Aux côtés de la présidente du Centre pour le développement des peuples autochtones, le président de la République présidera la 6e édition de cette rencontre décennale, organisée par l’UICN du 12 au 19 novembre prochain dans la métropole australienne.

© africatopsuccess.com
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Le président de la République se rendra très prochainement en Australie, où il co-présidera la 6e édition du Congrès mondial des parcs, prévu du 12 au 19 novembre à Sydney sous le thème «Des parcs, la planète et nous : solutions sources d’inspiration». Il sera assisté dans cette position par la Nicaraguayenne Mirna Cunningham, présidente du Centre pour le développement des peuples autochtones (Cadpi).

Cette rencontre s’articulera autour de 3 enjeux : valoriser et conserver la nature à travers les parcs, trouver des solutions naturelles aux changements globaux de la planète et appliquer une gouvernance efficace et équitable des services rendus par la nature. A cela s’ajoute la santé et le bien-être des populations, ainsi que les défis du développement. Si la marraine de l’événement milite pour la communication interculturelle, les droits de femmes, le changement climatique et ses impacts sur les communautés autochtones, Ali Bongo est présenté comme un défenseur des écosystèmes naturels. «Nous sommes attaqués. L’Afrique est attaquée. Il ne s’agit pas seulement d’un problème environnemental. Les braconniers s’introduisent dans des régions de paix. Ils commencent par tuer les rhinocéros et les éléphants, ensuite ils se rabattent sur le bois et les minéraux, puis deviennent des voleurs, des bandits et finalement des rebelles. Aujourd’hui, le crime sur la faune sauvage est devenu une menace grave pour la souveraineté et la stabilité de nos pays», avait-il d’ailleurs déclaré aux assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (Bad) en mai 2013.

Ce congrès des parcs est organisé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) tous les 10 ans.

 

 
GR
 

9 Commentaires

  1. okoura dit :

    Nous au Gabon on a conservé quelle nature? on a même effacé les traces de l’histoire du Gabon. Quel dommage!!!!

  2. # Akébé vite !!!! dit :

    Pour les parcs au moins il y aura Lee White mais on espère qu’il va en profiter pour nous expliquer comment il revalorise nos cultures autochtones Gabonaises en s’affichant principalement avec des tenues traditionelles marocaines pas musulmanes traditionelles marocaines or son role justement est celui pour lequel il invité valoriser nos us & coutumes pas sur que meme à ça il s’en sorte….

  3. Et blablablah et balblablih sur les pacs et autres sornettes, le meilleur pour tes compatriotes comme le Gabon dont tu voulais faire un petit Dubaï. Résultat? Zéro pointé. Au Gabon ton cher pays, tes soeurs gabonaises accouchent encore à même le sol, par terre comme des bêtes sauvages!Toujours les projets, les maquettes, les discours. Tu vas dans un hôpital public, on te demande de ramener tes médicaments sinon tu meurs, franchement. Ali Bongo, à quand les vrais actes pour le Gabon?

  4. Lekoni-Lekori dit :

    Il va co-présider avec une dirigeante d’ONG… Vous imaginez le président du Malawi co-présider un événement avec Marc Ona ?

  5. Gabson dit :

    Ali, quel faussaire!!! Toute sa vie n’est que mensonges (origines, acte de naissance, diplôme, fausse monnaie, poste de président etc). Du jamais vu. Pierre Péan a raison.

  6. Election à deux ou un seul tour, Ali sera battu, il l’a d’ailleurs été en 2009. Le souci c’est la fraude, le non respect des résultats des urnes (falsification des procès verbaux)et es bérets rouges ou verts ou violets + leurs chars qu’on met sur la rue pour empêcher les gabonais de défendre leurs voix. C’est autour des ces points que la stratégie de l’opposition (la vraie)et de la société civile doit s’articuler. Il faudra donner les résultats en instantané dans chaque bureau de vote (réalisable avec les nouvelles technologies) et tout mettre en place pour qu’il y ait une force internationale armée d’interposition (Ping et les autres peuvent faire jouer leurs réseaux) puisque notre armée de maboules et de couards ne prendra jamais ses responsabilités. Ali, sous le prétexte fallacieux que ça coûterait cher aux contribuables – Comme si ces villas, voyages, voitures de luxe, détournements et autres ne nous coûtent pas cher – n’acceptera jamais une élection à 2 tours. Du reste, on connaît le bonhomme. Il n’est pas assez courageux et démocrate pour ça, lui qui avait carrément demandé à Jacques Chirac en 1986 de l’aider à faire du Gabon un Royaume comme chez son ami marocain Mohamed VI, le fainéant Roi prédateur. Non, Ali en réalité est un poltron, un faussaire doublé d’un excentrique mégalomane qui se croit tout permis, et qui croit surtout qu’il a le Gabon et tout ce qui appartient à ce pays en héritage. Il va juste falloir éclater la bulle dans laquelle il est enfermé afin que la réalité lui éclate également sur le visage. Ce jour arrive, inévitablement.

  7. Moutouki dit :

    PASCALINE BONGO VIENT DE PASSER A LA TELEVISION AVEC SA FAMILLE, pour dire qu’ALI N’est pas biafrai mais Gabonais, elle ne m’a pas convaincu, j’ai plus de doute maintenant, c’est sur que cest un NIGERIAN

  8. Joaminovicmoubirou dit :

    C’est dire que le Gabon est vue de l’extérieur positivement par cette élection de monsieur le président de la république Ali Bongo Ondimba c’est le Gabon qui gagne #otambiA

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