N’étant pas signataire de la plainte de l’opposition et s’étant interrogé sur la capacité juridique du Front tout en annonçant le dépôt d’une plainte contre Pierre Péan, le président du Congrès pour la démocratie et la justice est l’objet de nombreux commentaires, sa stratégie n’étant pas toujours lisible par les uns et les autres.

Jules Aristide Bourdès Ogouliguende. © footage.framepool.com
Jules Aristide Bourdès Ogouliguende. © footage.framepool.com

 
En marge de toutes les initiatives ayant eu cours jusque-là, le président du Congrès pour la démocratie et la justice (CDJ) n’était pas de la partie lorsque les membres de l’opposition se sont rendus au tribunal de Libreville pour déposer une plainte contre Ali Bongo. Visiblement, il avait à redire sur les méthodes employées. Son absence a été d’autant plus remarquée que sur le «front», on notait la présence de l’ensemble des ténors de l’opposition, notamment Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong, Luc Bengone Nsi, Casimir Oyé Mba, entre autres.
Ce jour-là, le quartier Ancienne Sobraga, dans le 2ème arrondissement de Libreville, siège de l’Union Nationale, était le théâtre d’une manifestation politique qui a tourné à l’échauffourée entre les forces de l’ordre et les militants de l’opposition. Alors que le ministère de l’Intérieur avait annoncé, la veille, que cette marche vers le tribunal était interdite, de nombreux Gabonais ont répondu à l’appel des leaders de l’opposition. 2 plaintes contestant l’état-civil du président de la République ont, finalement, été déposées : l’une du président du Morena, Luc Bengone Nsi, et l’autre de tous les signataires de l’acte constitutif du Front de l’opposition pour l’alternance.
Si l’on ne peut se prononcer sur la destinée de toutes ces démarches, l’on peut néanmoins constater que l’opposition a laissé apparaître des dissonances, Jules Aristide Bourdès-Ogouliguende, s’étant interrogé sur la capacité juridique du Front. «Quelle capacité juridique a-t-il ce front ?», a-t-il lancé sur RFI avant de se demander s’il est «reconnu par l’Etat comme un organisme moral ?». A travers ce questionnement, l’on peut percevoir une divergence d’approche. Du coup, les interprétations fusent. De nombreux observateurs se demandent si les uns et les autres n’ont pas d’agendas secrets. Surtout que l’Union des forces du changement (UFC), regroupement auquel appartient le CDJ, a annoncé sa décision de porter plainte, à Paris, contre Pierre Péan, l’auteur de «ces accusations qui menacent de déstabiliser le Gabon».
L’opposition n’est donc pas unanime sur la stratégie à suivre. D’ores et déjà, certains craignent qu’à l’approche de 2016, les lignes ne bougent davantage. Une situation qui pourrait compliquer la désignation d’une candidature unique de l’opposition….
 

 
GR
 

71 Commentaires

  1. Minko dit :

    Manque d’humilité , JABO vit sur une autre planète .

  2. jean-jacques dit :

    Voici un opposant responsable,un vrai opposant. Lui il reflechit c’est pas le congolais Myboto et le chinois Ping,des vieux qui ne cherchent que la guerre.

  3. Mabenda dit :

    Le pauvre JABO est en réalité victime d’un emballement médiatique. Il a effectivement dénié au Front toute capacité juridique pour ester en justice. En revanche, l’intention de porter plainte contre M. Péan a été attribuée à l’Union des Forces du Changement (UFC),un regroupement de partis de l’Opposition favorables à un dialogue avec le pouvoir émergent. Il ne pouvait échapper à la Presse et, singulièrement, à Gabonreview, que des divergences nées après la création de l’UFC à Mouila ont provoqué une scission qui a conduit MM Ogoulinguende, Maganga Moussavou, Myboto et d’autres à créer l’Union des Forces de l’Alternance (UFA); l’UFC étant restée aux mains de MM Mayila, Akoure Davin et d’autres. La position de JABO a été exprimée sur RFI. C’est par contre Patrick Simangoye qui, au journal de 20 h de Gabon Télévision lui a prêté l’ intention de porter plainte contre Péan…au nom de l’UFC ! Confusion ou malveillance ?

  4. Le citoyen libre dit :

    Jules Aristide Bourdès Ogouliguende, ne veut peut etre pas perdre son poste au conseil d’administration à SOGARA?
    Wait and see..

  5. Vert-jaune-bleu dit :

    LES VIEUX DÉMONS SUBSISTENT
    Le comportement d’Ogouliguendé ne devrait étonner personne; tout comme un jour ceux qui sont opposant aujourd’hui feront volt face il faut toujours s’y attendre n’oublions pas le passé ils reviennent tous du PDG, le système égoïste; on leurs a appris à nourrir leur ventre au détriment du peuple. Ne leurs faites pas totalement confiance attendez-vous à des revirements d’ici l’élection; pour l’instant profitons juste de leur présence dans l’opposition. ils sont là d’abord pour leurs propres intérêts. Ogouliguendé connait toute la vérité sur l’acte de naissance tout comme tous ceux qui ont été proches d’Omar Bongo. voici la preuve de plus que Pierre Péan a frappé là où il fallait; les girouettes politiques jouent et joueront toujours leur rôle celui de changer en fonction de la fin de leur ventre.

  6. jean-jacques dit :

    Mais jules est un juriste et homme conscient et jeune penseur , il n’est vieillard. Nous dirigeon vers l’éclatement de ce groupe des vieillards. D’ici j.ping vous roule dans la farine et il sera en fuite au pays de MAO Zedong.
    Il faut quitter vite ce bateau avant qu’il vous quitte. Ndaot va vous accepter pour participer à la construction du pays.
    vous recuperer lebama,vous lui mettez comme dc au ministere de l’education. les amis ce groupe d’opposants va disparaitre en 2 semaines, chacun va negocier avec le Pdg la nuit pour revenir.

  7. okoura dit :

    je le croyais droit ce monsieur, il est comme tout le monde, ce n’est même pas la peine qu’il se présente aux présidentielles ,je me réjouis que ces rideaux tombent avant 2016 et on commence à savoir qui est qui quant à toi Jean jacques tu ferais mieux de rentrer dans la poubelle avec les asticots et y rester à jamais avec tes points de vue et analyses intéressés

  8. Le premier de sa génération dit :

    Etre opposant ne veut pas dire qu’on veut voir son pays en sang et en feu, a cet effet, nous saluons l’attitude sage et responsible qu’a JABO. N’oublions pas que c’est ce meme probleme de nationalité qui a mis la cote d’ivoir dans la guerre. Je pense à mon avis que celui qui pense que ALI n’est pas Gabonais, qu’il vote contre lui en 2016 au lieu de trainer des pauvres Gabonais dans les rues en les exposant.

    • Rudiger dit :

      Les gabonais en majorité ont déjà voté contre Ali en 2009. Il est clair qu’ils le feront encore en 2016, mais qu’Ali fera ce qu’il sait faire: passer en force. Il ne s’agit pas d’un problème de nationalité, mais bien d’un problème d’éligibilité. Il est pourtant assez simple à résoudre. Il est quand même étonnant que l’administration en place n’arrive pas à faire taire cette grogne populaire en fournissant les preuves qui lui sont demandées. Et ce n’est pas non plus un problème de nationalité qui a causé la guerre en Côte d’Ivoire. Il s’agissait juste d’une rébellion financée par l’étranger comme d’habitude. Les gabonais devraient au moins pouvoir manifester sans être « exposés » dans notre pays « démocratique »…

    • okoura dit :

      on a pas dit qu’ali n’était pas Gabonais on a dit qu’il n’a pas le droit d’être président de la République Gabonaise nuance!!!!

    • tate mboum dit :

      Je n’ai pas voulu intervenir sur ce que tu viens de dire mais à la lecture de la gravité, certes simplices, de tes propos, je me vois dans l’obligation intellectuel de te répondre cher ami et frère.
      Tout en commençant par une interrogation simple, pourquoi, à chaque fois que le dénonce la fraude, le vol, les crimes, le système Pede-G et l’usurpation des bongo, on nous fait miroiter le spectre de la guerre ? Qui fera la guerre ? Qui a les armes qui font la guerre ?
      Quand Mba Léon quitta la présidence en 1965 pour raison de maladie, laissant Bongo gérer le pays, n’avait-il pas un enfant ou des enfants qu’il pouvait mettre à sa place pour continuer la gestion du pays ? Était-il une lumière pour ne l’avoir pas fait ?
      Arrête mon frère ! Chasse la peur de ton ventre. Le Gabon est régis par une constitution qui elle-même, est un ensemble de lois dont l’une d’elle, très pertinent quant au choix de celui ou celle qui devra diriger ce pays, a été viole et nous n’avons pas le droit de le dire ? Ni de porter plainte pour cela ? C’est cela ta vision de ce pays ? Quand on sait que depuis que ce monsieur a usurpé le titre d’André MBA OBAME, il ne se passe pas une année ou un émergent porte plainte pour diffamer, pour violation de sa vie privée.
      Ce n’est pas le front, dans sa forme qui porte plainte cher frère, mais seulement un ensemble de citoyens gabonais, c’est tout. Quant à Ougouliguende que je respecte beaucoup, il se trompe de personnage mais qu’il sache que si c’est ce que je crois avoir entendu qu’il le fasse et je l’y encourage car comme cela, nous aurons toute la vérité sur ce dossier qui est clair plus que l’eau de roche. Par contre, si c’est le contraire, qu’il sache qu’il porte aussi plainte à tous ceux qui le fait jeudi dernier.
      Les burkinabés viennent d’administrer une grande leçon au monde entier car c’est du jamais vu ce qui se passe chez eux et toi que fais-tu ? Et toi, tu viens te morfondre dans la peur d’une guerre contre qui ?
      Si tu estimes que l’on peut attendre 2016, je suis d’accord pour ta gouverne mais je voudrais juste savoir si tu permettes que l’on libère les personnes qui sont en prison pour avoir violé la loi ou encore, nous pouvons agir en toute quiétude sans être inquiéter par la justice ou les forces de l’ordre puisque nous avons le droit de tout faire car nous vivons dans un état sans loi ? Et ceux que tu appelles des pauvres gabonais, eux se battent pour libérer ce pays de l’imposture et faire respecter les lois et droits de tous et mieux, ce sont eux les véritables gabonais qui ont accompagné leur leadeurs sans peur ni lâcheté. Ali n’est pas, d’ailleurs contesté de son statut de gabonais, apparemment, vous n’avez rien compris : C’est pour faux en écriture et usage de faux, c’est tout simple.
      Les gabonais ne l’ont pas voté en 2009 et ne le voterons pas non plus en 2016 et il ferait mieux de démissionner avant car il a tellement fait que le peuple déteste les bongos après le pardon acquis en 2009. A bon entendeur, salues !!!!!!!!!!!!!!!!! Gare aux lâches. Enfin, aujourd’hui c’est à la France que vous attaquez oubliant que c’est grâce à cette même France que monsieur est au pouvoir au Gabon et qu’il existe. Continuez à vous amuser, vous aurez ce que vous cherchez. Il avait tout pour réussir son mandat volé et peut être le peuple lui aurait pardonné et laisser diriger en paix. Mais hélas, on tue, il ne parle pas et mieux protège les assassins, il engage l’argent des gabonais dans des dépenses ostentatoires au détriment de ceux-ci, la vie se dégrade chaque jour depuis qu’il est la et rien ne s’améliore et quand le peuple lui dit d’aller dans le sens de l’amélioration de ses conditions de vie, lui, avec ses copains vont dans le sens contraire. Et vous voulez que cela produise quoi ? Qu’il nous montre l’acte de naissance, c’est tout et un bon, voir la souche originale, ce n’est pas dur cet exercice.

  9. okoura dit :

    ogouliguende,maganga moussavou et mayila sont le tabac d’une même pipe ils préservent leurs intérêts personnel au dépend de ceux de 90% des Gabonais qui vivent dans la misère. Le peuple gabonais se souviendra de vous

  10. Tara dit :

    C’est un non évènement on ne peut le juger sur cet acte c’est facile de jeter la pierre d’un seul coup à un individu. Il a refusé de participer à une marche illégal parce qu’il connaissait la suite c’est un ancien il savait très bien ce qui allait se passer au finish cette marche a donné quoi?
    Pour le moment on ne peut pas parler d’un revirement il est toujours dans l’opposition ici il suffit que vous ayez un point de vue différents de vos camarades opposants qu’on vous accuse de tout dans tous les foyers du monde on peut avoir des divergences sur un point et être d’accord sur beaucoup d’autres.
    Maintenant s’il devait changer de camp ce ne sera pas le premier ni le dernier le problème c’est pas temps de changer de camp le problème c’est le pourquoi? Est-ce pour son ventre perso? est-pour des idéaux qui se rejoignent plus ou moins ? Est-ce pour son parti?????
    wait and see.

  11. Yupanqui dit :

    Ne vous inquiétez pas, JABO est en réalité avec le FRONT. Il sait sait bien sur tout seul il ne peut rien. Il pose en revanche quelques questions pertinentes afin que 2016, si Alain Bongo n’est pas botté dans le derrière avant , le FRONT ne soit pas coincé comme l’UN d’une certaine incapacité juridique que dame Mboran-tuée ( si c’est toujours elle )de la Cour Constitutionnelle se fera dès lors le plaisir de mettre en avant pour justifier l’injustifiable et défendre l’indéfendable. En somme JABO dit ne faites pas comme Alain Bongo qui n’a en réalité aucune valeur morale, juridique, légitime. Résultat , ce faussaire-imposteur est contesté de partout et complètement décrédibilisé aujourd’hui. Alain Bongo qui est arrivé par le sang au pouvoir est le « président  » le plus détesté et le plus contesté que le Gabon n’ait jamais eus. Amis du PDG, si vous voulez avoir une infime chance de passer en 2016, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Mais c’est vrai que ça demande juste un peu de courage et d’audace , ce qui n’est pas vraiment votre fort.

  12. témoin occulaire dit :

    C’est son droit de penser et d’agir comme il veut. Une chose est sûre c’est que très peu de gens, sinon aucun gabonais épris de changement véritble n’adhère à sa démarche. Ses seuls soutiens viennent du PDG. Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre!

    • l opposantt dit :

      mais n’importe quoi ,ce monsieur fait partis des seuls qui ont quitte le pdg de leur propre gres alors qu il etait la 3em personalite politique du pays et qui est reste dans l opposition malgres les multiples propositions qui lui ont ete faites alors que la majorite des membres du soit disant front ce bourrait le ventre au detriments des gabonais malheureux .
      Il ya et il ya toujours eu une opposition au gabon bien que tres peu ecoutee par faute de moyens et censure, non pas comme ceux qui sortent de nul part a la veille des elections et s auto proclament leader d’une opposition qu il n ont que tres peu soutenue jusque la .
      Aussi la plainte contre pean n a jamais ete a l initiative de mr Bourdes , encore moins l initiative prise par peu d emmener des gens dans la rue au risque d y perdre leur vie .
      Soyer objectifs et lucides dans vos debats et propos ou taisez vous. Certains en manque d informations vous croient en vous lisant alors que vous ne diffusez que de l intox.
      @ temoin occulaire @okura etc

  13. 241 Vert jaune Bleu dit :

    Mais qui a encore besoin d’une opposition meme ici???
    Je pense que l’heure n’est plus au choix de qui suivre, qui est opposant ou qui…NON! Ne mettons plus le débat sur une personne ou un groupe politique. Les expériences passées devaient nous servir.
    Je crois que le Peuple Gabonais doit se faire respecter sinon imposer ses décision car étant seul souverain. Avec ou sans opposition, le PDG doit dégager et c’est cela le plus important.

  14. Kalu Mefak dit :

    JABO broute a la SOGARA. Souvenez-vous du changement de discours politique de Paul Mba Abessole. Le peuple gabonais est déjà habitué, mais sa mémoire reste vivante…

  15. gee dit :

    il avait vraiment faim ce sont des gens comme sa qu’on ne veut plus voir ,des crèves la faim,manque de dignité

  16. jean-jacques dit :

    Ping est un chinois,Ogouliguende est un gabonais voilà pourquoi il apporte son soutient a son frere gabonais ALI. Myboto est congolais.

  17. Obalango dit :

    3% c’est le score de Jules Aristide OGOULIGUENDE la dernière fois qu’il a brigué la magistrature suprême …. et là c’est à l’époque de KALA KALA, quand il avait encore un peu de popularité….

  18. DEZKELLY dit :

    Jules Aristide Bourdès Ogouliguende a eu peur des retombés de cette affaire et prefere ne pas se salir ,mais il ignore qu’en agissant ainsi il passe pour un(alo)comme disent les autres.il faut bien que certaines personnes se sacrifient aujoud’hui pour le gabon meilleur de demain.il n’a pas saisie cela.

  19. moukouambo dit :

    pour qui connait JABO ,devait se souvenir de la grève de 1989-1990 qui aboutira à la démocratie. à cette période JABO est Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et par ailleurs enseignant à la FDSE; alors que l’UOB est en grève, il réfuse de recevoir les étudiants en les narguant . la suite ,la grève s’étant durcit les étudiants demandèrent son départ du ministère (ce que OBO accepta).et c’est ce mouvement qui déclencha une grève générale qui avait abouti au retour de la démocratie .Vous voyez que ce monsieur JABO aime ramer à contre courant.
    Quant à la plainte contre péan qui l’a été attribuée ,JABO a écrit au journal RTG de 20h en démentant avoir saisi une quelconque juridiction. c’est plutôt le griot d’Ali Patrick simangoye qui le lui a attribué.

  20. NDOUTOUM dit :

    nul n’est corruptible mais ça dépend du prix qu’on y met !

  21. DIONDO dit :

    Bonjour, je suis l’actualité comme vous et beaucoup d’autres. seulement, je fais un constat et j’aimerai qu’on me dise la vérité rien que la vérité au sujet de « ya Ali ». En effet, tous le monde est passé sauf personne pour nous dire qu’Ali est gabonais pour les uns, et fils adoptif pour les autres. Dans cet imbroglio médiatique et des déclarations partisanes, c’est le peuple gabonais qui en souffre et subi. Il est (peuple gabonais) dans l’expectative, l’incertitude, bref embrouiller. tous ceux qui ont intervenu, ont soit des liens familiaux, fraternels ou partisans; d’autres intervenant sont des opposants au régime qui par ailleurs, éprouvent quelque peu de la « haine ». Dans ce ballet médiatique ou est la place du peuple? autrement dit que doivent s’attendre les gabonais?
    En ce qui me concerne, je souhaiterais que s’il y a un gabonais qui ne fait pas partie des camps ci-dessus cités, et qui connais parfaitement l’histoire de ce pays, qu’il prenne son courage à deux mains, et se mette sur la place public pour rétablir la vérité rien que la vérité. Cela, nous sortira de cette impasse, par ce que dans ce cycle infernal des déclarations par si et conférences par là, le peuple gabonais ne sera pas tranquille.En fin, les africains sont « pathétiques » et resterons TOUJOURS dans la supercherie des soit disant moralisateurs et de prétendus modèles de démocratie: « LES BLANCS », merci

    • moukouambo dit :

      il ya encore des gabonais de l’époque des événements de péan qui sont encore vivants mais ont peur de dire la vérité , sinon c’est la muerte. joséphine,assélé,et les bongo ainsi que leurs familles connaissent la vérité.tous ceux qui ont servi le gabon entre 1960 et 1968 ainsi que leurs familles( migolet ,yembi,tomo,eko,kassa mapessi,amogho,boulingui, etc…) en savent un tout petit peu qlq chose . le pasteur tomo a commencé a parlé.

  22. le gabonais d'en bas dit :

    C’est ça nos hommes politiques, mais c’est aussi un etre humain.

  23. chris loopanho k dit :

    jules Aristide à changer de paradigme compte tenu de son âge, il faut le comprendre

    • Elang dit :

      Monsieur OGOULINGUENDE est homme de conviction, un homme de droit et dans toutes ses demarches il s’assure qu’il ne va pas à l’encontre des valeurs qu’il défend. S’il m’étais demandé de choisir entre tous les vieux qui sont dans le front et lui , mon choix serait claire, je coisirais JABO. En rappel JABO n’a pas attendu la mort d’OBO pour s’opposer, il a bien démissionné du poste de Président de l’Assemblée nationale pour se porter candidat à la Présiodence de la République . C’est un homme courageux à l’opposé de Ping qui a eu peur de d’affirmer son désir d’être candidat en 2009 face à Ali, il a bien été sollicité et a dit attendre que ce désir soit porté par le peuple pour se présenter. Quant à MYBOTO il est parti du PDG non pas pour ses convictions, mais pour devancer la cabale de MBA OBAME qui demandait son départ en partant des épreuves du BEPC. Je n’ai pas fini….. PING n’a pas de conviction c’est un aigri , un opportuniste qui , convaincu des problèmes de santé de MBA OBAME a vite fait de répondre à l’appel de son neveu JHON NAMBO pour se proclamer opposant, mais opposant de qui ?
      Dans tous les cas pour ma part tous ces anciens pdegistes gagneraient à se mettre derriere une autre génération, MYBOTO, MBA OBAME EYEGHE NDONG PING OGOULIGUENDE KOMBILA AMOUGHE MBA OYE MBA et bien d’autres sont coupables et comptables de nos malheurs . De nombreux refusent de suivre cette opposition conduite par des aigris, des opportunistes et autres affairistes… qui ont validé la délimitation des mandats et l’élection à un tour pour que perdurer le système BONGO…

  24. Simon bignoumba dit :

    OGOULIGUENDE a posé un problème de droit. le front uni a t-il la capacité à ester en justice?

  25. eternite dit :

    JABO est un homme politique qui connait le système et tout comme certains de l’opposition, sont des oligarques du PDG.
    Il a le droit de ne pas suivre ou participer au dépôt de plainte du Front, mais il a surtout le devoir d’expliquer à la population gabonaise ( et non a RFI ) son éloignement d’avec l’opposition radicale ( PING, MYBOTO et les autres ) et son rapprochement de l’opposition modérée ( MAYILA, MAGANGA etc ).
    Maintenant, personne ne veut voir le Gabon a feu et à sang; si le sang a coulé, ce n’était aucunement le fait de l’opposition ( pour répondre à certains qui voit le péril ivoirien au Gabon ) et nous le savons tous; par contre, l’opposition dite modéree est composée de personnes, qui sont tres versatiles et plutot égoïste… et cette ambiguité, interpelle tous les gabonais dont les fin connaisseurs de la politique du ventre !!!

  26. OWIYOULOU dit :

    Pourquoi lorsque quelqu’un a un avis contraire au votre vous vous mettez à le vilipender? c’est ça aussi la démocratie accepter les avis contraires.
    j’ai remarqué que lorsque quelqu’un quitte le PDG, c’est un AS, un champion, un courageux, c’est la mort du parti annoncé. Mais lorsqu’il rejoint le PDG, c’est un vendu, un vaut-rien.
    Si c’est comme ça que vous voulez gere le pays on est mort dans vos mains comme disent nos freres ivoiriens

  27. romabiko dit :

    Bonjour à tous
    JABO n’a pas changé. le pb qu’il pose est réel le front n’a pas une existence juridique donc pas de récépissé et le tribunal s’accrochera sur ça pour rejeter le dossier si le plaignant s’appelle bien Front de l’Opposition, par contre s’ils l’ont fait entant que citoyen gabonais, là JABO s’expliquera mais le père n’as pas pu le corrompre et c’est le fils qui pourra enfin rien n’est impossible toutes fois avec ou sans lui la lutte continue

  28. BEKALE BITEGUE dit :

    Il ya l’opposition du pouvoir et l’opposition au pouvoir. Tous les masques vont tomber avant 2016.

  29. Bouka Rabenkogo dit :

    Lettre ouverte au Pouvoir Judiciaire
    Sommes-nous dans un pays de non droit? Où une partie du peuple peut s’arroger la souveraineté du Peuple (TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3)?
    Dans un précédent article je faisais observer la vacance de pouvoir, par la simple observation de l’absence « d’état civil » du supposé dénommé Ali Bongo Ondimba. Je rappelais au pouvoir Judiciaire, je site: « Monsieur Pierre Péan, quelque soit la nature de ses intentions, révèle des informations graves sur la personne garante aujourd’hui des institutions de la République et qui occupe la noble fonction de Président Chef de l’Etat Gabonais.
    Ces informations graves, qui terni l’image de notre pays et souille la fonction de Président de la République, nécessitent une clarification totale du concerné sur sa véritable identité. Mais rappel aussi, la duplicité entretenu par toute l’élite gabonaise à l’asservissement volontaire de notre propre pays. Cette attitude complaisant a eu pour corollaire, de reléguer l’avenir de la Nation et du peule Gabonais à de médiocres intérêts individuels pour et à l’avantage du plaisir du colon. Surtout après les indépendances tchatcha de 1960.
    Le peuple souverain gabonais ne peut plus souffrir de voir à la tête de son pays un inconnu à l’identité douteuse accepté par toute la classe politique achetée en 2009. J’ai eu en ma qualité de commissaire CENAP à ladite élection, la possibilité d’observer la duperie de toute la classe politique sans exception pour de l’argent, au détriment du peuple gabonais.
    Nous demandons à monsieur Ali Bongo Omdimba, suite à tout ce qui précède, de suspendre son activité en tant que Président de la République Chef de l’Etat, jusqu’à ce que le doute soit totalement levé sur son identité (présentation de l’acte de naissance AEF).
    Que les institutions de la République, garantes de la Loi, des textes constitutionnels et réglementaires informées, assument leur responsabilité dans le cadre de la vacance de pouvoir ainsi constatée.
    Le peuple gabonais tout entier appel Ali Bongo Ondimba au sens de l’honneur et aux respects de nos valeurs Bantou. »
    Il est important de rappeler au Pouvoir Judiciaire, les principales dispositions de la Constitution par lui concerné:
    TITRE PRÉLIMINAIRE : DES PRINCIPES ET DES DROITS
    FONDAMENTAUX
    Article premier
    21°) Chaque citoyen a le devoir de défendre la patrie et l’obligation de protéger et de respecter la Constitution, les lois et les règlements de la République;
    22°) La défense de la nation et la sauvegarde de l’ordre public sont assurées essentiellement par les forces de défense et de sécurité nationales. En conséquence, aucune personne, aucun groupement de personnes ne peuvent se constituer en milice privée ou groupement paramilitaire, les forces de défense et de sécurité nationales sont au service de l’État.
    TITRE PREMIER : DE LA RÉPUBLIQUE ET DE LA SOUVERAINETÉ
    Article 3
    La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce directement, par le référendum ou par l’élection, selon le principe de la démocratie pluraliste, et indirectement par les institutions constitutionnelles. Aucune section du peuple, aucun groupe, aucun individu ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale.
    Article 5
    La République gabonaise est organisée selon les principes de la souveraineté nationale, de la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire et celui de l’État de droit.
    Article 7
    Tout acte portant atteinte à la forme républicaine, à l’unité, à la laïcité de l’État, à la souveraineté et à l’indépendance, constitue un crime de haute trahison puni par la loi.
    TITRE II : DU POUVOIR EXÉCUTIF
    1 – DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
    Article 8
    Le Président de la République est le Chef de l’État; il veille au respect de la Constitution; il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des accords et des traités.
    Article 10 (Révisé par la Loi n° 13/2003 du 19 août 2003)2
    Si, avant le scrutin, un des candidats décède ou se trouve empêché, la Cour Constitutionnelle prononce le report de l’élection.
    La Cour Constitutionnelle peut proroger les délais prévus, conformément à l’article 11 ci-après, sans que le scrutin puisse avoir lieu plus de trente cinq jours après la date de la décision de la Cour Constitutionnelle. Si l’application des dispositions du présent alinéa a pour effet de reporter l’élection à une date postérieure à l’expiration du mandat du président en exercice, celui-ci demeure en fonction jusqu’à l’élection de son successeur.
    Sont éligibles à la présidence de la République, tous les Gabonais des deux sexes jouissant de leurs droits civils et politiques, âgés de quarante (40) ans au moins.
    Toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeuré sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la quatrième génération.
    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique.
    Article 12
    Lors de son entrée en fonction, le Président de la République prête solennellement le serment ci-dessous, en présence du Parlement, de la Cour Constitutionnelle, la main gauche posée sur la Constitution, la main droite levée devant le drapeau national:
    « Je jure de consacrer toutes mes forces au bien du peuple gabonais, en vue d’assurer son bien-être et de le préserver de tout dommage, de respecter et de défendre la Constitution et l’État de droit, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge et d’être juste envers tous ».
    Article 13
    En cas de vacance de la présidence de la République pour quelque cause que ce soit, ou d’empêchement définitif de son titulaire constaté par la Cour Constitutionnelle saisie par le Gouvernement et statuant à la majorité absolue de ses membres, ou à défaut, par les bureaux des deux chambres du Parlement statuant ensemble à la majorité de leurs membres, les fonctions du Président de la République, à l’exception de celles prévues aux articles 18, 19 et 116, alinéa 1er, sont provisoirement exercées par le Président du Sénat ou, en cas d’empêchement de celui-ci dûment constaté par la Cour Constitutionnelle saisie dans les mêmes conditions que ci-dessus, par le Premier Vice-président du Sénat.
    L’autorité qui assure l’intérim du Président de la République, dans les conditions du présent article, ne peut se porter candidat à l’élection présidentielle.
    En cas de vacance ou lorsque l’empêchement est déclaré définitif par la Cour Constitutionnelle, le scrutin pour l’élection du nouveau président a lieu, sauf cas de force majeure constatée par la Cour Constitutionnelle, trente jours au moins et quarante cinq jours au plus après l’ouverture de la vacance ou de la déclaration du caractère définitif de l’empêchement.
    Article 14a
    Le Président de la République est assisté d’un Vice-président de la République. Le Vice-président de la République est nommé par le Président de la République qui met fin à ses fonctions, après consultation des Présidents des deux chambres du Parlement. Le Vice-président de la République est choisi au sein du Parlement ou en dehors de celui-ci.
    TITRE V : DU POUVOIR JUDICIAIRE
    I – DE L’AUTORITÉ JUDICIAIRE
    Article 67
    La justice est rendue au nom du peuple gabonais par la Cour Constitutionnelle, la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat, la Cour des Comptes, les Cours d’Appel, les Tribunaux, la Haute Cour de justice et les autres juridictions d’exception.
    Article 68
    La justice est une autorité indépendante du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Les juges ne sont soumis, dans l’exercice de leurs fonctions, qu’à l’autorité de la loi.
    Article 69
    Le Président de la République est le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire, dans le respect des dispositions de la présente Constitution, notamment en son article 36. Il est assisté du Conseil supérieur de la magistrature et des présidents de la Cour de cassation, du Conseil d’Etat et de la Cour des comptes.
    Les dispositions de l’Article 14a, cinq (5) ans plus tard, pas n’ont pas jusqu’à ce jour été appliqués. Le Pouvoir judiciaire serait il complice de parjure à notre Pays?
    « Le Patriote »
    Michel Bouka Rabenkogo
    Membre de la Conférence Nationale de 1990;
    Membre de la commission des institutions;
    Membre créateur d’EKAMA;
    Membre de la FESYPAG;
    Ancien membre du Comité central PDG;
    Ancien candidat à l’élection Présidentielle 2005;
    Commissaire CENAP Election présidentielle 2009.
    En réaction : https://www.gabonreview.com/blog/affaire-pean-manipulation-surenchere-guerre-mediatique/

  30. Serenité ONDO dit :

    Bonjour à tous
    Tous ces commentaires font mal à la tête.
    Nous sommes devant une situation burlesque, l’absurdité à dépassé les bornes. Si Ali n’est pas gabonais comme on le dit, pourquoi le laisser tranquillement continuer à gérer le pays? l’opposition va déposer une plainte en « grande fanfare » cela laisse entrevoir comme un pilotage à vue. je me pose des questions sur cette « opposition », j’ai l’impression de revivre la campagne 2009 avec AMO, qui disait aux gabonais de « ne pas s’inquiéter, le PDG ne peut pas passer par fraude, car je connais le système ayant été moi-même au ministère de l’intérieur » sans vous mentir, j’ai cru à ces paroles, mais qu’elle n’a pas été la déception, la désillusion, quand le fameux pdg a remporté par « effraction », les belles paroles d’AMO se sont tues, il n’a eu pour recours qu’une grève de la faim!!!!!!!. Notre opposition est-elle crédible? pourquoi ne pas garder son calme et poursuivre un plan bien précis, s’il y en a vraiment? cette histoire de plainte collective m’est restée en travers de la gorge. Les autres pays nous suivent de près, le Burkina faso a été plébiscité à cause de leur maturité, le gabonais demeure immature et adonné à la tchatche, ne dit-on pas que « Chien qui aboi ne mord point? »

  31. louetsi dit :

    JABO est un homme intègre il a ses prises de positions et personne ne peut le contraindre.

  32. Aningo mi tchonda dit :

    Merci Serenité ONDO,
    Le pere , ensuite la fille voit l’opposition au Gabon comme une meute de chien qui aboie mais ne mord pas. Il est imperatif qu’une nouvelle generation de jeune premier de l’opposition voit le jour et se fasse connaitre ,l’opposition regorge de jeune talents , mais ou sont-ils , tant que les peres fondateurs de tous ces partis ne les propulsent au devant de la scene il n’y aura point de salue et donc pas d’alternance dans ce pays.
    SI tu pleurs arrete toi un moment, l’opprimé ne pleurs pas , ne se plaint prepare juste son combat jusqu’a la victoirefinale
    Gabonaisement votre

  33. Moutouki dit :

    Mr Bouka Rabinkogo est un ancien pédégiste aigri qui a perdu ses avantages suite à l’arrivée au pouvoir d’ALI Bongo. L’homme avait retiré sa candidature en 2005, après des epèces sonnantes remises par le vieux Bongo.

  34. Moutouki dit :

    Je commence à penser que l’idée du docteur Mengara est la meilleure, il estime qu’il n’y a qu’une insurrection pour chasser les Bongo du pouvoir. Cependant, je remarque que nous ne sommes pas un peuple assez courageux. La solution du départ du président Ali Bongo du pouvoir serait d’organiser une insurrection sociale, c’est à dire une grève générale à tous les niveaux.

  35. IRIS dit :

    pauvre gabon, pauvre peuple, pauvres gabonais, DIEU n’a pas dire de faire du gabon ce que vous etes entrains de faire
    Mais Dieu voit tout, il entend tout

  36. femme noir dit :

    Bassé! Serenité. Je constate malheureusement que nous sommes resté les même gabonais qui ne savent pas prendre leur destin en main, passant le gros de notre temps à tchatcher à travers les réseaux sociaux sans rien entreprendre qui pourrait inquiéter la ou es personnes en faute.Une proposition, taisons-nous, si nous ne pouvons pas agir de manière à mettre dehors notre imposteur de président. car nous savons tous son histoire,il est originaire du Biafra, et n’est que fils adoptif de Joséphine Kama et de Albert Bernard Bongo.

  37. Fustik dit :

    UFC est une formation de Luis Gaston Mayela
    il a ete fait prisonnier de sa sa fausse monaie. C’est tout naturel qu’une fois en liberte provisoir mayela face la volonte du regime qui detient son sort
    si non c’est la prison et comme il n;a pas de couille il va leur laicher les fesse toute sa vie pauvre faussaire a la voix rouille

  38. LE PEUPLE GABONAIS dit :

    Arrêtons de tchatcher mes frère. Prenons une décision ferme pour chasser ce BIAFRAIS du pouvoir. Il faut qu’il parte par tous les moyens.

  39. jean-jacques dit :

    Je trouve que manondzo n’a pas une grande réflexion a chaque fois qu’il intervient. Mon petit manondzo apprend a etre logique et constructif cela t’aidera bocou.

  40. Pala dit :

    L’ivoirité n’a pas mis le feu en Côte d’Ivoire. Ce sont les français qui ont mis le feu. S’il n’y avcait que les ivoiriens, ceux-ci auraient évacué la situation vite fait comme au Bourkina. Les français voulaient mettre Ouatara.
    Si Sarkozy était encore président en France, les bourkinabés n’auraient pas réussi. Les soldats français seraient partis de Libreville pour aller les tuer et protéger Compaoré. Mais Hollande n’a pas ce tems-là. C’est pourquoi les bourkinabés ont réussi.
    Les ivoiriens auraient bien pu venir à bout de cette rébellion de Ouatara s’il n’y avait pas les français derrière.

  41. manondzo dit :

    Cher jean-jacques je n’ai pas la capacité de t’attribuer tous les noms de crapauds mais je crois que sur Gabonreview il n’y a pas ton equivalent dans la betise.

  42. nayina maureen dit :

    J adore voir les gabonais se défouler sur le net
    j’ai ri ….pourtant il n y a pas de quoi, cette affaire
    d’acte de naissance est sérieuse
    la preuve le général associé a déclaré pince sans rire qu’il a porté
    Ali dans ses bras , à la naissance , devinez quand, en 1966
    et la mère d’Ali de souffler en 1959
    Il y a de quoi rire non et c’est ce monsieur qui s’égare qui va
    porter plainte à Péan….Voyons les Dabany , une séance d’harmonisation serait le bien venu dans votre camp!

  43. Alassane dit :

    JABON c’est une fiotte

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