contrevérités que tout le monde connait.
    Vous avez déçu tout le monde. Aussi bien vos partisans que ceux qui bien que n’ayant pas voté pour vous avaient choisi de vous accorder le bénéfice du doute.
    Vous avez été incapable de surfer sur le capital sympathie que la mort de votre père vous a donnée. C’est ce qui a permis au Gabonais de vous laisser au pouvoir pendant 7 ans.
    Où en sommes nous? Gréves, chômage, assassinats, enlèvements, corruption, bref un pays de non droit. Venir nous parler en ces termes c’est mépriser la réalité de notre quotidien de plus en plus insoutenable.
    Vous êtes gabonais (je n’aime pas le débat des origines), en ce sens vous devez la vérité à vous même et à votre peuple. La souffrance a atteint un tel niveau que nous ne pouvons plus raisonnablement continuer avec vous.
    Votre septennat est un échec cuisant et retentissant!!! laisser le peuple penser ses plaies, laisser le peuple redéfinir un nouveau modèle de gouvernance, laisser le peuple croire en avenir qu’il se sera forgé, laisser le peuple redécouvrir la joie d’être fier de son pays. Tout cela n’est plus.
    Pas seulement par votre faute, mais par celle de toute une classe politique qui a en réalité échoué. En tant qu’homme d’Etat, vous devez prendre de la hauteur. Vous êtes responsable devant Dieu et les Hommes du chaos au Gabon.
    Un autre Homme d’Etat sénégalais avait fait le choix d’aller à l’encontre de ce que toute sa cour lui conseillait de faire, s’imposer par la force. Il a surpris son monde en reconnaissant sa défaite publiquement.
    Aujourd’hui, malgré plus de 20 ans d’une présidence de fer et de manquements en tout genre, il retourne dans son pays avec les honneurs et est l’une des figures les plus respectées du monde diplomatique. Il a eu l’insigne honneur de diriger la Francophonie.
    Il y a une vie après la présidence, peut être encore meilleure car ôtée de toutes ses contraintes protocolaires…
    Reconnaitre ses fautes et ses erreurs ont aussi une marque de grandeur…
    Bien à vous…

  20. Thiboy'z dit :

    Jean Jacques,j’ignore si tu es réellement gabonais, ou si tu vis à l’étranger ou bien tu as un déni de vérité ou peut-être même que ton souffle de vie tu le dois à Ali!mais laisse moi te dire que tu es pathétique comme gabonais et tes interventions me fait vomir!plus bête que toi y’a pas au Gabon,effectivement je comprends tu souffre du même syndrome qu’Ali qui te Biberonne!et c’est malheureux qu’un jeune Gabonais ne puisse pas pousser et tourner sa reflexion autrement!en croire certains on aurait dit que ton niveau scolaire serait à chier,incapable de construire un argument qui tient la route;Mr vous m’inquiéter beaucoup!

  21. Libra21 dit :

    Veuillez m’excuser pour les coquilles et fautes dans mon texte. Post validé par mégarde avant relecture.
    Merci

  22. Innocent dit :

    La démagogie dans toute sa splendeur, ce n’est plus du jamais vu mais du venez voir ou devrais je plutôt dire du venez lire.
    Une question tout de même, lui au palais, il s’est décidé à rester au pouvoir pourquoi au fait? quelqu’un a une idée.
    Aucun projet de réforme annoncé, rien, sérieusement 7 ans encore ainsi. Son fameux projet « égalité de chance » finalement?
    Oh mince suis je bête, je sais pourquoi il veut pas quitter le pouvoir, avoir plus d’argent. Seulement voilà, il parait qu’il n’y a plus de pétrole…

  23. mmwanedimbu dit :

    Il y a un peu plus de deux mois, nous avons retrouvé le corps d’un petit garçon abandonné dans une morgue criblé de balles. Ce jeune homme, l’un de mes neveux a péri malheureusement lors des émeutes postélectorales. Et avec ça, il y a des soi-disant gabonais qui soutiennent des assassins. Moi je ne suis ni de Ping (il n’est pas différent des autres), ni d’Ali (je ne sais pas si c’est notre cauchemard), mais je suis de la justice. La Bible est clair, « malheur à l’homme qui appelle mal bien et bien, mal ». Dans Proverbes 24:23 la Bible dit: « la partialité en justice est une mauvaise chose » ou « un juge qui dit à un criminel « tu es innoncent » s’attire la malédiction des foules…
    Je prie que sur ce site il y ait un peu de lucidité et de raison. Appartenir au PDG ne signifie pas soutenir l’indéfendable. Après tout, qu’on soit Chrétien, musulman, bwitiste ou franc-maçon, nous croyons tous au moins en l’existence d’un être supérieur qui rétribue à chacun selon ses oeuvres. Craignons donc ce Dieu-là. Enfin, je sais que certains ont pour « dieu » le diable. Et c’est pourqui ils appellent bien mal ou que dis-je, mal bien. Je ne fais que passer oooo

  24. Abou Samba Ba dit :

    Peuples Gabonais accepter le dialogue proposer par son excellence Ali Bongo Ondimba vous ne regreterer rien sur se dialogue est la reconciliations nationale du peuple Gabonais Merci. Je souhaite une longue vie a Ali Bongo Ondimba et sa Familles et l’ensemble du peuple Gabonais.

  25. DoanESS dit :

    Lorsque la volonté de dieu doit s’accomplir parfois on ne comprend pas grandchose…

  26. le peuple dit :

    Abou Samba Ba
    chante pour qui te donne du pain..!!!!!
    mais quant on mérite son pain on n’a nullement besoin de faire  »le projet graine »(ne fait pas le maboule)
    Pour le dialogue d Ali ne jouer pas les ignorants on sait que rien pour l’avancer du pays ne va en sortir de là car tout ce que le peuple veut c’est qu’ Ali Bongo quitte le pouvoir c’est tout … pas besoin de dialogue pour le faire. ….

  27. Reverend Pasteur Israel dit :

    « Il nous faut donc consolider notre Démocratie qui doit être plus en phase avec nos réalités, notre environnement, notre sociologie et nos valeurs traditionnelles profondes. » : Mais monsieur Ali Bongo sais-tu ce qu’on appelle la démocratie? Car la démocratie n’a rien avoir avec ce que tu dis-là, c’est du charabia diabolique qui sombre le Gabon auquel tu tiens en otage avec la complicité des français.
    La démocratie je vais te le dire, que c’est la respiration d’un peuple assoiffé de justice. La démocratie est le pouvoir d’un peuple libre qui juge son destin, en mettant dehors des dictateurs comme toi.
    La démocratie n’a rien avoir avec tes valeurs traditionnelles bidones. Est-ce que tes valeurs traditionnelles sont-elles objectifs pour canaliser le destin d’un peuple comme le notre? Ne reve pas les gabonais t’ont mis dehors sauf peut être le haut-ogoué qui te tien en liesse. Mais tout le Gabon te tient en haleine.
    Révérend Pasteur Israël

  28. Ngoungoulou Walter dit :

    Ali laisse le Gabon tranquille, aucun Gabonais sérieux ne croit plus en tes déclarations. Si tu es soucieux de l’avenir des Gabonais, si tu as prêté serment, même en catimini, pour soit disant garantir la sécurité et la prospérité des Gabonais, pourquoi ne pas avoir reconnu que tu as ordonné l’assassinat des compatriotes qui n’avaient que le bulletin de vote comme seule arme…on présente les vœux à ceux qui ont ton estime. Tu n’estime pas les Gabonais…Les familles entières continuent à rechercher leurs enfants, d’autres pleurent toujours leurs progénitures, et tu parles de consolider la démocratie? Alors que ta belle mère et tout son contingent continuent à narguer le peuple à la Cour Constitutionnelle,tu parle de poser les bases d’un dialogue? Il faut être courageux pour regarder le Gabon en face. Renseigne auprès des chiens qui cherchent à mordre une roue de véhicule en mouvement, la fin est toujours tragique… pour ta gouverne, il n’y a pas de régime éternel. Même les dictatures les plus ignobles ont été jugées et renversées. Tes soit-disant soutiens ne pourront rien. Ton heure a sonné et tu joues des prolongations. La fin du match est toujours très difficile pour celui qui pense que la triche, la barbarie et la brutalité sont un mode de gouvernance immuable.

    • Révérend pasteur Israël Nahum dit :

      Ali laisse le Gabon tranquille, aucun Gabonais sérieux ne croit plus en tes déclarations. Si tu es soucieux de l’avenir des Gabonais, si tu as prêté serment, même en catimini, pour soit disant garantir la sécurité et la prospérité des Gabonais, pourquoi ne pas avoir reconnu que tu as ordonné l’assassinat des compatriotes qui n’avaient que le bulletin de vote comme seule arme…on présente les vœux à ceux qui ont ton estime. Tu n’estime pas les Gabonais…Les familles entières continuent à rechercher leurs enfants, d’autres pleurent toujours leurs progénitures, et tu parles de consolider la démocratie? Alors que ta belle mère et tout son contingent continuent à narguer le peuple à la Cour Constitutionnelle,tu parle de poser les bases d’un dialogue? Il faut être courageux pour regarder le Gabon en face. Renseigne auprès des chiens qui cherchent à mordre une roue de véhicule en mouvement, la fin est toujours tragique… pour ta gouverne, il n’y a pas de régime éternel. Même les dictatures les plus ignobles ont été jugées et renversées. Tes soit-disant soutiens ne pourront rien. Ton heure a sonné et tu joues des prolongations. La fin du match est toujours très difficile pour celui qui pense que la triche, la barbarie et la brutalité sont un mode de gouvernance immuable.
      Le courage, la patience et la rage contre l’oppression faite aux gabonaises et aux gabonais restent les seuls moyens entre les mains de cette majorité gabanaise qui pleure aujourd’hui un enfant, une fille, une mère, un père ou un oncle et qui vivent dans la peur et la pauvreté. Ali Bongo, nous a fait comprendre depuis 2009 jusqu’en 2016 que son père comme lui, n’ont jamais aimés le Gabon, car le Gabon n’a été pour eux qu’une plantation petrolière appartenant à eux et à la France.
      Notre véritable ennemis en tant que gabonais n’est pas une personne au nom d’Ali Bongo mais “Une idéologie au maintient du colonialisme en particulier au Gabon et en générale en Afrique par l’Impérialisme dont la France qui frabrique des petits rois en Afrique.
      Souvenons-nous que «Le colonialisme est toujours lié à une conquête territoriale, l’impérialisme n’est pas forcément territorial mais peut être une domination culturelle, économique et politique par exemple. Des puissances européennes comme la France et l’Angleterre ont été de puissants empires coloniaux. »
      Ali Bongo n’est qu’une arme sanglante et sans intelligence entre les mains des français comme fut son père Albert Bernard Bongo qui a fait la dicté au Bac. Voilà notre honte et notre misère.
      L’intelligentsia gabonaise et les groups de pression tant à l’étranger comme au Gabon doivent recadrer ou recentrer leurs efforts non sur Ali Bongo qui n’est qu’une marionnette et une arme de la France contre les gabonais. C’est la France qui est notre véritable ennemis et qui ne recherche pas notre indépendance politique et économique, etc. C’est de cette façon que nous pouvions avoir des gains positifs qui pourront à la longue nous hisser à l’alternance que nous revons tous. Et non à la haine contre Ali Bongo qui est notre proper frère et qui nous a trahi par interêt.
      Révérend pasteur Israël Nahum

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